A ce sujet, voilà ce que j’ai publié sur un de mes blogs miroir et qui n’a pas passé la modération de AGVX :
Eh ! Les Agoravoxiennes et Agoravoxiens, un peu d’humour ne fait pas de mal, non ? Vous croyez que je suis dupe de ce qu’est Macron ? Dans le titre, j’écris « Le discours du président que l’on aimerait entendre ». Ce qui sous-entend que ce n’est évidemment pas celui qu’on entendra, hélas. Et à la fin j’ajoute « Bon. On peut toujours rêver ».
Tè ! Allez voir le même texte dans mes blogs miroirs :
Ayoli !
Et bonne journée, moi je vais préparer le couscous !
@Christian Labrune
Ces braves Qataris nous font l’honneur d’acheter notre pays, afin de mieux instruire les Hexagonaux qui n’ont pas encore la chance de connaître la béatitude de la paix mahométane.
https://www.lci.fr/societe/du-luxe-au-sport-ce-que-le-qatar-possede-deja-en-france-1532878.html
Que vous nommiez Gille, que vous vous nommiez John
Avec un drapeau rouge, avec un gilet jaune
Que vous soyez méchant, que vous soyez gentil
La manif ne doit pas vous couper l’appétit.
Prenez un homo parasitus bien gras
C’est facile à trouver, il n’y a pas d’embarras :
Banquier, patron voyou ou élu cumulard
Curé, imam, rabbin, juge, flic ou bavard,
Faites à votre goût, ou selon l’arrivage,
Sans souci de couleurs, de sexe ou bien d’âge.
Tous sont aptes à fournir matière à bon mâchon.
A défaut, vous pouvez vous servir d’un cochon,
Il doit être saigné, vidé, émasculé
Si mâle (garder les attributs dans du lait)
Garnissez l’intérieur d’herbes aromatiques,
Thym, romarin, oignons coupés façon rustique,
Quatre ou cinq têtes d’ail, trois poignées de gros sel,
Salez bien tout le corps, cuisses, dos, fesses, aisselles,
Entourez le porc long de feuilles de fougères
Puis recouvrez le tout d’argile ménagère.
Vous avez préparé, à l’avance, un foyer
Dont le fond est garni de pierres, de galets
Chauffés à blanc par un grand feu de bois bien sec.
Dégagez-en les braises, allongez-y le mec,
Puis recouvrez de braises, de pierres et de terre,
De saisines d’huissiers, de relevés bancaires…
Laissez cuire douze heures, au moins, à l’étouffé,
Cette douce cuisson efface les méfaits.
Enfin, sortez le mets de sa croûte de gangue
Et régalez vous en, ça craque sous la langue !
Ainsi, même les pires, retenons la leçon,
Peuvent avoir du bon : c’est question de cuisson !
Victor Ayoli
@l’auteur.
Bravo, on se sent moins seul :
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/au-bistro-de-la-toile-gille-john-209591
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/pour-sauver-la-planete-vive-la-209117
Cordialement.
@velosolex
Eh ! Oh ! Je ne fais JAMAIS disparaître un commentaire, même s’il me pourrit. C’est le jeu.
Cordialement.
Victor Ayoli
@popov
Merci Popov pour cette trouvaille.
Il faut inciter nos lecteurs à la voir.
Pour retrouver quelques espoirs en l’homme
CLIQUEZ TOUS CI-DESSOUS
« ...une belle garce que l’on cherche. »
Pardon pour cette faute de frappe. Mais est-ce l’essentiel ?
Bonne journée.
Un texte plein de finesse et poésie. Bien Branduardi. J’aime bien Mouloudji aussi « Comme un p’tit coquelicot ».
Il parait que « coquelicot » vient de « cocorico », rappelant la crête rouge, la fierté du coq, son désir immodéré d’honorer les galines !
@amiaplacidus
Même dans les couvents les carottes sont abusées ;
https://www.cdsdg.com/cordonnier-pamphile.htm
@alinea
Je n’avais pas vu l’article de J.R. Simon en modé pour cause de titre trop banal. Il est remarquablement écrit et je viens de l’approuver.
Merci.
