• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de Pierre JC Allard



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 23 mai 2007 23:57

    @ Marsupilami. Vous me rajeunissez... En fait, vous nous ramenez avant la brunante, au coucher du soleil.

    PJCA



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 23 mai 2007 23:49

    @ Johan. Pour assurer la sécurité, je vous réfère au texte http://www.nouvellesociete.org/702A.html C’est à ce texte, d’ailleurs, que devrait conduire le dernier lien de l’article.

    Je souligne, cependant, qu’assurer la sécurité ne réglera vraiment le problème que si des mesures plus larges sont prises pour ramener tout le monde au travail. Le côté sombre de la révolution industrielle a été l’EXCLUSION. C’est le plus grave des problèmes de la société moderne. Toutes les autres mesures sont vaines si on ne crée pas une société où chacun est utile. La seule société qui tendra vers la justice sera celle, plus tard, où l’on aura réussi à rendre tout le monde indispensable.

    PJCA



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 23 mai 2007 23:39

    A Philippe D. Le désir de convergence a été là plus souvent qu’autrement dans l’histoire de l’humanité ; autrement ni la cinvilisation ni même la société ne seraient nées. Il ne faut pas, toutefois, voir ce désir de convergence comme une preuve d’altruisme ; la plupart du temps, les humains ont simplement vu. bien égoistement, que leur plus grand bien individuel passait par une forme de collaboration.

    Plus maintenant. La triste réalité, aujourd’hui, est qu’une retombée négative du progès technique a été de rendre 80% de l’humanité totalement inutiles aux 20 % qui ont bénéficié de ce progrès. Il faut un effort constant de tous ceux qui ont une conscience morale qui dépasse le simple utilitaire pour convaincre les « gagnants » de la société moderne d’accepter le simple droit à vivre des « perdants ». Comment s’étonner que le même schème de pensée, chez les « perdants », conduise à généraliser un comportement qui, selon la morale traditionnelle, s’apparente à ce qu’on appelle la criminalité ? Vous m’affamez, je vous tue. Est-ce imprévisible ? http://www.nouvellesociete.org/5061.html

    PJCA



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 23 mai 2007 23:11

    @ GRL Il n’est plus possible pour quiconque a suivi attentivement le dossier de retenir la version officielle de l’attentat du 11 septembre. Aux derniers sondages, 38% de la population américaine ne croit plus à la version officielle.

    Faisant la part des choses, il faut cependant se garder de confondre rejet de la version officielle et acquiescement à la théorie d’un complot du gouvernement des USA : il y a une infinité d’autres hypothèses. Celle du complot, cependant, est bien documenté et n’est certes pas à écarter. C’est d’ailleurs un des mérites de l’Amérique qu’aucune censure n’ait pu venir a bout des recherches qui peu à peu la rendent irréfutable. http://www.nouvellesociete.org/5129.html

    Cela dit,il ne s’agit plus de poser le diagnostic de la montée du désordre ; il faudrait y mettre fin. Nous n’en sommes pas capables dans la société actuelle et l’équilibre des forces est tel qu’il devient possible que ce ne soit finalement que le désordre qui puisse imposer la transformation de la société. Il y a malheureusement bien des précédents.

    PJCA



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 23 mai 2007 22:36

    A Jako. Merci. Et, bien sûr, diffusez, diffusez... smiley

    PJCA



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 23 mai 2007 04:56

    Pour corriger le lien du commentaire précédent : http://www.nouvellesociete.org/5153.html

    PJCA



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 23 mai 2007 04:49

    Vu de Sirius - en fait de San Salvador C.A., ce qui est tout aussi « ailleurs »- cet intermède ne peut avoir que l’intérêt d’une étude de cas. Comment se présente le cas ?

    Il est raisonnable de penser qu’au départ le QG du MoDem a choisi sans états d’âme la candidature qui lui semblait la plus apte a gagner. Il est possible, bien sûr, que des inimitiés personnelles aient joué un rôle dans ce choix - toute la vie politique en est pleine - mais il est improbable que cette décision ait retenu vraiment l’attention des Hautes Instances. Un parti en campagne a bien d’autres problèmes à régler et l’on a sans doute évincé Madame Delmas sans trop y réfléchir.

    Ce qui a été une erreur, car on n’a pas pas vu ni surtout prévu au MoDem, toutes les conséquences de cette décision. On n’a pas vu que l’image du MoDem serait ternie par ce qui serait présenté comme un manque de sensibilité, un comportement de « vieux parti », une attitude, disons d’éléphanteau...

    On ne l’a pas vu, mais surtout l’on n’a pas prévu la réaction de Madame Delmas. Cette réaction, pour des politiciens aguerris, était imprévisible parce que suicidaire. Suicidaire, pour la candidate déçue, de monter cette rebuffade subie en épingle et de montrer ainsi naîvement que son ambition personnelle pouvait aussi facilement avoir le meilleur de ses convictions de principes.

    Diffusée ad nauseam par les blogues, cette « insensibilité », cette « ingratitude » du parti de Bayroux peut devenir une faute grave et avoir des conséquences hors de proportion àvec le péché véniel d’origine. C’est la réaction peu habile de Madame Delmas qui donne toute son importance à l’incident.

    Rien mieux que ce faux pas se transformant peut-être en catastrophe ne peut illustrer la force des blogues... et le constat que les blogueurs sont encore des amateurs. C’est cet amateurisme qui leur vaut sympathie et crédibilité, mais c’est ce qui les rend aussi dangereux à manipuler qu’une fiole de nitro.

    Le MoDem va perdre de un part son image a cet épisode ; Madame Delmas, si elle n’est pas récupérée instanter par l’UMP, y aura perdu ses chances d’une carrière politique, car on ne lui pardonnera pas une réaction qu’on jugera immature.

    Le plus triste de ce « cas » est sans doute que les deux parties y perdront sans raison, puisque, sans une entente ferme avec le PS, il est fort probable que Madame Delmas,n’aurait pas été élue.. et que le candidat qu’on lui a préféré ne le sera pas davantage. ...

    Ce qui suggère qu’il aurait été plus habile pour le MoDem de se garder l’amitié d’un blogueuse efficace en lui donnant l’investiture qu’elle souhaitait, et pour celle-ci, si on la lui eut refusé, d’accepter de bonne grâce ce refus, laissant par la suite planer le doute qu’elle aurait pu, ELLE, obtenir la victoire.

    Les blogues sont une arme qu’il va falloir quelque temps pour intégrer judicieusement à l’arsenal de la politique. http://www.nouvellesociete.org /5153.html

    Pierre JC Allard



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 22 mai 2007 03:18

    @ JL. « La contribution nette des marchés d’actions au financement des entreprises est maintenant... négative ! »" Eh oui ! Cette information qui semble anodine est révélatrice du véritable problème.

    Pourquoi ce désinvestissement ? Parce que, confrontés à la nécessité de garder la demande effective, tout en assurant la rentabilité du capital qui sert d’assise à la structure de pouvoir de notre société, les gouvernements successifs, depuis des décennies, libérés de la contrainte de l’étalon-or, ont choisis de créer autant de monnaie qu’il en fallait pour contenter tout le monde. Ils ont opérés deux systèmes monétaires en parallèles.

    Le premier, pour la consommation, assure une distribution de la richesse suffisante vers ceux qui la produisent pour permettre que ce qui est produit soit acheté. Il est assorti de mesures keynesiennes mises en place pour garantir qu’une inflation contrôlée vienne y maintenir l’équilibre.

    Le deuxième, pour l’investissement, distribue une richesse purement symbolique aux nantis seulement, par le paiement d’intérêts ; il n’en résulte aucune inflation, puisque, accordé à ceux dont tous les besoins sont comblés, cet argent ne filtre pas dans les circuits de consommation ordinaires ; il ne sert qu’à des placements dont la valeur peut croitre arbitrairement, par simple cooptation de ceux qui en profitent.

    Ainsi, on a les Picasso etles Van Gogh à cinquante, puis à cent millions d’euros, en attendant le Dali qui fera un miliard. On a un Dow-Jones qui, en 20 ans, a multiplié sa valeur par 19, alors que le pouvoir d’achat en monnaie constante, durant cette période, n’a augmenté que de 2%.

