Ben voilà ! On se sent moins seul...
Tè, j’ai une suggestion qui devrait intéresser ces pittoresques tofuphages. C’est de manger les bestiaux de l’espèce qui est la plus nombreuse et la plus nocive pour la Nature. Que sont ces bestiaux ?
Ben vous, moi, l’Homme quoi ! Enfin, ne faisons pas de sexiste, la Femme aussi. Ah ! La bonne chère rejoignant la tendre chair ! Il y aurait des boucheries anthropophagiques. Elles débiteraient et vendraient des anthropocotelettes, des anthropogigots, des anthropopiettes, de l’anthropoboudin, de l’anthroposaucisson. Rien que des races à viandes.
Ah ! Objection Victor. On ne parle pas de race concernant les humains.
C’est vrai. On mangerait donc de l’anthropoviande asprodermée, melanodermée, flavodermée. Il y aurait de l’élevé sous la mère mais aussi de la vieille carne fournie par les hostos et les ephads que l’industrie agroalimentaire transformerait en lasagnes, en raviolis, en hachis parmentier, en merguez.
Ouais mais il y a un problème à résoudre. Est-ce que la viande humaine est halal et casher ? Parce que notre barbaque est paraît-il celle qui se rapproche le plus de celle du cochon.
Ouais. Il faudra creuser la question. En tout cas, pour les chrétiens, pas de problème puisqu’ils préconisent de bouffer le corps de leur dieu fait homme !
Bon app’
@Joss Mandale
Heureuse, elle va couver sa progéniture avec sa belle chair laiteuse des mois sans R. Puis qu’est-ce qu’elle fait quand elle a chié ses lardons madame Huitre ? Qu’est-ce qu’elle fait ? Je vais vous le dire. Je vais vous le dire. Eh ! Oh ! Calmos. Faut pas s’exciter comme ça. Bon. Madame Huitre elle change de sexe ! Elle devient Monsieur huitre ! Et Monsieur Huitre, qu’est-ce qu’il fait après avoir pris son panard ? Ben, il va pisser, il boit un coup, fume une clope puis il rentre chez sa femme. Comme tout le monde, quoi. Eh bien non ! Monsieur l’huitre, après avoir tiré son coup, il change de sexe ! Putaing ! Le pied les mecs et les meufs, non ? Connaître les deux plaisirs ! Le rêve de tout jouisseur hédoniste…
@JL
Ce que vous dites ’est pas faux concernant les Vietnamiens. Mais cette partie de mon commentaire n’est qu’une illustration, l’essentiel est là : "Le principal problème, mais de taille vient du fait que 98% les migrants actuels sont musulmans. (Voir plus haut le commentaire de Popov pour comprendre pourquoi).
@insomnia
@kirios
Oui. Pendant des années je me suis démerdé seul. Et j’y arrivais, sans me plaindre ni rien demander à personne. . Mais il y a un moment crucial - l’incontinence totale - qui met en face d’un choix. La démarche, c’est mon beau-fils qui l’a faite : contacter le conseil général qui envoie une personne pour évaluer la situation, déterminer les besoins et proposer des aides. Ensuite ces aides, vous les acceptez ou pas. Elles sont de plusieurs ordres : - placement dans un Ephad, - maintien à domicile avec venu le matin, voire aussi le soir en fonction de l’évolution de la maladie, - aide de personnes venant « faire la maison » et vous permettant, une ou deux heures par semaine de faire les courses, de vivre pour vous, - placement une u deux fis par semaine dans un « accueil de jour », de 0h30 du matin à 14h30. Tous les personnels sont formidables et « l’aidant » y trouve son compe tut comme le ou la malade.
De plus, ces aides sont plus prises en compte financièrement si le bénéficiaire est plus « pauvre ».
Amitiés..
@moussars
Cavanna disait :« Vous n’avez pas voulu l’espérento (dans lequel il y a espérance), vous aurez l’anglais ».
Au fait, quelle est la langue présente dans presque toutes les langues d’Europe, à l’exception des langues magyares (hongrois et finnois)) ? Le latin !
