eddofr

Je suis assez d’accord avec le fait de se montrer extrêmement prudent en ce qui concerne la transition de genre.

Mais je serais plutôt d’avis de la soumettre à un collectif médical.

D’accord, un médecin peut faire n’importe quoi, par militantisme ou par appât du gain. Mais on pourrait soumettre ce genre de cas à une instance régionale, composée de psychiatres, de pédiatres, de chirurgiens, d’endocrinologues, etc ... qui statueraient dans (le seul) l’intérêt du patient.

Concernant la GPA, l’interdire me dérange au plus haut point.

Même si cette pratique est complètement étrangère à mes besoins, mes désirs et mes valeurs, j’en comprends l’intérêt pour ceux qui sont dans l’incapacité (physique ou mentale de satisfaire naturellement à leur désir de parentalité.

Par contre, il faudrait effectivement en protéger tous les acteurs (mère porteuse, candidats à la parentalité, enfant) de toute forme d’abus et en particulier de toute forme de marchandisation. Même si cela revient à introduire dans le processus une certaine « lourdeur administrative et juridique ».

@eddofr

L’exception pouvant également être entérinée et inscrite dans la règle générale par les hautes instances juridiques si sa fréquence et sa « légitimité » lui faisaient perdre son caractère exceptionnel.

De combien de cas parle-t-on exactement ?

J’en ai un peu marre qu’on veuille bouleverser l’ensemble de la société pour 0,0000001% de la population.

La grammaire supporte l’exception sans pour autant remettre en cause la règle générale.

Pourquoi la loi ne pourrait-elle faire de même ?

Ne serait-il pas possible d’inscrire dans la loi que le juge, ou une administration (dans le cadre stricte de son domaine de compétence) soient autorisés à constater et entériner un « cas d’exception » sans que celui-ci ne puisse faire jurisprudence ?

Cette décision, nécessairement unique et ponctuelle, pouvant cependant être « cassée » par les plus hautes instances judiciaires si, saisies du cas par un ayant doit, elles estimaient que l’exception ne se justifie pas.

En appauvrissant l’éducation des masses, les nantis croyaient fabriquer une masse docile et corvéable, heureuse de son misérable sort.

Ils n’ont réussi qu’à fabriquer qu’un chaos d’individualismes guidés par leurs émotions primaires, l’avidité et l’envie, qui se laisse éblouir par tout ce qui brille.

Ainsi, le populisme, qui devrait croire en l’intelligence du peuple, ne fait que manipuler les bas instincts de la populace.

Sans éducation point de démocratie.

Petit rappel :

L’industrie, ça veut dire des ouvriers, en bleu de travail, qui viennent « à l’usine », qui pointent à la même heure, qui font la pause ensemble, qui déjeunent ensembles à la cantine, qui font, visiblement, le même boulot.

L’industrie, veut donc dire des salariés qui développent le sentiment d’appartenir à un groupe, un collectif, avec les mêmes besoins, les mêmes aspirations, les mêmes revendications.

Et ça, ça craint.

Alors que le tertiaire, c’est des individus, avec des horaires différents, qui probablement ne savent pas en quoi consiste exactement le travail de leur voisin de bureau, quand ils ne travaillent pas à distance, qui ne mangent pas ensembles, ne font pas la pause ensembles.

Le tertiaire, ça veut dire des salariés individualistes, isolés, en concurrence les uns par rapport aux autres, qui ne savent même plus à quoi sert leur travail et leur entreprise.

ET ça, c’est super !