@DACH
Les généraux français (et sans doute européens) ont été dans le déni de réalité, en refusant systématiquement de prêter attention aux répétitifs avertissements médiatisés américains.
Ce n’était pas du tout notre cas et j’avais signalé cette imminence dans nos réunions du think tank « SOLution ». Puis un article très prémonitoire le 30 octobre 2019, tirant le signal d’alerte contre une haine montante débordant sur un racisme anti ukrainien et un révisionnisme anti Ukraine tout court.
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Ces mêmes généraux français n’ont eu ensuite de cesse d’annoncer de façon péremptoire « l’effondrement militaire de l’Ukraine la semaine suivante ou la semaine d’après ».
Nos réunions, bien au contraire, cartes et photos à l’appui, montraient déjà l’état médiatisé d’embourbement des colonnes blindées russes attaquées de tous les côtés.

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L’aide très tardive de la France (et honteusement faible comparée aux pays de l’Est et du Nord)

était consécutive cette certitude capitularde quasi Pétainiste que les ukrainiens n’étaient pas capable d’empêcher l’inéluctable défaite. Cette névrose défaitiste de badernes incompétentes faisant dire que « l’armée française a été battue en 1870, 1914, 1940, 1954, etc., pourquoi un pays inconnu comme l’Ukraine serait capable de bloquer le rouleau compresseur blindé russe ? »)
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Un autre article en date du 14 novembre 2020 soulignait l’inertie suicidaire de la France, des pays OCDE signataires et de l’ONU pendant 15 ans au Haut Karabakh (exactement la même attitude suicidaire qu’en Ukraine avec l’accord-piège de Minsk).
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La France, co-signatrice dans les deux cas, n’a jamais levé un doigt de bon sens, d’alerte et d’initiative au Conseil de Sécurité de l’ONU et à l’OSCE où elle a trôné pour rien, sous l’impulsion toxique du plus mauvais ministre des affaires étrangères que nous ayons eu dans la 5eme République (exemple de l’incroyable, scandaleuse et déshonorante lâcheté médiatisée de Jean-Yves Le Drian le 19 mars 2018 en fin d’invasion de la région d’Afrine / Nord de la Syrie par la démocrature également blindée de Recep Tayyip Erdogan. Déja, à l’époque, la puante veulerie pur jus à la sauce Munichoise 1938 !!!
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Il est vrai qu’à ces dates, la censure était moins redoutable...
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Après le dépassement du déni de réalité propre à l’élite tant française qu’européenne
(l’Allemagne est arrivée à être pire que la France, à la fois comme aveugle et comme « collabo » des démocratures turques et russes),
il serait bon d’établir une liste crédible des pertes respectives à destination des peuples russes et ukrainiens, ainsi qu’un panel de solutions plausibles et non déshonorantes par les deux pays à la fois (dont le plan de paix russo-ukrainien proposé par le think tank « SOLution »).
Cordialement.