    Puisque on ne peut tirer 19 fois plus de profits de la vente de biens à une population dont le revenu n’a augmenté que de 2%, il est clair que les valeurs boursières qui reposent sur cette espérance de gain sont autant d’assignats, dont la valeur ne se maintient que par un acte de foi collectif.

    Une richesse colossale et qui ne représente aucune valeur tangible a été ainsi créée pour la satisfaction des « riches ». Elle sert ni ne nuit beaucoup... aussi longtemps qu’on ne croit pas à nos propres mensonges et qu’on ne s’imagine pas qu’elle peut se transformer en manioc pour nourrir les affamés du Sahel. Seul le travail crée une richesse réelle. Si on veut plus de manioc, il faudra travailler.

    Or, il est impossible que les lois du marché conduisent a affecter cette richesse virtuelle démesurée au paiement de travail. La richesse « en trop » ne peut trouver un objet de convoitise que dans l’imaginaire.

    La surabondance de capitaux aujourd’hui est telle, qu’il y a reflux, désinvestissement. Le défi de l’État est qu’il ne devienne pas évident que, non seulement le capital ne mérite pplus un intérêt, mais que des mesures de plus en plus inusitées sont requises pour que ce capital ne perde pas toute valeur !

    Surtout, ne pas s’imaginer que crier « Le Roi est nu ! » serait une victoire du prolétariat. Si on fait chavirer le navire, les galériens dans l’entrepont se noieront plus vite que les patriciens sur le pont.

    Il faut sortir en douceur et avec ingéniosité de ce traquenard financier dans lequel nous ont mis deux générations d’économistes au service de gouvernants qui ont estimé, avec justesse sinon avec justice, que le déluge ne viendrait qu’après eux. Maintenant, il pleut... http://www.nouvellesociete.org/406.html

    Pierre JC Allard



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 21 mai 2007 21:20

    @’l’auteur : Je suis de ceux qui voient sans complaisance que l’Occident a fait plus que sa part pour détruire l’Afrique. Cela dit, que ce soit la faute des uns ou des autres, l’Afrique n’en est pas moins détruite.

    Faire confiance à l’Africain n’est pas la question, car tous, sauf les racistes les plus primaires, vont faire confiance à l’individu qui le mérite. Le problème, c’est qu’il n’existe pas une société africaine capable d’encadrer ces individus, ni la solidarité entre africains qui leur permettrait de créer cette société. L’individu Africain ne peut donc se réaliser que selon les critères d’une culture qui n’est pas la sienne.

    Handicap pour chaque indvidu, mais surmontable. Obstacle permanent à la création d’une société africaine viable et satisfaisante pour les Africains, toutefois, puisque le meilleur de l’Afrique en est systématiquement enlevé, culturellement parlant sinon toujours physiquement, ne collant à l’Afrique que celles de ses élites qui ont choisi de l’exploiter sans vraiment s’y identifier.

    J’explique cette situation en détail au site NS : http://www.nouvellesociete.org/414.html

    Pierre JC Allard



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 21 mai 2007 02:43

    @ hervé33. Avoir été atlantiste au début de la guerre d’Iraq aurait éte stupide. L’être aujourd’hui, alors que la guerre va s’éteindre et que les USA n’ont presque plus d’amis, est disons... « talleyrandesque ». Le même Talleyrand dont on a décrit l’arrivée chez Louis XVIII, au bras de Fouché, comme celle du « vice s’appuyant sur le crime ».

    Ce qui, sautant du coq à l’âne, m’amène a penser que Juppé, pas plus que Kouchner - à remplacer plus tard par Vedrine - ne feront sans doute tout un quinquennat. L’inconvenient d’un gouvernement d’ouverture, en effet, c’est qu’il faudra faire de la place à ceux qui se rallieront, même si partant a quinze on a une marge de manoeuvre pour la simple expansion.

