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Les commentaires de Cazeaux



  • Cazeaux Cazeaux 6 juin 2017 02:32

    bs à l’auteur,


    Comme indiqué lors d’un précédent échange sur cette poignée de main ridicule et arrogante, je pense, bien sûr ce n’est pas d’une grande importance, que les médias ont « gonflé » les mesures de Macron : quand on le voit à côté des minis -tres hollandais et Hollande, on remarque qu’il n’est pas plus grand, donc moins haut qu’ 1m73. De plus, il est très mince et de menue carrure, cela donne en dessous de la « règle » du moins dix : 173 - 10 = 63 ; je pense qu’il doit se situer à 58-60 maxi pour 168 maxi.

    Et puis il y a le coup de l’anglais. Sa phrase en anglais pour commenter le rejet de la Cop 21 par Trump.
    Il a sorti trois mots appris par coeur montrant un faible degré de pratique et les médias ont salué le président qui « enfin sait parler anglais ». Chirac le pratiquait nettement mieux, ayant passé un an aux USA dans ses jeunes années. 
    Ce que n’ont pas noté ces média-lâtres, c’est qu’après la pogne de fer, Macron avait une occasion de répondre à Trump en anglais et curieusement il ne l’a pas fait ; sans doute craignait-il une réplique de Donald qu’il aurait eu du mal à comprendre. Le fait d’avoir été chez Rothschild ne lui a nullement donné l’occasion de causer english. Au niveau directorial où il a atterri, on ne parle pas anglais. Ce sont les petits requins des salles des marchés qui pratiquent, un anglais spécialisé, pauvre en mots.

    Pas même De Gaulle n’a bénéficié d’un tel concert de louanges aussi délirant. Pourtant le bougre de général avait déclamé à Bonn, un discours en allemand, sans aucune texte sous les yeux, sans parler de son poème en breton, (où on a l’impression toutefois d’entendre un extra-terrestre...)


  • Cazeaux Cazeaux 6 juin 2017 01:05

    Vous dites :  le coup d’état de 18 Brumaire fut financé par les banquiers, qui eurent plus tard leur récompense.


    Dénoncer la forte mainmise des puissances d’argent sur la classe politique depuis son apparition avec la Révolution ne doit faire penser que tout s’explique par elles. Le 18 Brumaire fut une sorte de coup d’Etat agencé sous la férule de Lucien, frère aîné de Bonaparte. Mais tout comme celui de 1851 ou celui de 1958, il ne nécessitait aucun financement. Les banquiers suivent, corrompent mais ils se gardent bien de s’impliquer dans des coups aussi incertains.

    Plus haut, vous dites, sans aucune argumentation, que Macron est l’antithèse de De Gaulle. Lisez ou relisez mon article d’avant le 2e tour, Macron, Le Pen, Dupont-Aignan : tous gaullistes. J’y expose combien la notion de gaullisme est à multiples facettes et ce qui rapproche plus ou moins les candidats se revendiquant de De Gaulle. 

    Je prépare un article dans lequel précisément je souligne la continuité de la pratique institutionnelle depuis De Gaulle et la tournure « hyper-gaullienne » prise par le nouveau président. On ne saurait parler de Macron comme l’antithèse d’un De Gaulle qui a lui-même agi en contradiction avec les conceptions qu’il avait défendues de 1946 à 1958.






  • Cazeaux Cazeaux 28 mai 2017 10:52

    @phan
    La guerre des camisards ne peut être assimilée aux guerres de religion du XVIe siècle, même si il y a une discrimination antiprotestante à la base de la révolte. Ou alors on peut considérer que la guerre de Vendée est aussi une guerre de religion. Dans les deux cas, on a un Etat qui réprime durement une révolte mais pas des revendications contraires de l’orthodoxie doctrinale donnant lieu à une guerre civile.


    Le conflit nord irlandais s’inscrit dans la volonté d’indépendance de l’Irlande. Il y a coïncidence entre catholicisme des Irlandais et anglicanisme britannique du fait de l’invasion anglaise mais, surtout avec L’IRA moderne, ce ne sont pas des motifs proprement religieux, doctrine contre doctrine, qui expliquent les troubles.

    Quant au 28 tirailleurs sénégalais, je ne saisis pas votre raisonnement. La majorité des Sénégalais sont musulmans et c’est peut-être le seul pays de cet ordre où les deux communautés vivent en paix depuis les origines. 

    Puisque vous les évoquez, ces hommes-là comme tous leurs compatriotes étaient français jusqu’en 1960. Depuis juin 1958, ils bénéficiaient de la totalité des droits civiques et le 28 sept ont voté massivement oui au référendum qui, pour les ex-colonies, posait la question (inscrite dans la Constitution) : voulez-vous faire partie de la Communauté ? Et puis, soudain, De Gaulle décide d’extraire tous les pays d’Afrique noire de la Communauté en leur imposant, en quelque sorte, leur indépendance.
    Cela a fait l’affaire de potentats locaux et d’affairistes douteux mais certainement pas des peuples.

    En tout état de cause, où voyons-nous des conflits violents entre églises chrétiennes ? Quel pasteur ou prêtre ou évêque prône la mise au pas voire l’élimination des chrétiens séparés d’eux ?


  • Cazeaux Cazeaux 28 mai 2017 02:04

    @Fifi Brind_acier
    L’inquisition a fini d’exister au XVIIIe siècle et la dernière condamnation à mort doit dater du XVe ou XVIe.

    En tout sa durée, on estime à pas plus de 3 000 personnes tuées.
    Les guerres de religion ont cessé au début du XVIIe siècle. Depuis, jamais plus les Chrétiens ne se sont entretués pour des motifs religieux.
    En revanche, du vivant même de Mahomet, les musulmans se sont battus entre eux et ils ne se sont jamais arrêtés. Il faut donc arrêter de comparer des religions qui n’ont rien de comparable.

    Quant à dire que les musulmans condamnent les attentats. Des musulmans. Mais la masse ne bouge pas. A l’appel de la mosquée de Paris après Charlie, il n’y a eu qu’une centaine de gens qui se sont déplacés. Et quand avons-nous vu des défilés de milliers de musulmans ? 
    La peur de l’islam vient de cette incertitude. On ne sait pas qui est qui et sur qui on peut compter.
    C’est aux musulmans de montrer leur rejet du terrorisme, de ce fait ils rassureront. Sinon, il est humain de se méfier.



  • Cazeaux Cazeaux 26 mai 2017 22:34

    @Gilbert Spagnolo dit P@py

    Voici que je cède à l’anglicisme, veuillez m’en excuser ... to shake hand : serrer la paluche. 

    A mon avis le Trump ne lui pardonnera pas cet affront lamentable. Le petit marquis poudré, tôt ou tard, aura droit à un retour de manche. 

    Quand je pense à l’ouvrier humilié avec l’histoire du costume ; Macron était à portée d’une bonne baffe et n’avait pas encore quatre gorilles autour de lui...comme Fillon quand il s’est montré si arrogant en face d’un urgentiste qui évoquait la situation dans les hôpitaux. Quand on voit la vidéo, on se dit que l’expert en emplois fictifs méritait d’être étranglé aussi sec.


  • Cazeaux Cazeaux 26 mai 2017 18:31

    @Gilbert Spagnolo dit P@py

    Après avoir visionné la poignée de main, je pense avoir compris ce qui s’est passé. Pas mal d’hommes ont cette stupide habitude de serrer fort la main croyant ainsi prouver leur force. D’autres, comme moi, y répugnent fondamentalement, au moins par politesse élémentaire. 

    Combien ai-je ainsi été la « victime » de hand shakers dont j’aurais pu briser les doigts dans une hypothèse de combat. 

    Trump s’est fait surprendre, tendant une main « diplomate » à un Macron teigneux qui en a profité pour serrer brutalement la pogne du ricain. A ce jeu, c’est le 1er qui serre qui gagne.

    Mais à leurs adieux, on voit très bien la puissance de Trump qui arrache presque le bras de Macron, en guise d’amicale revanche. Macron s’en sort en tapotant le bras de Trump, ce que la presse célèbre comme un fait d’armes. En réalité, le mouvement de Trump était une impulsion d’une fraction de seconde, uniquement destinée à remettre les réalités à leur place.

    Quant à la presse US qui a fait ses choux gras de la poignée de main « antiTrump », elle montre seulement qu’elle demeure remontée contre le « Prez » populiste.



  • Cazeaux Cazeaux 26 mai 2017 18:05

    @Gilbert Spagnolo dit P@py


    J’ai déjà noté sur wikipédia des tailles manifestement « gonflées ». Au monde des nabots de la Hollandie, il suffit de comparer les zozos entre eux. Macron ne semblait pas plus haut que Hollande, Vals ou Le Drihan, à peine plus hauts que Cazeneuve. 

    Quant aux 69 kgs, il faudrait que notre « petit marquis poudré » (expression de Fabius) ait des os en métal pour peser si lourd avec sa carrure ! C’est un poids coq tout menu, sans épaules, ni fesses ni cuisses.

    Le coup de la poignée de main, c’est encore une intox made in Obs. Ils vont finir par nous dire que Macron, a mis KO Philippe dans sa salle de boxe, juste pour s’amuser !

    Trump a eu l’occasion de se battre en public, il n’a pas l’air d’un sac de saindoux... 
    Le pauv’Macron, freluquet à la Kouchner , souvenez-vous de l’anecdote de l’immeuble de Minc, lors des tractations pour la reprise du Monde : on l’a retrouvé au dernier étage, apeuré comme un petit rongeur, collé contre une porte !


  • Cazeaux Cazeaux 26 mai 2017 02:10

    .....alors votre combat s’arrete là ! ....  doit on s’arreter de prendre tout en considération ?

    J’avoue ne pas bien vous comprendre.

    Etre bien pensant c’est bien joli, mais ça ne fait rien avancer, au contraire, 
    Vous trouvez que ce que j’écris s’assimile à de la « bien-pensance » ? 
    Bien penser est toujours fonction de votre auditoire et si celui-ci est la caste dirigeante, vous avez droit à un label qui vous ouvrira les portes des grands médias.
    Autrement...c’est déjà bien qu’Agoravox existe. Quelle est sa portée, ça je l’ignore.
    Du moins, isolé, sans relais ni moyens, l’on peut susciter quelque débat. Et le débat est en amont de toute action véridique. 

    Macron est dévenu pdt sans débat parce qu’il disposait de gros soutiens et de cette gigantesque machine que nous sommes plusieurs à avoir cherché à démonter.

    Pour le combattre, il faut soit une puissance de même échelle, soit une patience d’araignée, espérant que d’autres araignées se mettront aussi à tisser.




  • Cazeaux Cazeaux 25 mai 2017 22:44

    Sans aller jusqu’aux balles, il y avait jadis les galères, sans nuisance carbone, pour mener en quelque endroit où l’on casse des cailloux, voyage aller sans retour ! Avec tous ces messieurs de la haute finance, on produirait du gravier pour pas cher...

    Je répondais seulement au commentaire extra-terrestre, puisque la personne parle de nous en disant « vous les humains »... 


  • Cazeaux Cazeaux 25 mai 2017 15:21

    A quoi bon nous parler dans ces conditions ? 


    Allez déposer une bombe pour faire exploser une loge, imaginez et réalisez un attentat contre Macron.

    Ou alors, tenez-vous à l’écart des événements politiques et pensez à autre chose.


  • Cazeaux Cazeaux 25 mai 2017 13:38

    Pas si sûr car l’an dernier cela a été chaud et songez que des passerelles se sont constituées entre cgt et FN.

    Il y a la vieille génération cgtiste, toujours braquée contre les « fachos » et puis une cgt plus jeune, qui voit en premier que le régime veut saborder les droits acquis. 

    Si au moins dans quelques lieux, cgtistes et militants FN pouvaient se retrouver ensemble face aux « cognes », une perspective nouvelle s’ouvrirait.

    Mais je rêve sans doute... Enfin, il y eu tout de même 71% des Français qui soutenaient moralement le combat anti loi travail.


  • Cazeaux Cazeaux 25 mai 2017 01:21

    @OMAR
    On a l’impression que ces caractéristiques supposées du fascisme suscitent en vous une sorte de délectation ...


    1. Précisément, le fascisme élémentaire comme vous dites, originel est plus approprié, celui des Fasci italiani di combatimento, n’avait rien de raciste et d’antisémite ; les Juifs y étaient d’ailleurs présents dans une proportion nettement supérieure à celle de leur communauté dans la population italienne. Pour ce qui est du bestial, peut-être pensez-vous à l’auteur du texte de l’hymne fasciste Gabiele d’Annunzio, l’un des plus grands écrivains italiens toutes époques confondues ?

    2. Trouvez-nous une déclaration, un discours, un texte de Marion MLP qui ait la moindre connotation antisémite, xénophobe, raciste ?


  • Cazeaux Cazeaux 25 mai 2017 00:44

    D’abord, la comparaison entre votre blog et celui de Paul Jorion laisse penser vous ne faites qu’une et même personne, Paul Arbair étant une signature dédiée à certains thèmes peut-être plus politiques.

    Me trompé-je ?

    Ensuite, votre longue réflexion, certes exprimée avec rigueur et élégance, se fonde sur une appréciation erronée de la nature originelle de la Ve République. J’en parle en 2e partie de mon article Macron, l’élection d’un Président impopulaire et je compte en reparler dans un prochain article qui sera la 2e partie d’une réflexion sur Macron, le Président-Soleil.  Contrairement à ce que dit Macron, qui a pourtant étudié le droit constitutionnel à Sciences Po, cette espèce de monarchie républicaine qu’on se plait à évoquer ici et là est un dévoiement des institutions mises en place par la loi constitutionnelle d’octobre 1958. Soustelle en 1962, puis Mitterrand en 1964 ont magistralement analysé ce détournement amorcé par De Gaulle dès son retour au pouvoir en juin 58.

    Néanmoins sur le fond, nous sommes d’accord, la non pas présidentialisation des institutions, le régime présidentiel ne donnant pas au Président la faculté de dissoudre le Parlement, mais la tournure autocratique que la Ve République a prise est effectivement un facteur majeur de sclérose de la vie politique. 

    Il est hélas à craindre, Macron obtenant la majorité des sièges aux législatives, que nous dirigions assez vite vers cette Restauration gaullienne dont la véritable référence est ce qu’il est convenu d’appeler la Constitution de 1964. Apparente contradiction, le renforcement de la mainmise du capitalisme sur la société ira de pair avec une accentuation du caractère autocratique du régime.




  • Cazeaux Cazeaux 24 mai 2017 22:19

    @Armelle
    La particularité de ce qui se passe est précisément qu’on a dépassé le simple opportunisme qui consiste à aller dans le sens du vent. L’on est passé à la phase 2 du marketing qui est une politique de l’offre. Hitler correspondait à une attente ; avec son idéologie raciste (qu’il n’avait pas au tout départ), il a été plus loin, profitant de son aura.

    Dans le cas présent, le produit a été imposé grâce à la maîtrise des mécanismes d’adhésion et de mimétisme.

    Je suis observateur de la vie politique depuis fort longtemps, je m’en suis mêlé durant plus de dix ans et je bénéficie du « legs » d’expérience d’un grand-père qui fut acteur de cet univers dès la fin des années 20. Je puis vous dire qu’avec Macron, nous avons franchi un cap. 

    Dans la 2e partie de ma réflexion, que j’espère vous lirez, je compte montrer vers quel degré de personnalisation du pouvoir nous nous dirigeons. 

    Après, la remise en cause du modèle de représentation par le suffrage universel, c’est un sujet en amont qu’il faudra aborder. Quant à la réfutation de la notion d’Etat, il faut être clair sur ce qu’on entend par là. Si vous avez une vision structurée sur ce thème, écrivez donc un article. Cela permettra d’hausser la réflexion d’un cran !



  • Cazeaux Cazeaux 24 mai 2017 18:23

    Je ne comprends pas vraiment la démarche de votre article, avec cette longue incise quelque peu didactique sur la guerre et 1934. La comparaison avec ce qui se passe aujourd’hui n’est pas claire et les commentaires portent sur des détails pris ici et là dans votre article ou dans les autres commentaires, de sorte qu’à la fin on ne sait plus de quoi on parle...


    Mais puisque vous semblez aimer l’histoire contemporaine, permettez-moi deux remarques à titre de rectification

    • Pétain, homme des milieux d’affaires ! C’est bien la 1ere fois que je lis cela. Considéré comme traitre, comme sale collabo, comme raciste et condamné pour intelligence avec l’ennemi (sans aucune preuve tangible)...cela ne suffisait pas ? A quoi faites-vous référence ? Pétain avait la réputation d’être un républicain loyaliste sans aucune attache avec aucun parti ni aucun groupe de pression. Outre le grand prestige qu’il tirait de son attitude durant la Gde Guerre, il était précisément apprécié pour son indépendance. Citez-moi une personnalité du monde financier connue par avoir compté parmi ses proches ?
    • Les FFI qui comptaient 500 000 membres le 6 juin 1944 ! Où êtes-vous allé trouver cette info ? Quand vous pensez que les forces allemandes en Normandie n’ont pas atteint les 400 00 hommes ! Les alliés auraient été bien contents de disposer de 500 000 hommes pour prendre les Allemands en tenaille le jour J. Mais il n’y a eu que des sabotages et des aides aux parachutages. Ensuite, une fois les places abandonnées par les Allemands, qu’il y ait eu quantité de « brassards tricolores » pour piller, se venger ou se faire valoir, c’est une chose, mais en situation de vrai combat, on estime le nombre de résistants à environ 50 000 hommes, ce qui est déjà bien pour une force clandestine. On peut y ajouter les forces française libres, essentiellement présentes dans la IIe DB, en tout 25 000 hommes, mais c’est tout.


  • Cazeaux Cazeaux 24 mai 2017 17:34

    @Fergus
    Concernant France 2, revisionnez la couverture de l’investiture autour de Delahousse, c’est assez stupéfiant. Mais il y aussi la radio, dont les émissions d’actu sont bien plus suivies que celles des grandes chaînes TV : Il m’est arrivé de couper tout : Europe 1, RTL, France Inter, France Culture, France Info : au même moment, c’était un concert d’éloges.

    J’ai même entendu, sur RTL à l’émission politique de 19h15, Elisabeth Levy, pourtant très antiMacron avant sa victoire, se rallier à l’enthousiasme, comme si elle avait bu une coupette de trop : 
    « Après tout, il est jeune et brillant...attendons de voir de ce qu’il va faire etc. »

    Hormis le Figaro, les médias que vous citez sont marginaux en termes de lectorat. On pourrait dans ce cas, ajouter TV Libertés, Radio Courtoisie et tous les blogs « alternatifs ». Mais cela a peu d’impact.


  • Cazeaux Cazeaux 24 mai 2017 17:07

    Je rapporte ce que j’ai trouvé en me documentant sur cette dame Nyssen. Les articles sont nombreux qui soulignent l’inquiétude que suscite les écoles de la méthode Steiner. Par exemple sur le site de l’UNADFI (familles des victimes de sectes) : 

    "Parmi les nombreuses pédagogies alternatives qui sont aujourd’hui largement proposées, la pédagogie Steiner-Waldorf suscite l’attention toute particulière de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes)




  • Cazeaux Cazeaux 24 mai 2017 16:51

    @Armelle
    C’est ce qui se disait encore en été 1939 en France et en GB au sujet de M. le Chancelier Hitler...et en 1933, n’en parlons pas. 

    J’ai égaré un ouvrage dont je me souviens bien, écrit avant guerre par une journaliste du Times qui avait fait une longue enquête sur Hitler et Mussolini et dont le titre était « Je Connais ces Deux Dictateurs ». Il présentait des facettes aujourd’hui inconnues des deux hommes, mais montrait surtout combien parmi la gentry anglaise, Hitler surtout, était apprécié et à tout le moins, bénéficiait de ce droit à l’expérience que vous réclamez pour Macron. 

    Je crois que parmi le concert de louanges, les critiques émises sur Agoravox ne sont pas de trop.


  • Cazeaux Cazeaux 24 mai 2017 16:35

    @Traroth
    Sarko a eu droit aux louanges de son camp mais pas de l’ensemble du paysage médiatique et sans mordre à gauche. A l’époque, la presse n’était pas autant sous la mainmise d’une poignée de milliardaires. Et souvenez-vous combien et le Fouquet’s et le yacht de Bolloré avaient de suite terni son image.



  • Cazeaux Cazeaux 24 mai 2017 16:32

    @devphil
    Merci pour cette info, je vais aller voir.

    Concernant l’option d’un Cazeneuve qui aurait refusé de présenter la démission du gouvernement, c’est une des faiblesses de la Constitution. 
    Effectivement, en vertu des textes, rien ne peut obliger un PM de démissionner. 
    Figurez-vous que cela a failli se produire avec Rocard, je le tiens d’un de ses plus proches lieutenants. 
    Quand Mitterrand lui a demandé de se retirer, Rocard était sur un projet qui lui tenait à coeur. Il a différé d’une nuit la démission, ayant débattu avec sa garde rapprochée de l’option d’un blocage. 
    Cette faculté offerte par la Constitution au PM peut a elle seule créer une crise grave de régime.