@colibri
Ah ! Le Kali Yuga...
Une fois, il y avait Vishnou qui se tapait une petite sieste quelque part, tranquille, dans un infini bleu, rose, parfumé. De son nombril est sorti une fleur de lotus. Et ce curieux de Brahma, en regardant dans le col évasé de ce lotus, a vu la création du monde et toutes les successions des âges de ce monde... Ça s’appelle le kalpa et ça dure quatre millions trois cent vingt mille ans. C’est pas beaucoup si tu compares au quinze milliards d’années qu’aurait l’univers. Mais les hindous sont un peu radins.. Ce kalpa est divisé en quatre yugas : le krita-yuga (ça vient du chiffre 4) qui dure un million sept cents vingt-huit mille années, le tetra-yuga qui vient du chiffre 3 et dure un million deux cent quatre-vingt-seize mille années, le dvapara-yuga, du chiffre 2, qui dure huit cents soixante-quatre mille années et enfin le kali-yuga, du chiffre 1, le plus mauvais, et qui dure quatre cent trente-deux mille années.
La première époque, le krita-yuga, c’est parfait, c’est le pied partout, le paradis terrestre. Tolérance, concorde universelle, connaissance se transmettant oralement, de maître à disciple. Une connaissance de toutes les lois de la nature, de l’homme. Le bonheur à tous les étages... Des pouvoirs sur la matière, sur l’homme, insoupçonnables actuellement et dont les lamas tibétains garderaient, parait-il, les dernières bribes... Tous les besoins satisfaits sans efforts… Mouais !
La deuxième, le tetra-yuga, c’est encore le panard, mais apparaissent quelques éléments merdiques. Mais c’est encore le paradis. Puis y en a un qui a commencé à faire quelque chose de ses doigts. Le début de la technique. Horreur : il venait d’inventer le travail.
Il y avait ceux qui avaient cette technique et ceux qui ne l’avaient pas. Déjà une séparation. D’où conflits... Mais quand il y avait des guerres, les deux armées se retrouvaient sur le terrain et, en fait de bataille, c’était de grandes joutes oratoires, philosophiques. Et ceux qui avaient les meilleurs arguments gagnaient. Les autres se soumettaient de plein gré à leur nouveau suzerain.
La troisième époque, le dvapara-yuga voit un équilibre équitable entre les principes d’ordre et de désordre. En faisant abstraction des durées de ces périodes déterminées par les hindous, on peut considérer que ce Troisième Age est marqué par le début de l’écriture. Le début de la dégénérescence : les hommes avaient besoin d’un support extérieur, technique, pour transmettre leurs connaissances. La technique a pris de plus en plus d’importance. Le clivage entre ceux qui la possédaient et les autres s’est fait plus marqué. Création de clans, de castes, de races, de nations et autres konneries. Surtout, aliénation des humains par les religions et leurs entreprises de décervelage universel. Les guerres sont devenues sanglantes. On tuait pour parvenir à ses fins. Mais suivant des règles bien définies. Ceux qui tuaient ne s’attaquaient qu’à leurs égaux de l’autre camp. Jamais un guerrier, un “ Kchatria ” n’aurait fait de mal à un être plus faible que lui. Un peu comme la Chevalerie chez nous.
Enfin, la dernière époque, le kali-yuga, voit le triomphe du principe de désordre qui va en augmentant jusqu’à la disparition de l’univers par le feu. La technique s’est imposée comme maîtresse du monde. Deux classes bien distinctes selon le degré de richesse, de possession personnelle. Des conflits tournant à l’extermination, sans soucis de justice. On tue n’importe qui, n’importe quand, n’importe comment et surtout les faibles c’est-à-dire les civils. La technique est toute puissante et la machine tend à remplacer l’homme. C’est le règne des marchands, c’est le règne des Marchés tout puissants !
Nous y sommes en plein dedans. C’est le quatrième et dernier âge, celui qui a commencé avec les connards qui ont inventé l’agriculture, l’élevage, la propriété, les flics, la guerre. Quand l’Homme est devenu kon. Quand Cro-Magnon est parti en couille. Puis c’est les grandes invasions, Gengis Khan, Napoléon, Hitler, les Ricains, Ben Laden, les nazislamistes, etc.
C’est le “Kali yuga” ! L’âge de Kali... Kali la noire... Kali la destructrice... Kali avec son collier de têtes de morts... L’émanation purificatrice et destructrice de Shiva.
Le monde va crever de lui-même, de sa prolifération incontrôlée et incontrôlable. Peut-être pas par la guerre atomique mais par un dépérissement général de la planète, par un saccage des forces de vie, puis enfin – régulation naturelle - par une impossibilité pour l’homme de se reproduire. Par une extinction du genre humain. Par un biocide universel...Est-ce vraiment grave ?
La vie, les quatre âges de la vie, ça représente un jour de la vie de Brahma. Puis il y a une période de nuit égale à celle de jour. Et nous sommes au crépuscule. La vie va s’éteindre sur la Terre pour quatre millions trois cent vingt mille ans, ravagée par l’homme lui-même. Puis un nouveau cycle recommencera, lorsque la boule sera épurée. Ce sera le réveil de Brahma. Et ainsi de suite pendant cent ans de la vie de Brahma...
On retrouve là, de manière poétique et imagée, la théorie de l’expansion-contraction de l’univers !
Namasté !
@joelim
Fogiel pue du cerveau encore plus que du tafanari.
Ils sont tombés dans le caniveau les combats des féministes : « Mon corps m’appartient ! » Et tout ceci pour en arriver à la marchandisation de ce corps féminin ? Donc à l’aliénation d’une personne par d’autres. Et ça ne choque pas le peuple de gauche qui se laisse enfumer par quelques bobos comme cet horripilant Fogiel, groupés autour de puissants lobbies comme le LGTB (lesbiennes, gays, bi-sexuels et trans) et qui prônent une vision dite « progressiste » de la parentalité alors qu’elle est une régression terrible ? Eh ! Oh ! Ça va pas la tête non ?
L’enfant, l’enfant... Est-ce qu’on le prend en compte l’enfant en tant qu’être humain ? Non. Seulement comme produit, comme marchandise. Il est question uniquement du droit Á l’enfant, pas du droit DE l’enfant.
Il y a ceux qui le font, cet enfant, à l’ancienne manière, avec un monsieur qui, monte sur une dame, qui se secoue spasmodiquement sur elle et lui « met la petite graine » en grognant de plaisir avant de se tourner et de ronfler. La dame, alors, va enfler comme une barrique puis, comme toute jument gravide, elle mettra bas au bout de neuf mois une progéniture humaine. Avec beaucoup de bonheur pour elle et pour le monsieur qui s’est épanché dans elle. Comme les animaux quoi... Eh oui ! C’est comme ça, c’est la Nature ! Pas « moderne » ça, coco !
Il y a ceux qui ne peuvent pas, ou ne veulent pas de ce mode d’emploi archaïque. Ils ont alors la possibilité, pour faire valoir leur « droit à l’enfant », soit d’acheter un enfant tout fait. On en trouve un large échantillonnage dans les pays pauvres. Mais la démarche commerciale n’est pas facile et coûte la peau des fesses (entre 30 et 50.000 dollars clés en mains). Pourtant, à ce prix-là, il n’y a ni garanti ni reprise. C’est à vos risques et périls.
Il y a ceux et celles qui ne veulent en aucune manière subir les tracas de la femelle pleine et de la mise bas du produit-enfant. Ceux-là louent un utérus (avec une femme autour, généralement pauvre et inculte) qui fera le travail pour eux. C’est pas pour les pauvres, ça coûte autour de 100.000 euros, et même plus pour Fogiel...
On enrobe ce commerce du doux nom
de « Gestation Pour Autrui - G.P.A. », ça fait plus joli
que « location d’utérus ». C’est ça la GPA ! Gravide Pour les Autres.
Mondo cane !
Ils sont tombés dans le caniveau les combats des féministes : « Mon corps m’appartient ! » Et tout ceci pour en arriver à la marchandisation de ce corps féminin ? Donc à l’aliénation d’une personne par d’autres. Et ça ne choque pas le peuple de gauche qui se laisse enfumer par quelques bobos comme cet horripilant Fogiel, groupés autour de puissants lobbies comme le LGTB (lesbiennes, gays, bi-sexuels et trans) et qui prônent une vision dite « progressiste » de la parentalité alors qu’elle est une régression terrible ? Eh ! Oh ! Ça va pas la tête non ?
L’enfant, l’enfant... Est-ce qu’on le prend en compte l’enfant en tant qu’être humain ? Non. Seulement comme produit, comme marchandise. Il est question uniquement du droit Á l’enfant, pas du droit DE l’enfant.
Il y a ceux qui le font, cet enfant, à l’ancienne manière, avec un monsieur qui, monte sur une dame, qui se secoue spasmodiquement sur elle et lui « met la petite graine » en grognant de plaisir avant de se tourner et de ronfler. La dame, alors, va enfler comme une barrique puis, comme toute jument gravide, elle mettra bas au bout de neuf mois une progéniture humaine. Avec beaucoup de bonheur pour elle et pour le monsieur qui s’est épanché dans elle. Comme les animaux quoi... Eh oui ! C’est comme ça, c’est la Nature ! Pas « moderne » ça, coco !
Il y a ceux qui ne peuvent pas, ou ne veulent pas de ce mode d’emploi archaïque. Ils ont alors la possibilité, pour faire valoir leur « droit à l’enfant », soit d’acheter un enfant tout fait. On en trouve un large échantillonnage dans les pays pauvres. Mais la démarche commerciale n’est pas facile et coûte la peau des fesses (entre 30 et 50.000 dollars clés en mains). Pourtant, à ce prix-là, il n’y a ni garanti ni reprise. C’est à vos risques et périls.
Il y a ceux et celles qui ne veulent en aucune manière subir les tracas de la femelle pleine et de la mise bas du produit-enfant. Ceux-là louent un utérus (avec une femme autour, généralement pauvre et inculte) qui fera le travail pour eux. C’est pas pour les pauvres, ça coûte autour de 100.000 euros, et même plus pour Fogiel...
On enrobe ce commerce du doux nom
de « Gestation Pour Autrui - G.P.A. », ça fait plus joli
que « location d’utérus ». C’est ça la GPA ! Gravide Pour les Autres.
Mondo cane !
VICTOR HUGO CROYAIT EN DIEU, ET POURTANT... AUJOURD’HUI, POURRAIT-IL ÉCRIRE CELA ?
Extrait d’un poème composé par Victor Hugo lors de son exil et qui ne fut publié qu’après sa mort
Que je prenne un moment de repos ? Impossible.
Coran, Zend-Avesta, livres sibyllins, Bible,
Talmud, Toldos-Jeshut, Vedas, lois de Manou,
Brahmes sanglants, santons fléchissant le genou,
Les contes, les romans, les terreurs, les croyances,
Les superstitions fouillant les consciences,
Puis-je ne pas sentir ces creusements profonds ?
J’en ai ma part : veau d’or, sphinx, chimères, griffons,
Les princes des démons et les princes des prêtres,
Synodes, sanhédrins, vils muftis, scribes traîtres,
Ceux qui tendraient encore à Socrate le verre,
Ceux qui redonneraient à Jésus le calvaire ;
Tout cela, c’est partout. C’est la puissance obscure,
Plaie énorme qui fait une abjecte piqûre.
Ô l’infâme travail ! Ici Mahomet, là
Cette tête, Wesley, sur ce corps, Loyola ;
Cisneros et Calvin dont on sent les brûlures.
Ô faux révélateurs ! Ô jongleurs, vos allures
Sont louches, et vos pas sont tortueux ; l’effroi,
Et non l’amour, tel est le fond de votre loi ;
Ô mages grecs, romains, païens, hindous, hébreux,
Le genre humain, couvert de rongeurs ténébreux,
Sent s’élargir sur lui vos hordes invisibles ;
Vous lui faites rêver tous les enfers possibles,
Je devine, malgré vos soins pour vous cacher,
Que vous êtes sur nous et je vous sens marcher
Comme on sent remuer les mineurs dans la mine,
Et je ne puis dormir, tant je hais la vermine.
Vous êtes ce qui hait, ce qui mord, ce qui ment.
Vous êtes l’implacable et noir fourmillement,
L’insecte formidable. Ô monstrueux contraste :
Pas de nain plus chétif, pas de pouvoir plus vaste.
L’univers est à vous puisque vous l’emplissez.
Vous possédez les jours futurs, les jours passés,
Le temps, l’éternité, le sommeil, l’insomnie.
Vous êtes l’innombrable et, dans l’ombre infinie,
Fétides, sur nos peaux, mêlant vos petits tas,
Vous vous multipliez : et je ne comprends pas
Dans quel but Dieu livra les empires, le monde,
Les temples, les foyers, les vierges, les époux,
L’homme, à l’épouvantable immensité des poux ?
C’est une tradition, pour les ministres de l’agriculture, d’être surtout et avant tout le commis voyageur des lobbies.
D’ailleurs, un autre Guillaume, François je crois, n’a-t-il ps été miinistre de l’agriculture tout en étant patron de la FNSEA ?!
Bravo pour le talent de dessinateur.
PARIS (Reuters) - Une majorité de Français sont opposés à l’énergie nucléaire, une proportion qui ne cesse de croître au fil des ans, révèle un sondage Odoxa pour Challenges publié jeudi.
Selon cette enquête réalisée par internet les 16 et 17 octobre auprès de 987 personnes, 53% des personnes interrogées se disent opposées à "la production d’énergie par des centrales nucléaires« , dont 19% y sont »tout à fait opposées".
La proportion d’opposants à l’atome grimpe puisque plus des deux tiers (67%) des personnes interrogées y étaient favorables dans un sondage BVA pour Le Parisien publié il y a cinq ans, en septembre 2013.
Interrogés sur la meilleure façon de parvenir à l’objectif gouvernemental de faire passer la part de l’électricité d’origine nucléaire en France de 75% à 50%, plus de sept personnes interrogées sur dix (71%) demandent "d’attendre la fin de vie des centrales, sous le contrôle de l’Autorité de sûreté nucléaire, quitte à ce que cela prenne plus de temps".
Ils ne sont que 28% à souhaiter tendre "le plus vite possible vers cet objectif, quitte à rendre plus cher le coût de l’électricité".
L’Elysée a annoncé mercredi que la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), feuille de route de l’Etat en la matière pour les dix prochaines années, était en phase de « finalisation » et serait dévoilée « à l’automne ».
Le gouvernement a plusieurs fois reporté la présentation de ce texte censé dicter la politique de la France par filières de production et préciser notamment l’avenir des centrales nucléaires d’EDF.
@l’auteur
Merci pour cet article qui remet les pendules à l’heure et ces insupportable bobos à leur place.
Il faut avoir le courage de ses choix. La sexualité implique plaisir et procréation. Certaines personnes – et elles en ont parfaitement le droit – choisissent en toute liberté et en toutes connaissances de conséquences, une sexualité basée sur le seul plaisir et qui, par essence même, exclut la procréation, et donc les joies réelles d’avoir, d’élever, de vivre en symbiose avec des enfants. C’est leur choix, et chacun le respecte. Mais il est totalement incohérent et illogique de prétendre à une paternité ou une maternité artificielle basée sur une opération commerciale.
Un couple de lesbienne a parfaitement les moyens physiques d’enfanter, chacune d’elles pouvant se faire mettre naturellement enceinte par un ami, homo ou non, prêt à se « sacrifier » pour ce résultat ! J’ai un exemple de ce genre dans mon entourage proche. Inutile donc de passer par la méthode particulièrement dégradante de la PMA, qui est celle des vaches, des juments et des brebis.
Quant à ceux qui ont pu former dans leur tête et de mettre en œuvre le projet de louer le ventre d’une femme pour se faire fabriquer un bébé-produit, un enfant-marchandise à travers la GPA, comme cet horripilant Fogiel, qu’ils aillent donc dans les pays - Etats-Unis, Ukraine, Inde – où ces pratiques sont permises. Et surtout qu’ils y restent.
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