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Les commentaires de VICTOR Ayoli



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 30 mai 2018 10:33

    Voilà un article couillu ! *****



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 4 mai 2018 21:49

    @La Voix De Ton Maître
    Merci de ces précisions éclairantes.



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 15 avril 2018 18:12

    Recommandé.
    Rien à rajouter..
    *****



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 31 mars 2018 09:29

    @l’auteur
    Bravo pour cet article. Et merci.
    Allez, rigolons un peu :

    L’anglais n’est que du français mal prononcé :


    - Ail ou radis ? Are you ready ? Êtes-vous prêt ? 

    - Saintes salopes - Thanks a lot - Merci beaucoup 

    - Débile - The bill - L’addition 

    - Mords mon nez - More money - Plus d’argent 

    - Marie qui se masse - Merry Christmas - Joyeux Noël 

    - Oui Arlette - We are late - Nous sommes en retard 

    - Mais dîne Franz - Made in France - Fabriqué en France 

    - Y s’pique Germaine - He speaks German - Il parle allemand 

    - Ahmed a l’goût de tripes - I made a good trip - J’ai fait un bon voyage 

    - Six tonnes de chair - Sit on the chair - Asseyez-vous sur la chaise 

    - Les slips tout gais serrent - Let’s sleep together - Dormons ensemble 

    - Guy vomit sous mon nez - Give me some money - Donne-moi un peu d’argent 

    - Âme coquine - I’m cooking - Je cuisine 

    - Deux bouts de chair - The butcher - Le boucher 

    - C’est que ça pèle - Sex appeal - Attirance sexuelle.






  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 31 mars 2018 09:11

    Il est intéressant de connaître l’opinion des étranger sur cette question :

    Appel universitaires étrangers contre l’anglais à l’université

    « Le Parlement français (se prépare à adopter) un projet de loi qui risque de contribuer à l’expansion rapide de l’anglais comme vecteur principal d’enseignement dans le système universitaire français. Nous, qui décidons depuis la Chine, le Brésil, les Etats-Unis, l’Europe centrale, de l’envoi de nos étudiants en France, nous nous permettons de vous mettre en garde contre la disposition législative envisagée, présentée comme un remède miracle pour favoriser « l’attractivité » de vos universités auprès de nos étudiants.

    Elle repose en fait sur une double erreur d’appréciation. La première porte sur les raisons qui conduisent des étudiants étrangers à faire le choix de la France. Pas plus que les touristes ne viennent chercher dans votre pays des Starbucks ou des McDonald’s, nos étudiants n’aspirent à recevoir en anglais, dans vos universités ou grandes écoles, une formation que, sans vouloir vous désobliger, vos partenaires anglophones sont mieux armés que vous pour dispenser. La mondialisation, qui provoque des phénomènes d’uniformisation, a cet effet paradoxal de faire de la diversité une valeur : ce que les meilleurs d’entre eux viennent chercher en France, la raison pour laquelle nous les y envoyons, c’est justement une autre façon de penser, une autre façon de voir le monde, un modèle culturel alternatif aux modèles anglo-saxons dominants. Nous avons impérativement besoin de cette autre voie. Or, cette différence est liée à la langue que vous parlez.

    Si le savoir est universel, la langue qui permet d’y accéder, elle, ne l’est jamais. Les langues ne sont pas interchangeables, on ne dit pas la même chose dans une langue et dans une autre. Vous avez la chance de disposer en français d’un formidable capital d’intelligence lié à une tradition plusieurs fois séculaire : ne le dilapidez pas en renonçant à la langue qui le constitue. Il est absurde de considérer le français comme un obstacle à l’attractivité de votre pays : dans la concurrence mondiale, il représente votre avantage comparatif, votre valeur différentielle.

    Enfin, en venant en France, et parce que votre pays est une porte d’entrée vers le Maghreb et l’Afrique, nos étudiants cherchent aussi à bénéficier d’un tremplin, en accédant par votre intermédiaire à ce vaste espace francophone, à ses richesses, à ses perspectives de développement. Prenez garde à ne pas décourager les pays qui en font partie, car comment voulez-vous qu’ils conservent l’usage du français dans leurs systèmes éducatifs si vous-même y renoncez ? Il est douteux que votre intérêt soit de brader les avantages économiques que vous pouvez tirer de solidarités linguistiques forgées par l’histoire.

