• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

séraphim

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 40 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • séraphim 5 mars 2018 19:39

    @Mélusine ou la Robe de Saphir.

    « Plutôt que de fuir les manipulateurs-pervers comme le conseillent de nombreux psys, il faut au contraire savoir jouer avec eux »


    Votre conseil est extrêmement dangereux. On voit que vous n’avez pas la moindre idée de ce qu’est un PN, si vous « pouvez » jouer avec lui, c’est que quelque part vous avez déjà fuit. 

    On peut jouer avec un PN, on peut jouer aux échecs contre Kasparov ou disputer un match de boxe avec Tyson aussi smiley

    Le Horla n’a rien à voir avec le champ des PN, de même, leur tendre un miroir provoque une inimaginable déferlante de violence et non pas un évanouissement dans les airs. Faut arrêter de raconter n’importe quoi, des gens meurent de ce genre de conseil foireux.

    Le PN est une coquille vide, sans âme, un psychopathe de la pire espèce, on ne joue pas, on ne lutte pas, on fuit, c’est une question de vie ou de mort, point.


  • séraphim 22 décembre 2017 20:28

    La valeur du BitCoin est simple à comprendre : c’est un moyen de transporter de la valeur facilement, de manière (presque) sure, transportable, de n’importe quel partie de la planète vers n’importe quelle autre.

    En effet, cette monnaie est convertible depuis et vers à peu près toutes les monnaies du monde, il suffit pour cela d’être propriétaire de quelques octets (clé privée : 32 octets).

    Maintenant, concernant son prix d’échange stratosphérique, complètement décorrélé de son utilité, il y a un parallèle intéressant à faire : faites un tour dans une galerie d’art contemporain, regardez ce que ça vaut, à quoi ça sert et le prix d’une oeuvre ... et là on se rend compte que c’est un actif financier spéculatif comme un autre, avec des « petits » à plumer et des « gros » qui font la pluie et le beau temps.

    Enfin, il y a la technologie sous-jacente, qui en elle même est totalement neutre : la chaîne de bloc, un livre de compte (quasi) infalsifiable. Et là, de toute évidence, si on étudie un minimum les choses, on se rend compte que nous sommes face à un changement de paradigme : les structures centralisées, pyramidales ou hiérarchiques n’ont plus lieu d’être.
    Le bitcoin dans sa forme actuelle n’est pas viable plus de quelques années, par son système POW qui nécessite une énergie considérable, par ses capacités de transaction très limitées et par sa communauté fanatisée et toxique au point de rendre toute évolution impossible. Cependant, il ouvre la voie à des milliers de projets basés sur la blockchain aux perspectives intéressantes.
     



  • séraphim 13 septembre 2017 18:39

    C’est la fameuse justice entre copains.


    Comme disait Coluche : 
    « Il y a deux sortes de justice : vous avez l’avocat qui connaît bien la loi, et l’avocat qui connaît bien le juge »

    Et même en présentant des faits indéniables, comme il y a toujours une place pour l’interprétation, la sur-interprétation, l’exagération voire le mensonge, travestir la réalité n’est pas très difficile. On en revient à cette célèbre phrase de Richelieu : 
    « Qu’on me donne six lignes écrites de la main du plus honnête homme, j’y trouverai de quoi le faire pendre. »




  • séraphim 23 août 2017 12:37

    « Et, à force de caricatures, d’erreurs manifestes, d’approximations, d’abus, il est en train de tuer la justice et les systèmes de protection de l’enfance. » ... y’a plus grand chose à tuer. Je ne sais pas si un jour cela a été différent, mais aujourd’hui, c’est une vaste et honteuse fumisterie. 


