• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Christian Labrune

sur Fin de Daech en Irak/Syrie : Qassem Soleimani félicite Khamenei et tous les musulmans


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Christian Labrune Christian Labrune 25 novembre 2017 11:31


de la nature de l’eau

 LA SCIENCE CHIITE ET LA SCATOLOGIE ; Extrait du Petit livre vert de l’Ayatollah Khomeiny

1. Il y a deux sortes d’eau : l’eau pure, et l’eau « en solution », par exemple le jus de pastèque ou l’essence de rosé, ou l’eau boueuse. L’eau pure se divise en cinq catégories : l’eau stagnante en quantité suffisante pour purifier ; l’eau stagnante mais en quantité insuffisante ; l’eau courante ; l’eau de pluie ; l’eau du puits.

2. L’eau purificatrice[12] est la quantité d’eau contenue dans un récipient dont la longueur, la largeur et la profondeur mesurent chacune 31/2 vadjab[13]. Cette quantité d’eau doit avoir un poids de 128  « man » moins 20 «  mesghal », ce qui équivaut à 383 kg 906 g.

3. L’eau susdite, si elle change de goût, d’odeur ou de couleur à cause de contacts impurs comme par exemple le sang ou l’urine, devient impure ; mais si elle change indirectement d’odeur, de couleur ou de goût à cause d’une matière impure, par exemple si son odeur est modifiée au voisinage d’une matière en décomposition, elle reste pure.

4. L’eau polluée par le sang, l’urine ou autres impuretés et qui a changé ainsi d’odeur, de couleur ou de goût est purifiée par l’eau courante ou par l’eau de pluie qui tombe directement dedans, ou l’eau de pluie amenée par le vent, ou charriée par une gouttière, et retrouve ses propriétés purifiantes.

5. On peut prouver que la quantité d’eau est suffisante pour être purifiante de deux façons : que l’on en soit personnellement convaincu, ou que deux hommes dignes de foi l’affirment.

6. L’eau servant à laver l’orifice urinaire et l’anus reste pure dans cinq cas : a) qu’elle n’ait

pas l’odeur, la couleur ou le goût de l’urine ou des selles ; b) qu’une impureté extérieure ne l’ait pas touchée ; c) qu’une autre matière impure comme le sang ne soit pas sortie de l’anus ou de l’orifice urinaire en même temps que les excréments ou l’urine ; d) que des parcelles d’excréments ou l’urine ne soient pas visibles dans l’eau ; e) que les excréments qui ont touché l’anus n’aient pas été plus abondants qu’à l’ordinaire.

7. L’eau courante, même si sa quantité n’atteint pas celle de l’eau purificatrice, reste pure donc potable si elle contient des excréments ou de l’urine, à condition toutefois que ce mélange ne modifie ni son odeur, ni sa couleur, ni son goût.

8. Si des excréments, de l’urine ou autres impuretés ont pollué l’eau courante, seule la partie qui a changé d’odeur, de couleur ou de goût devient impure ; le reste est pur.

y. Si des excréments, de l’urine ou toute autre impureté se trouvant sur le toit d’une maison reçoivent la pluie, cette eau de pluie si elle continue à tomber et à s’écouler directement du toit ou par la gouttière reste pure ; mais si la pluie cesse, l’eau qui continue à couler et que l’on sait avoir touché les impuretés sur le toit est impure.



Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès