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hommelibre

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Auteur d'un recueil : "Les contes de Crocodile River" (2013), de deux albums 12 titres : "Doa" et "Contre-Courant", d'un roman : "Le diable en été", d'un essai critique : "Féminista : ras-le-bol !". Site ici.

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  • Premier article le 04/06/2010
  • Modérateur depuis le 23/02/2011
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Derniers commentaires



  • hommelibre hommelibre 7 février 17:46

    @sylviadandrieux
    Je connais bien votre discours. Je n’y donnerai pas suite aujourd’hui.
    Je rectifie cependant : ceci n’est pas un article sur les femmes mais sur la discrimination des hommes hétérosexuels au profit des LGBTetc.

    Par ailleurs pour le droit de vote, les femmes l’avaient en certains moments, au Moyen-Âge, dans les assemblées locales (comme les hommes, pas moins). La Renaissance a été misogyne, ainsi que le 19e siècle. 

    Enfin le droit de vote universel n’ été accordé aux hommes qu’au 19è ou 20e siècle selon les pays. Avant cela les hommes du peuple, la grande majorité, ne votaient pas ; ils ont donc eu le droit de vote pas si longtemps avant les femmes en regard de l’histoire.

    Je ne vois pas d’intention égalitaire dans vos propos, je vois surtout une plainte et un désir de revanche, mal informés sur l’Histoire et reposant sur le stéréotype de la femme toujours victime. C’est de la manipulation féministe. On ne va pas s’entendre. 



  • hommelibre hommelibre 7 février 17:34

    @sylviadandrieux
    Réponse navrante. Bon, je vous cite quand-même cet extrait du site d’Histoire Hérodote. Les choses ne sont pas aussi binaires que vous croyez. 

    « Nécessité faisant loi, le « beau Moyen Âge » se montre ouvert à l’activité des femmes.

    Il va sans dire que les femmes participent comme partout aux travaux de la ferme et des champs. Mais ce qui est moins évident est leur « part décisive au développement des villes médiévales » (note). Dans les commerces et les ateliers, elles travaillent en général avec leur époux et souvent leurs enfants. Elles peuvent aussi travailler en indépendante ou dans le cadre d’une corporation.

    Les corporations d’artisans se montrent ouvertes aux femmes. Les statuts de la corporation des fourreurs de Bâle, rédigés en 1226, leur accordent les mêmes droits qu’aux hommes (note). 

    Les femmes sont aussi présentes dans les soins de santé (sage-femmes mais aussi médecins ou « miresses ») et dans l’éducation. À la fin du XIIIe siècle, Paris compte 21 maîtresses d’école placées à la tête d’écoles élémentaires de jeunes filles. »


    Société uniquement masculine ? Même cela se discute. Mais bon ce n’est toujours pas le débat. 



  • hommelibre hommelibre 6 février 22:16

    @sylviadandrieux

    Ces salons féminins se sont répandus assez largement dans l’Europe dès le XVIe siècle. Ils ont été remplacés au XIXe siècle par des salons masculins !


    Un article tente d’analyser cela :


    https://laviedesidees.fr/Du-salon-feminin-au-Gentlemen-s-club


    « Au XIXe siècle, le salon littéraire, organisé par les femmes depuis les Lumières, se voit supplanté par le gentlemen’s club, institution d’origine britannique, exclusivement masculine. De Paris à Londres, comment expliquer cette transition au sein des élites  ? »


    Et aussi :


    « D’après Maurice Agulhon, l’idéal de galanterie française, cette forme de politesse empressée, presque séductrice, associée au respect dû à une femme de haut rang, serait né «  autour de 1830 pour condamner ou du moins déplorer l’irruption d’une nouvelle sociabilité anglomane dans laquelle la “galanterie” [recule] puisque la femme, laissée au foyer, [est] exclue  ». Aussi, en France, pays des salons organisés par les femmes depuis les Lumières, l’engouement des Britanniques pour des établissements exclusivement masculins, les gentlemen’s clubs, est bien souvent critiqué durant le premier XIXe siècle : la vogue des cercles d’élite masculins semble causer la séparation des époux et amorcer le déclin d’une influence féminine avérée depuis des siècles dans l’aristocratie. «  Les Clubs sont une importation anglaise […]. Jamais, en France, nous n’eussions inventé, pour notre plaisir, ces établissements anti-féminins  », affirme ainsi l’écrivain Charles de Boigne en 1846, alors qu’il étudie les mœurs parisiennes. »


    À part cela les hommes de condition modeste ne devaient pas avoir une place que les femmes pourraient envier. Mais c’est un autre débat et la comparaison que vous avez introduite n’atténue pas l’incident hétérophobe de Genève.




  • hommelibre hommelibre 6 février 22:15

    @sylviadandrieux
    Vous devriez sortir de vos stéréotypes.



  • hommelibre hommelibre 6 février 20:38

    @Durand

    Merci pour ces liens.


    En effet il ne suffit pas qu’il y ait de l’humidité pour qu’il pleuve, il faut aussi d’autres éléments, comme des aérosols ou des poussières.


    Nous verrons si la particularité de l’Amazonie peut se retrouver ailleurs, dont en Europe. En Europe justement les forêts sont en expansion. Par exemple en deux siècles la superficie de forêt en France a doublé.


    L’Europe est dans le courant zonal et doit normalement recevoir les perturbations humides de l’Atlantique. Quand cela se fait trop peu, comme ces deux dernières années, je ne trouve pas d’explication circonstanciée qui puisse s’inscrire dans une grande tendance nette.


    Je remarque de mes propres observations et des relevés anciens que les vents d’il y a 50-60 ans venaient plus de l’ouest, du nord-ouest ou du nord-est. Depuis une trentaine d’années les vents dominants ont été du sud-sud-ouest. Ce changement dans la circulation atmosphérique a apporté plus fréquemment des masses d’air chaud, mais pas forcément humides si elles venaient du Sahara.


    Ce peut être dû aux cycles océaniques, ou à autre chose. On parle d’une extension des cellules de Hadley parce que la région équatoriale se réchaufferait, ce qui les gonflerait. Je n’ai pas trouvé de confirmation de ce réchauffement dans les relevés de plusieurs villes africaines.


    On ne sait pas non plus pourquoi, par exemple, le Sahara s’est asséché après avoir été vert et plus humide. Les vents de moussons ont changé, mais pourquoi ?


    Je trouve beaucoup de questions non clarifiées. Le manque de données précises pour les siècles précédents va laisser de nombreuses incertitudes pour longtemps. Ces incertitudes doivent être incluses dans la réflexion climatique.

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