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Commentaire de Réflexions du Miroir

sur L'autisme, un bonheur que je ne souhaite à personne


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Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 10 avril 09:45

@Fergus bonjour,
 En faisant le scanning de ce que l’on disait sur l’autisme avant de sortir cette préversion de mon billet définitif de fin de semaine, j’ai pu constater que vous êtes souvent intervenu dans les commentaires au sujet de ce « spectre autistique ».
  Le mot « spectre » veut dire « Apparition effrayante d’un mort. » et correspond bien à la situation d’un enfant qui n’est pas tout à fait comme les autres. 
  J’ignore si vous avez regarder le téléfilm « Tu ne tueras point » très bien interprété par Samuel Le Bihan comme avocat. La forme n’est peut-être conforme à votre goût, mais ce n’est pas la forme, mais le fond qui est toujours plus important à mes yeux comme je le rappelle dans le sketch que j’ai organisé et joué dans le « Chiffre contre la Lettre » avec Alain littéraire qui ne supportait pas de voir une fôte d’ortogaffe et moi, dans le domaine du numérique et des chiffres. Je n’en ai parlé dans ce billet, mais ce sketch a généré une coupure entre Alain et moi, pendant près d’un an. J’en parle dans « Un autre monde est possible ». Quand j’écris que nous étions très différent et parfois opposé, ce n’était pas pour faire bien ou pour se justifier.  
  Pour revenir au film « Tu ne tueras point », le long plaidoyer de l’avocat de fin dans le film était superbe de vérité. Comme il est dit par le présentateur du débat : on voudrait avoir un avocat comme lui. 
Il citait aussi le cas des trisomiques avec le film Le Huitième Jour dans lequel
Harry  est un homme seul qui se voue sept jours sur sept à son travail. Tout va basculer quand il rencontre Georges, une personne handicapée mentale atteinte de trisomie 21, qui vit dans l’instant. Ces deux êtres que tout oppose vont devenir inséparables.
  Inséparables, mais aussi par une suite de sacrifices.
  Quand, bien portant, bien dans sa tête, on constate la difficulté de vivre, la lutte de tous les jours. Cela craint même si cela fait partie des aléas de la vie.
  Avoir des enfants, c’est un choix, m’a-t-on dit. Je n’ai personnellement pas voulu assumer ce choix et risquer rater ce que j’aimais « créer des solutions » dans mon métier pour assurer une succession.


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