• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Legestr glaz

sur L'autisme, un bonheur que je ne souhaite à personne


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Legestr glaz Legestr glaz 15 avril 08:37

@Francis, agnotologue

copié-collé : « Si on ne réagit pas, ce sont des pans entiers de l’humanité qui finiront par y passer, avec un poison ou un autre, car nous sommes tous des êtres plus ou moins génétiquement prédisposés quelque part. »

Il existe des possibilités d’éviter ces « poisons », nombreux, venant de notre alimentation. Les différents cancers que développe l’être humain pourraient être très largement contrôlés à la baisse en mettant en avant le facteur alimentaire. Parce que, en effet, d’autres facteurs sont bien moins sous notre contrôle personnel (comme la pollution atmosphérique ou les divers rayonnements, pour faire bref).

Parce que les cancers sont des maladies du métabolisme et n’ont strictement rien à voir avec un « dysfonctionnement génétique ». Il y a bien une altération de l’ADN lors du développement des cancers, mais cette altération à des causes « non génétiques » et de très nombreuses recherches scientifiques se sont depuis longtemps attardées sur ce sujet. Par l’alimentation il est possible de réduire la formation des produits finaux de la glycation avancée, il est possible de contenir le « stress oxydatif » et la production trop abondante d’espèces réactives à l’oxygène, de maitriser la production d’aldéhydes hautement mutagènes (comme le méthylglyoxal ou le malondialdéhyde, pour ne citer que ces 2 chefs de file)

... « Les dommages à l’ADN » : Les génomes nucléaires et mitochondriaux sont continuellement endommagés par des agents exogènes (UV, rayons X, composés chimiques présents dans les aliments, l’eau, l’air), des sources endogènes telles que les espèces réactives de l’oxygène (ROS), les aldéhydes et les produits finaux de glycation avancée (AGE) et les réactions spontanées (hydrolyse).

Les conséquences moléculaires de l’accumulation de dommages à l’ADN en fonction du temps sont :
i) des aberrations génétiques, telles que des mutations et une instabilité chromosomique, et
ii) le blocage des ARN et de l’ADN polymérases par des lésions de l’ADN, qui provoquent la signalisation des dommages à l’ADN et interfèrent avec le fonctionnement primaire de l’ADN.

Les conséquences cellulaires et tissulaires des dommages à l’ADN comprennent des décisions sur le destin des cellules telles que la mort cellulaire et la sénescence conduisant à une perte fonctionnelle des cellules et des organes, au cancer, à l’atrophie et à l’inflammation."...


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès