J’avoue avoir oublié ce détail sur le cheval ,en revanche l’évocation de la ville de New York du rêve américain et la désillusion qui suit me paraissent bien faire écho à l’actualité...
Certains passages sont hilarants:les toilettes souterraines à New York,les beautés américaines idéales .... La description des immeubles parisiens ,de leur cour intérieure ,tout cela renvoie aussi à la vie des gens dans les années 30 ,la pauvreté ,la misère ,thèmes éternels,la souffrance des hommes qui explique selon Céline leur méchanceté...