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Legestr glaz

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J'en pince pour vous

Tableau de bord

  • Premier article le 30/06/2016
  • Modérateur depuis le 09/03/2017
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Derniers commentaires



  • Legestr glaz Legestr glaz 13 mai 12:15

    @Eric F

    Grosse confusion de votre part. Les PRR reconnaissent le « non soi ». Ils ne sont pas des récepteurs spécifiques. 
    Les chercheurs qui évoquent les PRR ne peuvent jamais faire autrement que de parler des « ’virus ». Même si leur existence n’a jamais été prouvée.

    Cherchez l’info, vous la trouverez, me dites vous. Je pense en avoir lu davantage que vous sur le sujet si je dois considérer vos productions. J’ai assez posté de commentaires sur la découverte des TLR des DAMP et des PAMP

    Et puis, puisque vous parlez des PRR, lesquels reconnaissent, selon votre expertise, les « virus », pouvez nous dire à quoi sert la « vaccination » qui a pour but de « préparer » l’organisme à l’attaque du « virus » objet de la vaccination ?

    Il s’agit donc de « préparer » l’organisme à produire des immunoglobulines contre une forme atténuée d’un virus, pour que, lorsque le « vrai virus », le « virus intégral », se présentera « dans la circulation sanguine », les immunoglobulines développées spécifiquement, grâce à la vaccination, alertent le système immunitaire de la présence de cet agent pathogène ?

    Si vous trouvez ça « cohérent », moi pas, et pas du tout d’ailleurs. Il faut considérer, dans ce cas précis, dans ce cas qui « intègre » la vaccination, que le « virus incriminé » va parvenir à franchir la ligne de défense de première ligne du système immunitaire, celle qui devrait être imperméable. Parce que, chez les êtres humains, toutes les toxines qui pénètrent la circulation sanguine (après une piqure, une coupure ou une morsure) sont d’une extrême dangerosité. Bien souvent, seul l’usage d’un antibiotique peut sauver l’organisme. 

    La « vaccination » n’a strictement aucun effet sur le système de défense immunitaire de première ligne. J’espère que vous le savez Eric F. C’est pour cette raison qu’elle est totalement inefficace ! Parce que, lorsque les agents pathogènes sont dans la circulation sanguine, il est souvent trop tard pour l’organisme pour s’en sortir. 

    La dichotomie « immunité innée / immunité adaptative » n’est plus de mise, le fonctionnement du système immunitaire est bien plus complexe que cette distinction simpliste.
    Les cellules immunitaires innées comprennent principalement les monocytes, les neutrophiles, les macrophages, les cellules dendritiques, les cellules tueuses naturelles (NK), les mastocytes, les éosinophiles et les basophiles.
    Contrairement aux cellules T et aux cellules B, qui ont une spécificité élevée, les cellules immunitaires innées n’expriment pas récepteurs spécifiques de reconnaissance antigénique. 
    Grâce à la reconnaissance et à la liaison de certaines molécules communes à la surface des agents pathogènes, des cellules hôtes apoptotiques et des cellules sénescentes endommagées, les récepteurs de reconnaissance de formes (PRR) induisent des effets immunoprotecteurs, tels que des effets anti-infectieux et antitumoraux, et participent à l’initiation et à l’effet processus de réponse immunitaire spécifique.



  • Legestr glaz Legestr glaz 13 mai 11:15

    @Eric F

    copié-collé : « Parce que si l’existence ou non de Dieu (pur esprit) échappe à la preuve expérimentale -invérifiable-, au contraire celle des virus (matière) est basée sur les expériences, on connait même en détail leur génotype, aussi surement que le génotype humain -vérifiable et vérifiée »

    C’est faux Eric F, et vous le savez très bien. Vous vous accrochez à un mensonge. Une méthode scientifique rigoureuse n’a jamais été utilisée pour déterminer l’existence des virus. Ce que vous appelez « vérifiable et vérifié », c’est du « bricolage » un « déni de la méthode scientifique ». 

    D’ailleurs, des éléments disparaître, que la théorie virale empêche de rassembler, montrent que les « virus » sont une supercherie. Parce que, les « maladies » et les « décès » que l’on attribue (faussement) a des « virus » sont parfaitement bien expliquées par d’autres agents pathogènes. Des nombreux « vaccins » ont été utilisés contre des « bactéries » et des toxines bactériennes. Un non sens absolu.
    Parce que l’organisme humain n’a vraiment pas besoin qu’on lui « signale » à l’aide d’un vaccin, la pathogénicité des bactéries, des toxines bactériennes ou d’autres agents pathogènes. Les « récepteurs de reconnaissance de motifs moléculaires » -PRR savent parfaitement bien faire le « job ». Les PRR reconnaissent les signatures moléculaires spécifiques aux microbes connues sous le nom de PAMP  motifs moléculaires associés aux agents pathogènes -

    L’organisme sait faire, toujours et tout le temps, la distinction entre le « soi » et le « non soi ». La « vaccination » est une supercherie : elle ne sert strictement à rien ! 



  • Legestr glaz Legestr glaz 13 mai 10:35

    @Francis, agnotologue

    Pas mieux. Ces explications tarabiscotées sont d’une naïveté déconcertante.

    Et, bien entendu, jamais d’étude sur cette « célèbre » efficacité vaccinale qui ’protège« . Malgré des vaccinations renouvelées chaque année, les personnes »’sensibles" décèdent quand même. 



  • Legestr glaz Legestr glaz 13 mai 10:31

    @Eric F

    copié-collé : «  C’est en fonction de l’efficacité et de la nécessité. »

    Encore faudrait-il que des études « sérieuses » aient montré, une fois, une seule fois, « l’efficacité » vaccinale.

    Vous parlez de quoi Eric F, en évoquant « l’efficacité vaccinale » ? Un « vaccin » que l’on doit renouveler chaque année, tout le temps, parce que ces satanés « virus » sont des mutants ? C’est une plaisanterie cette affaire. Parce que les « vaccinations », année après année, n’ont jamais empêché les « personnes sensibles » de tomber malades et de mourir. Les décès concernent toujours les mêmes ’« profils » de personnes, et ce sont celles là qui sont très majoritairement « vaccinées ».

    Parce que les récepteurs « aryl hydrocarbone »  Ahr  existent bel et bien dans l’organisme humain, qui nous permettent de déclencher des actions enzymatiques pour lutter contre les matières particulaires de la pollution atmosphérique.
    En revanche, il n’existe pas de récepteur identifié à ce jour pour lutter contre les « attaques virales ». Et vous savez pourquoi Eric F ? Pourquoi, au cours de son évolution, l’organisme humain n’a jamais développé de défense spécifique contre les virus ? Parce que, pour développer une telle défense, il faudrait que l’organisme humain ait eu à se confronter à ces virus. 



  • Legestr glaz Legestr glaz 13 mai 09:15

    @Francis, agnotologue

    Quelque chose qui me parait important, mais dont il est rarement question. Qui pourrait faire l’objet d’un article d’ailleurs si le temps ne comptait pas.

    L’être humain, au cours de son évolution, a su s’adapter à son environnement en développant des compétences pour survivre et perpétuer son espèce. Nous tenons nos gènes de l’Homme du paléolithique, qui s’est construit, des milliers d’années après des milliers d’années.

    Et, parmi les compétences développées par nos très lointains ancêtres il y a « notre système immunitaire ». Tous les problèmes rencontrés par ces Hommes du paléo, nous les rencontrons toujours aujourd’hui et nos organismes doivent lutter contre ces agents pathogènes. Ils le font d’ailleurs assez bien s’ils sont mis en de bonnes dispositions.

    La pollution atmosphérique existait déjà du temps de nos ancêtres du paléolithique. Nos grands aïeux étaient, eux aussi, confrontés à des formes de pollution (éruptions volcaniques, feux de forêts, poussières de sable, spores, etc). Ce qui fait qu’aujourd’hui, il n’est pas « surprenant » de trouver, chez les êtres humains « modernes », le résultat des compétences développées par les Hommes du paléolithique pour lutter contre la « pollution atmosphérique ».

    L’être humain possède des « récepteurs » spécifiques appelés « Aryl hydrocarbon Receptor » -Ahr-, des récepteurs de xénobiotique qui détectent plusieurs familles d’hydrocarbures fortement représentés dans l’environnement (dioxines, PCBs, hydrocarbures aromatiques...).Ce rôle est bien caractérisé chez les mammifères.
    Ces récepteurs détectent, par liaison, les polluants et activent la transcription d’enzymes qui conduisent à l’élimination de ces molécules.

    Notre évolution nous a permis de nous protéger contre les particules émanant de la pollution atmosphérique, comme nous savons le faire également contre d’autres agents pathogènes, grâce à un système immunitaire compétent, qui fait la distinction entre le « soi » et le « non soi », qui identifie les bactéries et leurs toxines de nos propres cellules.

    Et j’en arrive à la question qui fâche : qu’en est-il des « virus », qui, selon la parole officielle, existent sur la planète Terre bien avant l’apparition de l’Homme ? Et bien, le « mystère » est complet ! L’être humain n’a développé, au cours de son évolution, aucune compétence spécifique pour contrer les agressions des virus : aucun système de défense, aucun récepteur particulier. C’est quand même curieux non ? 

    https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2012/03/medsci 2012283p255/medsci2012283p255.html

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