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Commentaire de Géronimo howakhan

sur Covid-19 : alerte au sous-variant BQ1.1 !


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Géronimo howakhan Géronimo howakhan 15 octobre 2022 08:22

@Géronimo howakhan

Nous assistons donc à une évolution tragique, qui a fait renaître un paradigme déjà réfuté et particulièrement dangereux. Depuis plus de 2 000 ans, on enseigne : « Seigneur, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Cependant, depuis 1995 - depuis que j’ai ouvertement posé la question des preuves de l’existence des virus - un ajout clair a été fait : « Car ils ne peuvent pas admettre que ce qu’on leur a enseigné est faux, plus encore : que c’est dangereux voire mortel. »

Parce que jusqu’à présent, personne n’a eu la vue d’ensemble et le courage de dire la vérité, nous voyons de plus en plus de « mauvais esprits » - libres de Goethe - et d’hypothèses auxiliaires comme il existe les concepts de « système immunitaire » ou d’« épigénétique ». Tout cela afin de pouvoir maintenir les théories inventées à l’époque, étrangères au monde et déjà réfutées.

L’histoire de la virologie est une triste séquence de vœux pieux et donc de non-scientificité flagrante. Tout d’abord, la théorie du virus (terme latin signifiant « poison de la maladie ») a été érigée en dogme en 1858. Elle a été suivie par l’idée de bactéries pathogènes, particulièrement promue par Pasteur. Puis vint la théorie des toxines bactériennes (essentiellement les excréments de ces créatures) et enfin des virus, jusqu’à ce que cette idée soit explicitement abandonnée en 1952.

Mais avec la renaissance de 1953, ils ont présenté l’idée des poisons de la maladie de Virchow sous une nouvelle forme, cette fois des soi-disant « virus génétiques », et à partir de là, ils ont même promu l’idée des gènes du cancer et de la « guerre contre le cancer », qui a été fondée sous l’ère Nixon. Le dernier rejeton de cette lignée honteuse est l’idée que les gènes, parce qu’ils portent tous les caractères, doivent donc aussi porter toutes les maladies.

En l’an 2000, cependant, avec le dévoilement des données contradictoires du soi-disant Projet Génome Humain (la prétention honteuse et grotesque que l’ensemble du patrimoine humain était presque découvert), il est devenu clair que ce n’était pas possible, et que plus de la moitié de ce génome devait être inventé par les chercheurs eux-mêmes pour lui donner un certain visage. Toutes les idées sur les gènes en tant que « porteurs » de toutes les informations - et donc aussi des informations sur les maladies - ont ainsi été totalement et complètement réfutées.

Jusqu’à présent, cependant, le commun des mortels n’en a pas conscience. Les universitaires impliqués ont beaucoup de mal à admettre le rôle douteux qu’ils ont eux-mêmes joué dans le processus, étant donné l’impact des développements gravement trompeurs qui ont suivi.(7) Mais les faits sont les faits : l’intégralité du génome humain n’est pas séquencée, quoi qu’on en dise.


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