Le site de l’OMM st encore plus explicite :
https://public.wmo.int/en/media/news/new-record-antarctic-continent-reported
En plus de cette phrase :
"Nous devons d’abord analyser les métadonnées de la station (
emplacement, type d’équipement, pratiques de mesure, étalonnage des
instruments, etc.)…Une fois que nous disposerons de ces données, nous
pourrons commencer une évaluation formelle de la validité de cette
observation.
"
il ajoute qu’ils connaissent bien les effet locaux et ponctuels de foehn.
Je découvre maintenant une autre analyse, excellente :
https://www.climato-realistes.fr/20c-en-antarctique-archetype-de-fake-news/
@Alain
Où est-il annoncé que ce record n’est pas validé ? J’ai cherché, car la presse disait que l’OMM allait « certainement » le valider. Je n’ai pas trouvé. Sauf ceci, du site de l’OMM :
"La station de recherche argentine Esperanza, située à l’extrémité nord de la péninsule Antarctique, a enregistré le 6 février un nouveau record de chaleur – 18,3 °C – qui pulvérise le précédent record – 17,5 °C – établi le 24 mars 2015, selon le Service météorologique national (SMN) de l’Argentine.
Il incombe maintenant à un comité chargé de la base de données de l’OMM sur les extrêmes météorologiques et climatiques de vérifier s’il s’agit effectivement d’un nouveau record pour le continent antarctique.«
Le record du 6 n’est pas encore validé, comment peuvent-ils s’être déjà prononcés sur celui du 9 ?
Amusant, au passage, le langage populiste de l’OMM : un record »pulvérisé« ... par 8 dixièmes de degrés... à cause d’une probable bulle de chaleur poussée par les vents de nord-ouest.
SVP, pas besoin de vos comm sur les »climato-sceptique". Ce n’est pas un argument.
Oh, les forêts brûlées ne sont qu’une petite partie de l’ensemble. Il y a assez d’animaux dans les forêts intactes : ils vont se reproduire.
Cela a dû être ainsi depuis la nuit des temps, puisqu’on sait que les incendies participent à l’autogestion (non-humaine) des forêts.
@velosolex
La base de donnée utilisée était habituellement valable, je l’ai déjà vérifiée, mais j’insiste, lisez-moi bien : l’important est le différentiel et ce qu’il produit ou non dans le climat local.
Vous ne faites aucune démonstration invalidant ma réflexion. Les inondations du sud ? La part du réchauffement est difficilement discernable au vu de l’histoire de la région. Et quand on aura désurbanisé les zones inondables et aménagé des zones d’absorption ou de redirection des eaux, il y aura un peu moins de dégâts.
Mais bon, je vois qu’il n’y a aucun échange ouvert possible avec vous.
Quelques commentaires en vrac : @ Vélosolex :
Les chiffres des moyennes sont en effet différents. J’en suis surpris alors que la moyenne de Genève par exemple est juste. J’ai cherché l’emplacement de la station météo de référence de Montpellier-Fréjorgues. C’est une station d’aéroport entourée de bitume noir autour d’une parcelle d’herbe, avec des bâtiments à proximité et aucune surface arborée alentour. C’est le genre de station qui peut surchauffer.
Par ailleurs vous citez Le Monde, sur lequel je reste très prudent. J’ai vu de grosses bêtises écrites par eux, qui sont aussi piégé par le biais climatique. Un des biais, car il y en a beaucoup, par exemple quand vous écrivez : « … lié à l’activité de l’homme occidental, au libéralisme », cela fait du réchauffement une arme politique et non plus une observation scientifique.
Mais peu importe, puisque l’important est le différentiel. Le fait même que les moyennes puissent augmenter sans que l’apocalypse ne s’abatte sur la région (pourtant si c’est 3° ce devrait être énorme) montre que la menace est clairement surfaite.
Autre chose. Sur l’Australie : la masse de combustible laissée dans les forêts est énorme, c’est une raison majeure de la violence des feux. Pour le reste le climat permanent est connu.
@velosolex
Les tempêtes du passé n’ont rien à envier à cette de 1999.
Pour l’Australie vous tombez dans le panneau du réchauffement :
Prouvez qu’il y aura réellement une catastrophe climatique et nous en rediscuterons. Les plans sur la comète, la culture morbide de l’angoisse, la réalité météo qui invalide les modèles, la politisation de la science, le refus de continuer le débat, la ennième culpabilisation de l’occident, devraient faire réfléchir plus qu’adhérer à une théorie apocalyptique.
Bonjour Léonard,
Les espèces qui colonisent le font déjà par les voyages et échanges internationaux. Mais il est possible en effet que cela augmente.
Mon point de vue est que nous devrons nous adapter. En Afrique équatoriale les conditions sanitaires et nutritionnelles aggravent ou non le risque. Notre qualité sanitaire pourrait le limiter.
Par ailleurs la régression des grandes maladies comme la tuberculose doit plus à une meilleure qualité de vie qu’au climat. Les périodes froides, la malnutrition et le manque d’hygiène, en aggravaient les pandémies.
Je pense que l’on a vécu dans des époques pires (peste du Moyen-âge p.e.) et que l’on trouvera des solutions. J’ai confiance dans la recherche et dans notre capacité d’adaptation.
@Fergus
Je mets en discussion car je pense que le débat est loin d’être clôt. Et plus je creuse plus je pense qu’on en fait trop et pas bien. Par exemple pour l’Australie, s’il y a une urgence, c’est (avec ou sans réchauffement) la gestion des forêts, pas le CO2. Il faut mettre l’énergie au bon endroit.
@velosolex
L’effet « îlot de chaleur » est-il décompté ? (3° à 5° selon les villes et quartiers)
En effet les eucalyptus sont en eux-mêmes une large part du problème :
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2020/01/11/mega-feux-la-loi-de-l-eucalyptus.html
@osiris
C’est l’époque. La toile et la télé montrent de plus en plus l’intime. Perso je m’en méfie.
Et si vraiment Moix (qui n’est pas ma tasse de thé mais que je refuse d’accabler sans vraie raison) n’intéresse personne, pourquoi ce tintamarre en effet ? Ça a touché quelque chose de difficile, et qui jaillit au-delà de l’individu. En tous cas la juxtaposition de Moix et de Nicole (lien) montre clairement le double standard et la misandrie profonde et impunément répandue dans notre société.
@sls0
@L’Astronome
@sleeping-zombie
Oui, c’est vrai. J’aime les contradictions, parfois.
Texte parsemé des bêtises habituelles :
« quand les femmes gagnent 40% de moins que les hommes » : ridicule. Vous délirez.
Prouvez-le. Pour info la différence non e3ncore expliquée est entre 2% et 7%
Et selon l’Insee :
« L’étude de l’institut Insee constate qu’à caractéristiques observées identiques, il ne demeure qu’un écart de 6,8 % qui peut aussi s’expliquer par l’expérience professionnelle, l’ancienneté dans l’entreprise ou encore le niveau de diplôme acquis. Ainsi le véritable écart pourrait plus n’être que de 2 ou 3%. Il y a encore un peu de travail à faire à ce niveau. Cependant, la réalité est différente de ce que les idéologues du féminisme de 3e vague nous présentent. »
Ensuite :
« deux potes avinés discutant de foot et de gros seins autour d’une bière dans un PMU » : vous avez de l’imagination, car le bout de texte que vous reproduisez ne laisse aucun indice dans ce sens.
Puis :
« Il s’agit avant tout d’une mesure paritaire. En effet, avez-vous déjà vu un opérateur montrer un jeune supporter bodybuildé afin que les spectatrices se rincent l’œil ? »
Il ne vous vient pas à l’idée que la relation femmes-hommes est dissymétrique et que la parité n’a rien à voir ici ? mesure paritaire… non, rien à voir.
On peut aussi constater que les jeunes femmes à l’image ont tout fait pour attirer l’attention. Elles la cherchent. Alors cessez de vouloir leur interdire cela.
« On ne regarde pas un match de football pour avoir une demi-molle durant quelques secondes mais pour s’abreuver d’une compétition sportive entre deux équipes » : on regarde un match pour les raison que l’on veut et on se fout de vos injonctions. Vous n’avez pas le monopole du « bon spectateur ».
Quant à votre manière de parler et généraliser sur les hommes, pas de doute, c’est du sexisme.
@Loatse
Damned ! C’est à l’insu de mon plein d’essence verte.
@sweach
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