Malgré l’augmentation des frappes des V1 modernes (iraniens) sur l’arrière du front et majoritairement sur des cibles civiles (à l’image de Londres en 1940), malgré les discours enflammés de Vladimir Poutine et la mobilisation à ce jour de plus de 1.200.000 de réservistes de tous âges (spectaculaires différences d’âge des hommes entassés dans les camions) au lieu des 300.000 jeunes officiellement annoncés par la propagande du Kremlin), la contre offensive ukrainienne ne faiblit aucunement.

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Profonde percée ukrainienne de 30 Km également au Nord du théâtre militaire de Kherson. A ce rythme, toute la zone à l’Ouest du Dniepr devrait être récupéré également d’ici Noël. Mais ne pas vendre prématurément la peau de l’ours... car les troupes russes sur place sont expérimentées.

=> L’absence de forêts et de zones urbaines nuit beaucoup à la solidité de leur défense face à l’artillerie moderne occidentale (très précise) maintenant sur place.

=> Leurs ravitaillements sont gravement diminués à cause des ponts devenus impraticables.

=> L’aviation russe, durement éprouvée par les frappes à longue distance sur ses bases (y compris en Crimée près de Sébastopol) a du se replier en Russie et n’intervient plus que de loin (fatale grosse perte de temps entre la désignation d’une cible et l’arrivée tardive des appareils russes de plus en plus rares et de plus en plus vulnérables).

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Conclusion :

Je compare toute cette zone à un immense et implacable Dien Bien Phu.

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Vladimir Poutine va y perdre ses meilleurs régiments comme cela a été crétinement le cas pour la France en 1954. Il n’est donc même pas de l’intérêt des ukrainiens de précipiter les choses dans ce « chaudron » naturel.

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Si tout ce que je prédis depuis le 24 février (contre l’avis unanime des plateaux télé français), se réalise à nouveau d’ici Noël, Vladimir Poutine aura fatalement des comptes à rendre aux mères des appelés qui multiplient les manifestations...

...ainsi qu’à ses généraux de plus en plus inquiets de la tournure des évènements et ne voulant pas servir de bouc-émissaires.

La chute finale du tyran viendra de l’intérieur de la Russie et même de son cercle.