Ouarff, l’autre ! Une langue morte. J’entends s’esclaffer les globischiens... Pourtant une autre langue morte, l’hébreu, a été ressuscitée en une génération. Et le latin ce serait une langue véhiculaire entre Européens qui aurait une autre gueule que cette sous-merde de globiscjh.
On assiste à la volonté de mise à mort non seulement du français mais de la plupart des langues du monde. Responsable : l’impérialisme étazunien qui sévit à tous les niveaux : industriel, commercial, militaire mais aussi et surtout culturel. On nous abreuve jusqu’à l’écœurement de sous-merdes des séries télévisées étazuniennes, qui – largement amorties au USA - arrivent par plein cargo à prix cassés, ruinant ainsi la création française qui n’existerait plus sans les subventions gouvernementales. On nous emmerde jusqu’à en dégueuler de ces collections de bruits abrutissantes que les programmateurs déversent à pleins seaux dans nos pauvres oreilles et qu’ils ont le culot d’appeler « musique ». Même les chanteurs français beuglent maintenant dans cette langue et…sont récompensés par des « victoires de la musique ». Les boutiques se croient obligées de se donner des noms anglais. Il y a plus de mots anglais sur les murs qu’il y avait de mots allemands pendant l’occupation !
Ce rapport n’est qu’une malfaisance de plus du lobby (pardon, du groupe de pression) des collabos pro anglo-saxon. Rappelez-vous la loi Fioraso, les propos d’Allègre, etc. Car il s’agit bien là d’impérialisme. Une langue, ce n’est pas rien. Son expansion entraîne avec elle toute une culture, un mode de vie, de société. Accepter le remplacement de sa langue maternelle, et donc de ses racines, au profit d’une langue étrangère conquérante n’est rien d’autre qu’une abdication.
En 1961, le British Concil, institution gouvernementale chargée d’établir des relations culturelles entre le Royaume-Uni et d’autres pays, s’est tenu à Cambridge pour une réunion anglo-américaine. Outre les rapports officiels ayant émergé de cette réunion, affirmant que l’anglais devait se développer partout dans le monde dans le but « d’aider au développement économique des autres pays », une note issue d’un rapport confidentiel révèle les dessous de l’affaire avec notamment cette phrase : « L’anglais doit devenir la langue dominante remplaçant les autres langues et leurs visions du monde : chronologiquement, la langue maternelle sera étudiée la première, mais l’anglais est la langue qui par la vertu de son emploi et de ses fonctions deviendra la langue fondamentale. » On ne saurait être plus clair.
On pourrait également citer le rapport de la CIA en 1997, avertissant de l’urgence d’imposer l’anglais comme langue unique internationale avant que « des réactions vraiment hostiles et nombreuses qui apparaissent et se développent partout contre les États-Unis, leur politique et l’américanisation de la planète. »
Sans parler de la prédominance progressive de la langue anglaise au sein des textes officiels de l’Union Européenne. Entre 1986 et 2008, le pourcentage de textes primaires de la Commission européenne rédigés en anglais est passé de 26 à 73% au détriment des autres langues. Une généralisation, que l’on peut également constater à l’ONU, qui crée une discrimination linguistique indéniable.
Ainsi, devant cet état de fait, comment devons-nous réagir face à la multiplication des études plaçant la France en véritable cancre des cours d’anglais obligatoires ? Faut-il en pleurer et, à l’image des Sud-Coréens, se faire retirer le petit bout de peau sous la langue pour parvenir à mieux prononcer la langue de Shakespeare ? Ou fait-il, au contraire, s’en féliciter ?
Aussi corrompues et soumises soient nos élites, les Français, en plus de se montrer réticent à l’hégémonie culturo-linguistique anglo-saxonne, s’avèrent être de redoutables défenseurs de la préservation de la langue française (loi Toubon bien que sérieusement bousculée, renforcement de la francophonie…).
Oui, nous sommes des billes en anglais, des cancres, des ratés ; mais comme dirait un certain Cambronne : Merde !
@Alren
Merci pour ces précisions très documentées.
@Zolko
A cause d’une névrose collective archaïque et mortifère appelé islam.
L’anglais, bien loin d’être la langue universelle qu’on nous présentait jusqu’alors, l’anglais, la langue de Shakespeare, n’est rien d’autre que du français mal prononcé :
-
Ail ou radis ? Are you ready ? Êtes-vous prêt ?
- Saintes salopes - Thanks a lot - Merci beaucoup
-
Débile - The bill - L’addition
- Mords mon nez - More money - Plus d’argent
-
Marie qui se masse - Merry Christmas - Joyeux Noël
- Oui Arlette - We are late - Nous sommes en retard
-
Mais dîne Franz - Made in France - Fabriqué en France
- Y s’pique Germaine - He speaks German - Il parle allemand
-
Ahmed a l’goût de tripes - I made a good trip - J’ai fait un bon
voyage
-
Six tonnes de chair - Sit on the chair - Asseyez-vous sur la
chaise
- Les slips tout gais serrent - Let’s sleep together - Dormons ensemble
- Guy vomit sous mon nez - Give me some money - Donne-moi un peu d’argent
-
Âme coquine - I’m cooking - Je cuisine
- Deux bouts de chair - The butcher - Le boucher
- C’est que ça pèle - Sex appeal - Attirance sexuelle.
@Cateaufoncel2
J’ai lu moi aussi avec beaucoup d’intérêt ce livre de Regis Debray qui explique simplement des évidences oubliées.
@mon amie gardoise Rosemar.
Il te faut, au moins une fois, aller à Nîmes, aux arènes, a las cinco de la tarde…
L’Humain
- moi, toi, lui, nous – est vraiment un drôle d’animal. Une sale
bête…
Il fait chaud. Très chaud. A las cinco de la tarde…
Les vieux gradins de pierres blondes des arènes de Nîmes sont garnis jusqu’au sommet d’une foule aux couleurs excessives. Sous un soleil excessif. Pour trembler, hurler, s’enthousiasmer, applaudir, haïr de manière excessive devant un spectacle excessif.
Un rituel ancestral codifiant le combat de l’homme et du dieu Mithra.
La corrida.
Transcendée ou honnie.
A las cinco de la tarde…
Symboliquement, c’est le combat de l’homme et de la femme. Combat toujours perdu par l’homme.
L’homme, ici, c’est le toro, sa puissance brute, son courage insensé, ses charges désordonnée. La beauté de la force.
La femme, c’est le torero. Léger, aérien, si féminin dans son allure et ses attitudes. Opposant à la force l’intelligence, l’esquive, le leurre. La beauté.
Au centre du cirque, sous dix mille paires d’yeux, il y a un homme.
Une « danseuse » dit Cabrel qui n’a manifestement jamais vu l’œil d’un toro de près. Et un monstre mythique. Six cents kilos de force brute, de bravoure, de volonté de détruire tout ce qui s’oppose à lui.
Des deux, un seul sortira vivant. Et ce sera, presque toujours, l’homme. L’animal n’a jamais sa chance. C’est vrai. Combat inégal, certes, mais où l’homme risque toujours sa vie. Où son existence est suspendue à une erreur, une inattention. Où il frôle constamment la cogida, la blessure, le désastre, la mort.
On est là. Assis. Pétrifié par une attention insupportable. Tous nos sens tendus vers le ballet de mort qui se déroule à quelques dizaines de mètres.
Ambigüité de l’homme : on tremble pour le torero mais on sent pourtant monter, malgré tous les barrages de la civilisation, depuis les tréfonds cachés de notre personnalité, l’angoisse mais aussi quelque chose de moche, de sale : l’espoir honteux de la victoire du toro, de la défaite et du massacre de l’homme. Le dompteur mangé par le lion…
La corrida, c’est du sang, de la peur, de la violence.
C’est la mort toujours présente. Fascinante et répugnante. Appelée et rejetée.
La corrida, c’est beau et obscène. Grandiose et pervers.
Comme la vie. Comme la mort.
Tenez, cadeau :
« Trois réacs à la FIAC ». Ça prend un peu de temps mais... du grand Mermet !
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