On peut peut-être
donner un genre à un objet, en le prénommant, mais, un objet n’a
pas de sexe, il ne peut donc être impur. Pas besoin de le voiler.
S’il fallait
voiler tous ce qui a un genre, il faudrait voiler LA Vérité, et
commencer par voiler LA Langue Française… ce que certain.s.es
imaginent fort bien, d’ailleurs.
@gueule de bois Elle n’est pas voilée ? Euh, pourquoi faire ? C’est un objet ! Qui n’a même pas de cheveu à cacher. S’il fallait voiler tous les objets, on roulerait avec des roues voilées. L’objet a juste un faciès vaguement féminin pour rassurer-endormir les occidentaux. Taquya pour mieux les islamiser.
Oui, d’ailleurs
tout message négatif peut être très mal interprété et pervertir
les choses.
le plus jeune enfant
est très binaire, il aime ou n’aime pas, il peut dire "je
t’aime pas " à un parent qui l’a grondé (l’adulte
lui est capable de comprendre sa réaction). Il lui faudra quelques
années pour conceptualiser ce qu’est un sentiment. Suivant son
degré d’évolution, la fameuse déclaration pourra plus ou moins troubler ses relations filiales (s’il y attache
attention)
D’abord, c’est
quoi l’amour, celui des parents… ?
Pour l’enfant,
cela commence, peut-être, par son besoin de respect, considération,
attention, assistance… (cela est-il différent de l’amour ?) Si
l’on a parfois besoin de s’entendre dire « je t’aime »,
pour être rassuré, le respect passe encore plus sans dire. On peut
dire à un enfant « je respecte tes sentiments », cela
restera un message positif ; mais si la relation vécue est
vraie, cela est inutile.
" Non, nous
tricotons du lien avec les gens que nous côtoyons, des liens plus au
moins forts, dans une matière plus ou moins élastique. "
L’auteure est donc
de l’avis de Le Pen.
" Ma fille, tu
n’es pas obligée de m’aimer ! Mais l’étranger, oui, tu
l’es ! La préférence pour ses proches, les aimer, la
solidarité avec eux, serait stigmatiser l’autre, se ferait contre
l’intérêt de l’autre. "