    Pour que la « protection de l’enfance » se mette en marche, il suffit d’un signalement, peu importe son contenu.
    S’en suivra un entretien de quelques minutes 6 mois plus tard, pour vous expliquer qu’un juge pour enfant statuera, dans les 6 mois si tout va bien.
    S’en suit une audience JE, 6 mois plus tard, pour vous expliquer que « on va enquêter »
    S’en suit une enquête, encore 6 mois plus tard, qui conclura que « c’est très grave, il y a urgence », puis une enquête psy qui conclura que la personne en garde des enfants, est passablement déséquilibrée.
    6 mois plus tard, retour devant le JE, qui n’a pas lu le dossier, et a encore 12 affaires à traiter avant la pause déjeuner, qui se couvrira en ordonnant une mesure d’AEMO ...
    ... qui commencera 6 mois plus tard. Les enfant seront vu 3 fois une demi heure dans l’année et qui conclura, que « oui y’a peut-etre des problèmes, mais c’est parce que la personne en charge des enfants a des difficultés sociales, c’est pas de sa faute, elle avait l’air tellement gentille (pendant nos 30’ d’entretiens annuels) »
    Ce qui provoquera un retour devant le JE, 6 mois plus tard, pour dire « on continue » ... etc ...etc... etc...

    Encore une chose qui vient interférer :
    Les juges sont des femmes, les avocats sont des femmes, les enquêteurs sont des femmes, les assistantes sociales sont des femmes, les psychologues sont des femmes ... et dans l’imaginaire collectif les hommes sont pour la plupart, des brutes, machistes, alcooliques, violents et totalement incapable de gérer un enfant. Si quelqu’un vient en présentant quelque chose qui ne colle pas à ce schéma ... bon courage.


  • séraphim 21 juillet 2017 00:32

    Ah la justice ... quand on en est loin, qu’on en entend vaguement parler à la TV, c’est beau, c’est lisse, plein de valeurs morales, constamment à la défense de la veuve et de l’orphelin.


    Et puis quand on y a affaire, on s’aperçoit que les apparences sont ... complètement fausses, en fait. Et justement ce qui importe le plus ce sont les apparences.

    Pour résumer, si vous êtes victimes d’une injustice, d’une infamie, etc ... la justice va vous broyer. Si vous êtes coupables, foncez, la justice vous défendra.

    Donc avant d’avoir affaire à la justice, il faut savoir certaines choses (je les apprises à mes dépens) :
    - déposer une plainte relève du parcours du combattant : vous ennuyez un agent qui aurait préféré faire la sieste et qui fera tout pour vous dissuader
    - inventer n’importe quoi, mentir de manière flagrante, ne pose aucun problème dans une salle d’audience
    - la justice est très très très lente, la partie adverse s’en servira et utilisera tous les moyens possible pour faire autant de report que nécessaires : changement d’avocat, problème de réception des pièces, maladie, .... et à la fin le juge vous dira « mais monsieur S., ce que vous nous décrivez date d’il y a 3 ans déjà ... »
    - l’avocat de la partie adverse n’a pas pour but de défendre son client, mais de vous discréditer et de vous démolir, par tous les moyens les plus malhonnêtes possibles.
    - les enquêtes, les preuves, les témoignages, ... tout ça c’est secondaire, seules les apparences comptent, celui qui arrive à se faire passer pour la pauvre petite malheureuse victime toute fragile et inoffensive aura toutes les grâces ... et le juge sera capable de sortir toutes les énormités nécessaires pour vous calmer : « mais enfin M. S. si la partie adverse à tenté de [censuré], c’est parce que vous l’énerviez  » smiley
    - le juge est très occupé et en a rien à faire de votre cas et s’il a pris la peine de lire en diagonal le dossier, fera en sorte de privilégier la conciliation. « Mais Monsieur le juge, vu l’extrême gravité de ce qui s’est passé ... » « ... Monsieur S. vous ne vireriez pas un peu dans la paranoïa ? »
    - la morale, l’honnêteté, la dignité, la vérité, la droiture ... sont des valeurs très handicapantes dans une salle d’audience.


Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv