« Le contrôle (total) n’est pas exercé par les dictateurs, mais par le groupe »
Le contrôle est bel et bien exercé par le « dictateur » mais c’est le « groupe » qui le rend possible.
En créant sa propre prison, son panoptique, à l’image de l’utilitariste écossais Jeremy Bentham, l’homme moderne se rend obsolète, en participant, activement ou passivement, à la « banalité du mal » (Hannah Arendt), pour ensuite disparaître, dans « le Meilleur des mondes », comme un visage sur une plage de sable (Foucault).
Une tentative de synthèse « desmettienne ». Ca vaut ce que ça vaut.