    Améliorez vos infrastructures universitaires, facilitez l’obtention des visas, simplifiez les formalités administratives, offrez des perspectives de carrière aux étudiants étrangers que vous accueillez, renforcez chez eux, mais aussi chez les Français eux-mêmes, la maîtrise des langues : tels sont en France, comme partout ailleurs, les objectifs à poursuivre pour améliorer l’attractivité d’un système d’enseignement. Mais ne renoncez pas à l’usage de votre langue dans la transmission des savoirs, car en vous appauvrissant vous-même, vous appauvrirez aussi le monde entier. »

    Emily Apter New York University, responsable de collection à Princeton University Press ; Izabela Aquino Bocayuva professeur-adjoint à l’Instituto de filosofia e ciências humanas de l’Université de l’Etat de Rio de Janeiro (UERJ) ; Xiaoquan Chu Doyen de l’Institut des langues et de la littérature étrangère, université Fudan, Chine ; Jacques Lezra Department of Comparative Literature, New York University ; Michael Loriaux Professor of Political Science, Northwestern University ; Nobutaka Miura Professeur à l’université Chûo, Japon ; Myroslav Popovych Directeur de l’Institut de philosophie de l’Académie des sciences d’Ukraine ; Dumitru Topan Recteur de l’université de Craiova, Roumanie ; Fernando Santoro professeur adjoint à l’université fédérale de Rio de Janeiro.




  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 20 mars 2018 23:22

    @Nolats
    Salut ! Bonne perception du personnage.





  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 19 février 2018 13:00

    Honneur aux Maîtres Écaillers !


    Gloire à toi, Francisco Pires de « La Mascotte »

    Sur les étals tu as la cote,

    Étals où se prélassent les huîtres

    Qui te valent ce prestigieux titre

    De Champion du beau pays de France.

    Qu’elles soient de Bouzigues, qu’elles soient de la Rance,

    Qu’elles soient de Marennes, qu’elles soient d’Arcachon

    Toi, tu les ouvres toutes à l’heure du mâchon.

    Aucune ne résiste à la caresse experte

    De tes doigts de velours, des doigts de sage-femme

    Prolongés par l’éclat priapal de la lame

    Qui nous les livrera ouvertes et offertes,

    De l’éclat souverain des Maîtres et des Sages

    Tu transcendes pour nous l’esprit des Coquillages.



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 31 janvier 2018 21:17

    @CHALOT
    Pas de problème.
    Amitiés.



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 29 janvier 2018 16:52

    Ce coup d’État, ça pourrait ressembler à une franche rigolade s’il n’y avait eu près de 300 morts et, surtout, une répression terrible qui mène ce pays redoutable vers un régime dictatorial. Si les putschistes ont voulu stopper la dérive islamiste d’Erdogan et son autoritarisme, c’est raté. Leur action brouillonne conforte plutôt le pouvoir autocratique de ce mégalo qui se rêve en sultan d’un Empire ottoman ressuscité ! Leur action manquée suite à la descente dans la rue des partisans d’Erdogan semble prouver, au contraire, que celui-ci bénéficie d’un large soutien populaire – ce qui est vrai puisqu’il a été élu démocratiquement.

    D’après les images qu’on nous a montrées, les foules descendues dans la rue contre les troufions putschistes étaient surtout composées d’hommes, jeunes, souvent barbus. Bref, la frange radicale, islamiste du pays. Ça ne fait pas un soulèvement populaire global.

    Ce putsch ressemble à une embrouille menée par des incompétents, par les Pieds Nickelés du coup d’État ! Parce qu’en matière de coups d’État, l’armée turque a pourtant un indéniable « savoir-faire » ! Si bien que si l’on n’est pas trop naïf, on peut légitimement penser que ce putsch d’amateurs a été téléguidé par le pouvoir, organisé par quelques officiers manipulés à leur insu par Erdogan, réalisés par quelques milliers de troufions pas très motivés. S’ils avaient vraiment voulu, les putschistes seraient allés, avant tout, arrêter Erdogan qui était en vacances au bord de la Méditerranée, à Gokcek. Au lieu de ça, ils ont fait vrombir quelques avions dans le ciel d’Istanbul, ont envoyés quelques chars d’assaut sur les ponts et devant l’aéroport et fait diffuser un communiqué à la télé. L’autre, comme s’il s’y attendait, a téléphoné à une chaîne de télé privée, comme par hasard pas occupée par les Pieds Nickelés, et appelé ses partisans à descendre dans la rue au moyen de son téléphone portable. Mort de rire ! Ça pue la manip bien huilée !

    Mais enfin, il y a eu tout de même 260 morts. Mais est-ce que ça peut arrêter un dictateur, 260 morts ? Au contraire, ça donne de la crédibilité au putsch. Et c’est ce qu’on appelle dans le langage fleuri des « puissants » des dommages collatéraux… Maintenant, l’islamiste Erdogan a les coudées franches pour détruire toutes les avancées laïques d’Atatürk. Celui-ci, fondateur de la Turquie moderne, laïque, avait fait de l’armée la garante de la Constitution et de la Laïcité. Erdogan veut effacer tout ce qui reste de son illustre prédécesseur. Il a mené une purge gigantesque dans tout ce qui pouvait lui résister. L’armée est épurée comme il dit, de même que la magistrature. Ne restent que les officiers de son bord (montrant d’ailleurs leur incompétence dans leurs attaques contre les Kurdes de Syrie) et les magistrats qui lui font allégeance. Les autres sont embastillés par le fait du prince (enfin, du sultan), en attendant d’être passés par les armes, puisque ce grand démocrate envisage de rétablir la peine de mort. Quant à la presse, celle qui a le droit de s’exprimer est obligatoirement sous la coupe du pouvoir. Les journalistes les plus critiques sont tous en taule…

      Espérons que les évènements actuels vont définitivement stopper cette ineptie monstrueuse que serait l’entrée de la Turquie – et de ses 80 millions de musulmans – dans l’E.U.

    Erdogan yok taman !



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 25 janvier 2018 22:37

    @velosolex
    Namasté !
    On s’est peut-être rencontré quelques part à Itanbul, Rhéran, Machad, Kaboul, Peshawar, Amritzar, Goa, Varanasi, Kathmandou... Bref sur la Route. Mes suédoises s’appelaient Mô et Gunilla... Ah ! Le « bang » de Varanasi, sur les bords du Gange. Et la Gandja de Goa. Et les masala dosaï de Maduraï, et... Puteng ! Le temps passe vite...
    « Sat striakal » comme disent les Sikhs.



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 25 janvier 2018 16:22

    @l’auteur
    ++++++ !



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 7 janvier 2018 15:52

    Merci pour cet article rafraîchissant !
    Bonnes années.



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 3 janvier 2018 19:54

    @BOBW
    ...e m’en batti li aliboffis !



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 3 janvier 2018 14:57

    Salut Chalot.
    Pas de problème.
    Et bonnes années !



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 20 décembre 2017 08:35

    @Zolko
    D’accord avec vous. Article qui éclaire, qui explique, qui renvoie dans leur fatuité les petits Trissotin colabobo lèche-babouches se « soumettant » par peur, par opportunité, par lâcheté aux diktats de ce cancer de l’esprit que sont les religions dites ’du livre".
    Merci à l’auteur, grande voix.



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 17 décembre 2017 09:19

    @l’auteur.
    Voilà enfin un article réaliste et courageux. Les Français du 21° siècle n’ont esclavagisé personne, n’ont colonisé personne. Ras le bol de ces « sanglots de l’homme blanc » comme disait Bruckner. Et ras le bol de cette victimisation maladive de ces gens qui, s’ils avaient un peu de connaissance de l’histoire, sauraient que les Arabes ont été les pires colonisateurs du monde, tant par l’ampleur géographiques de leurs méfaits que par la destruction systématique de toutes traces de civilisation précédant leurs razzias. Ils sauraient aussi que l’esclavage arabo-musulman a duré treize siècles et continue sans vergogne et terres d’islam.
    Chapeau Modératus. Merci et laissez baver les hyènes.



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 15 décembre 2017 20:59

    @SEDORRHOIDE
    Moi je lis trois livres en même temps. Actuellement « Les confessions d’un assassin économique », un polar « Pukhtu » et un livre dont je lis toujours quelques pages « L’enfer » de Dante. J lis sur papier et sur liseuse.
    A Noël, je n’offre que des livres.
    En plus je gratte quelques élucubrations chaque pour pour mes blogs et j’ai un bouquin en route. C’est le pied !
    (Avec ça, je dois aussi m’occuper 24/24 de ma belle compagne qui a attraper une immonde saloperie : Alzheimer...



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 11 décembre 2017 14:35

    @l’auteur
    Voilà qui met les pendules à l’heure. Bravo !



  • VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 10 décembre 2017 08:56

    @l’auteur
    Merci pour ce salutaire paguayage à contre-courant.
    Je voulais faire un article titré : « Requiem pour deux kons ».
    L’un, un vieux cabotin surfant, avec un certain talent, sur les poncifs de la droite la plus éculée.
    L’autre, un séduisant braillard- de droite lui aussi - reniant sa belgitude, ersatz d’amerloque mais vrai tricheur fiscal, prenant son artiche en France mais payant ses impôts en Suisse et aux USA. Une idole alcoolo cocaïnomane et aux éponges cramées par le tabac.
    On a les idoles que l’on mérite.