Fergus

Bonjour, Gollum

Je n’ai pas accès au replay d’Arte sur la télévision et je n’arrive pas à connecter mon ordi sur mon vieux poste TV.
En revanche, je dispose d’un décodeur CGV qui fonctionne parfaitement et me permet d’enregistrer des programmes. Je regarderai donc cette soirée en connectant le son sur les enceintes de ma chaîne HiFi. 

Bonjour, Bernard Mitjavile

« Hier sur Arte, la commentatrice disait que ce n’était pas Beethoven qui dirigeait la première exécution de la 9ème. Il était devant l’orchestre debout »

Dans ce cas, les sources différent sur ce point. Peut-être était-il debout devant l’orchestre — donc dans la position du chef — sans que celui-ci ne soit dirigé (je n’ai lu nulle part le nom d’un chef autre que Beethoven ce soir-là). Il est vrai que l’essentiel de la direction d’orchestre n’est pas dans les indications du chef le jour du concert mais dans le travail des répétitions.

« les applaudissements se sont déchaînés spontanément à la fin de la première partie du 4ème mouvement »

Sur ce point également, les informations divergent, ce qui n’a finalement pas d’importance, l’essentiel étant que Beethoven ait eu conscience du triomphe que sa musique suscitait.

Etant au théâtre hier soir, je n’ai pas vu cette soirée consacrée à la 9e symphonie sur Arte mais je l’ai enregistrée pour la voir un prochain jour.

Bonjour, Dudule

« beaucoup de cuistres s’extasient devant des pièces de commande dont l’auteur se foutaient manifestement »

Pourriez-vous donner des exemples. Nombre des chefs-d’oeuvre de la musique classique, y compris dans le répertoire de Mozart, sont des « pièces de commande », d’où mon étonnement.

« Bach favorise particulièrement le snobisme, puisque beaucoup de ses études sont effectivement d’une grande complexité théorique (...) mais n’ont pas été écrites pour le public »

C’est vrai. L’exemple type est Le clavier bien tempéré. Mais ces pièces de Bach ne sont quasiment jouées en concert.

Bonjour, eau-mission

Non, je ne « convoque » pas Wagner. Ce n’est pas moi qui l’ai cité. Et ma réticence à l’égard de Wagner n’est pas liée au symbole qu’il a porté dans l’Allemagne nazie, mais au fait que je n’ai jamais accroché à sa musique, pas plus qu’à celle de Berlioz, de Bruckner ou de Mahler.

@ Ouam (Paria statutaire non vacciné)

Quel ramassis d’âneries, de mensonges et de propos diffamatoires !!!