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Fergus

Fergus

Autodidacte retraité au terme d'une carrière qui m'a vu exercer des métiers très différents allant d'informaticien à responsable de formation, je vis à Dinan (Côtes d'Armor). Depuis toujours, je suis un observateur (et de temps à autre un modeste acteur) de la vie politique et sociale de mon pays. Je n'ai toutefois jamais appartenu à une quelconque chapelle politique ou syndicale, préférant le rôle d'électron libre. Ancien membre d'Amnesty International. Sur le plan sportif, j'ai encadré durant de longues années des jeunes footballeurs en région parisienne. Grand amateur de randonnée pédestre, et occasionnellement de ski (fond et alpin), j'ai également pratiqué le football durant... 32 ans au poste de gardien de but. J'aime la lecture et j'écoute chaque jour au moins une heure de musique, avec une prédilection pour le classique. Peintre amateur occasionnel, j'ai moi-même réalisé mon avatar.

Tableau de bord

  • Premier article le 31/07/2008
  • Modérateur depuis le 22/11/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Fergus fergus 1er août 2008 16:03

    A tout prendre, mieux vaudrait Livni que Mofaz car je la crois, derrière son autoritarisme affiché, plus souple et plus fine stratège que le belliciste Mofaz. Mais je crains que les blocages annoncés ne conduisent à un retour de Netanyahou au pouvoir, autrement dit à un chaud partisan de la poursuite des implantations, doublé d’un cynique provocateur. Cette éventualité pourrait, hélas ! engendrer une 3e intifada et rallumer du même coup l’incendie dans tout le proche-orient.



  • Fergus fergus 1er août 2008 15:48

    Je crois que vous faites erreur, Jérémy : c’est bel et bien la vue du sang et l’attrait de la mise à mort qui font le succès de la corrida. Et pas seulement celle du taureau ou d’un cheval éventré : bien qu’ils s’en défendent, c’est le jour où un toréador se fait encorner que les aficionados prennent leur plus grand pied !

    Qu’on le veuille ou non, la corrida fait appel aux bas instincts de l’homme, les mêmes qui le font se repaître des ferrailles d’une collision routière dans lesquelles gémissent des corps incarcérés. 



  • Fergus fergus 1er août 2008 09:44

    En Espagne, ce sont des chèvres que l’on jetait il y a peu du haut d’un clocher ! Le pire est qu’il se trouvait là aussi des farouches défenseurs de la tradition.



  • Fergus fergus 1er août 2008 09:22

    Que des boxeurs se foutent sur la gueule jusqu’à en mourir, c’est déjà débile, mais de leur responsabilité et de ceux qui les ont manipulés, là aussi sous prétexte de culture (et en leur faisant miroiter des lendemains de gloire et des portefeuilles garnis). Mais que dire des taureaux ? Que sait-on de leur stress ? de leur détresse ? de leur souffrance ? De quelle manière ont-ils manifesté leur agrément pour aller ainsi se faire massacrer dans une arène pour satisfaire la jouissance perverse d’aficionados pas encore civilisés ? Ces combats ne se justifient pas plus que les combats de dogues ou de coqs. Personnellement, cela me fait gerber de dégoût.



  • Fergus fergus 31 juillet 2008 22:48

    Pour être jeune, vous n’en êtes pas moins talentueuse, Gül. Je n’en apprécie que mieux vos commentaires élogieux.

    J’aime bien Nemours, ses ruelles et ses rochers. Et lorsque je vivais à Paris, il nous est parfois arrivé d’aller "crapahuter ", mon épouse et moi, du côté de Larchant et de la Dame Jouanne.

    Les commerçants ambulants que vous décrivez, je les ai connus en Auvergne dans ma jeunesse et je ne doute pas un instant qu’ils soient en tous points semblables à ceux qui ravitaillent les villages turcs (je ne suis allé qu’à Istanbul), jusque dans leur mission non écrite de porteurs des nouvelles glanées ici et là au cours de la tournée.

    Leur disparition progressive au profit d’un supermarché au chef-lieu du canton est d’ailleurs l’un des vecteurs de la déliquescence du lien social que l’on constate ici et là, et c’est bien dommage !

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