    La vérité, n’en déplaise aux mauvais perdants, c’est que le petit Nicolas est sans doute ce que la France aura eu de plus habile depuis le grand Charles. Dans un pouvoir « personnalisé » - et seule une alliance Bayrou-PS pourrait l’éviter - Gauche et Droite en viendront vite a n’être que les pile et face d’une même médaille à l’effigie du Prince-président.

    Pierre JC Allard http://www.nouvellesociete.org



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 21 mai 2007 01:40

    @ l’auteur. C’est grâce a vous que se sont échangées ici bien des idées porteuses. Ne laissez pas tomber. La plage peut attendre. FOS’ E KOURAJ’ smiley

    Pierre JC Allard http://www.nouvellesociete.org



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 21 mai 2007 00:28

    @ jesuisunhommelibre. Gérer l’économie est complexe, régler la dette est simple. Sortons donc la dette de ce que vous appelez le salmigondis. Payez la dette est simple : vous exigez de chaque personne physique ou morale un bilan et vous imposez le capital au taux requis pour que la contribution de tous permettent le remboursement de la dette. La dette publique peut être payée instanter, ce qui n’implique rien d’autre que des jeux d’écritures.

    Personne n’a un sou de moins en poche, seulement une dette envers l’État qu’il peut acquitter, bien sûr, mais dont il peut aussi ne payer que l’intérêt, lequel, en moyenne, ne dépassera pas le montant de la part de ses impôts actuels affectés aux intérêts sur la dette publique.

    Non seulement l’État n’a plus à verser annuellement un intérêt à ceux qui financent la dette publique, mais il reçoit chaque année un montant du même ordre de grandeur des citoyens. Toute la fiscalité peut être modifiée au profit des petits revenus pour tenir compte de ce nouvel apport.

    Simple. Pouquoi ne le fait-on pas ? Parce que nous sommes un régime capitaliste et que le faire serait une déclaration de guerre au système financier mondial. Une guerre que nous ne pourrions pas gagner. En attendant que quelqu’un propose une façon de quitter le monde « tel qu’il est » sans devenir un autre Cuba ou un autre Iraq, ayons la décence de ne pas parler de la dette publique, symbole trop pénible de l’exploitation qui règne sur le monde.

    http://www.nouvellesociete.org/706.html

    Pierre JC Allard



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 20 mai 2007 23:45

    C’est aussi la complexité croissante de la société qui rend nécessaire une division plus poussée du travail, augmente le nombre des fonctions complémentaires et rend donc indispensables ceux qui les exercent. Indispensabilité d’où découle plus de pouvoir pour l’individu et qui rend incontournables l’autonomie au palier du travail et le consensus à celui de la gouvernance. C’est le concept de base d’une Nouvelle Société, laquelle impose de nouveaux rapports sociaux, plus justes entre les individus et plus respectueux entre l’individu et l’État. Une Nouvelle Société non seulement plus démocratique, mais éventuellement plus libertaire.

    http://www.nouvellesociete.org/713F1.html

    Pierre JC Allard



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 20 mai 2007 17:03

    @ Jake : Make my day... ! smiley smiley

    PJCA



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 20 mai 2007 16:52

    @ Tristan Valmour Quand Nestle faisait sa modeste part pour ajouter à la désolation, il n’existait pas encore de Tribunal Penal International permanent. Même aujourd’hui, cette instance permanente est une rassurante fiction. Des Tribunaux a juridiction limitée ont été operationnalisés pour punir les crimes de guerre en Yougoslavie ou le génocide au Rwanda, mais rien de permanent et de sérieux ne peut exister aussi longtemps que l’Amérique impériale n’accepte pas que ses citoyens soient contraignables devant des instances autres qu’américaines. Sinon, les responsables de Guantanamo et d’Abou Ghraib y seraient déja. Il faudra un nouveau Nuremberg pour Bush, Cheney et complices. http://www.nouvelle societe.org/5143.html

    Pierre JC Allard



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 20 mai 2007 16:37

    @ Emmanuel. Pierre Rabhi est un grand homme ; je l’ai rencontré en Tunisie il y a une quinzaine d’année. Il est le premier a reconnaître, toutefois, que ses projets n’apportent pas la solution au problème, mais à la désespérance qui s’y ajoute quand on se rend compte de l’immensité de la tâche. En appelant chacun à faire sa part, pour minime qu’elle soit, il pourrait avec le temps jouer un rôle considérable dans la prise de conscience en Occident qui est la condition sine qua non de l’effort concerté - et colossal - qui serait nécessaire. http://www.nouvellesociete.org/414.html

    Pierre JC Allard



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 20 mai 2007 16:16

    « Faut-il rappeler que la civilisation chrétienne s’enracine dans la représentation d’un supplicié ? » Il semble que oui, puisque les commentateurs ne semblent pas faire consensus. Je suis toujours un peu étonné, quand le jupon des croyances dépasse sous la robe des analyses.

    Personne ne prétend que le christianisme ait apporté la violence, ni qu’il se soit approprié le monopole de la cruauté. Il semble d’autre part assez évident que de lier la rédemption non pas à la seule mort - bien d’autres religions l’ont fait - mais à la SOUFFRANCE, ne puisse qu’encourager sa représentation.

    Comme de lier démesurémment la nudité dans l’art à la représentation du martyre, tout en imposant des tabous sexuels stricts, ne peut qu’encourager les tendances sado-maso. La « Vie illustrée des saints » étant la seule collection de nus disponible, les collégiens de jadis ont été allumés par les seins de Sainte Cecile avant ceux de Marylin...

    Il serait intéressant de comparer la fréquence des incidents sadomasochistes dans les populations chrétiennes, musulmanes, bouddhistes... évidemment, ce genre d’études serait tout aussi occulté que tout ce qui établit un corrélation entre ethnies et résultats aux tests d’intelligence. « Cachez ce jupon, que je ne saurais voir... »

    Pierre JC Allard http://www.nouvellesociete.org



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 19 mai 2007 17:11

    @ Muadib. Eviter le gaspillage est une bonne idée en tout temps et en tout lieu, mais il ne faut pas confondre une saine recherche de l’efficacité avec le problème de l’équilibre entre offre et demande d’energie. Choisir de réduire la demande d’énergie c’est choisir de stopper le développement et de regresser. Il faut ACCROITRE l’offre d’énergie. Si on pense que les énergies actuelles ont un impact négatif sérieux sur l’environnement - et dans le doute il faut présumer qu’elles en ont un et non le contraire - il faut développer de nouvelles sources d’énergie propre. Parler d’économies d’énergie ne sert qu’a donner bonne conscience et nous distrait de cet objectif qui doit être prioritaire. (Voir l’artice « Pour l’amour de Gaia », sur le site Nouvelle Société)

    Pierre JC Allard



  • Pierre JC Allard 19 mai 2007 09:40

    A Leon (je pense..) Quand on est l’arbitre et que l’avenir tient au consensus,je ne pense pas que « croire » soit la meilleure attitude... S’il suffit à Sarkozy de chanter l’Internationale pour résoudre un conflit social, j’espère qu’il le fera : il aura alors réussi le pari de rassembler. http://www.nouvellesociete.org

    Pierre JC Allard



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 19 mai 2007 09:16

    Un article intelligent dont la dominante est de montrer combien Sarkosy l’est aussi. Si l’on veut rassembler tout le monde, n’est-il pas astucieux - ou magnanime, selon le regard que l’on porte - de saluer un héros dont d’autres diront qu’il était « communiste », alors qu’on ne l’a jamais présenté soi-même que comme Français ? Et donner comme gage aux USA, au soutien, de leur plus impopulaire politique, le ministre le plus populaire (de Gauche !) d’un gouvernement qui s’est présenté comme de Droite, n’est-il pas du pur Talleyrand ? Si Sarkozy est « bushiste », ce sera un bushisme intellectuellement plus satisfaisant que l’original. SI Sarkozy est bushiste, car personne ne sait ce que pense vraiment Sarkozy. Souvenons-nous que de Gaulle a été porté au pouvoir pour garder l’Algérie française... http://www.nouvellesociete.org/5132.html

    Pierre JC Allard