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Robespierre raconté par Henri Guillemin

 En 1789, banques et industries prospèrent mais le pouvoir reste entre les mains de l’Aristocratie : c’est alors qu’une nouvelle répartition de la richesse appellera une nouvelle répartition des pouvoirs.

1789, ce sont les émeutes de la faim. La France de 1789, c’est une France avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres : le travailleur des champs et des villes gagne 20 sous par jour ; pour se nourrir, il lui faut en dépenser 14 : le prix d’une miche de pain.

 

 

 Rappelons que dans les deux premières années, la Révolution Française c’est aussi le suffrage censitaire et la loi Le Chapelier qui proscrit les organisations ouvrières car la Constituante de juillet 1791 aura pour morale, une morale voltairienne : « Un pays bien organisé est celui où le petit nombre fait travailler le plus grand nombre qui le nourrit ».

Rappelons aussi que la Constituante maintiendra l’esclavage ; Robespierre dénoncera alors l’hypocrisie de l’égalité et de la liberté.

Très vite, la Révolution avorte ; elle n’est plus qu’une bataille entre nantis sur le dos des travailleurs. La bourgeoisie est prête à tout pour s’enrichir : on la soupçonne de faire la guerre à l’Autriche dans le seul but de recueillir des fonds pour s'emparer des biens du Clergé.

Robespierre protestera à la tribune des Jacobins en janvier 1792 : « Si vous voulez faire cette guerre d’agression, vous vous reniez ! La Constituante a voté à mai 1790 à l’unanimité que la Nation française déclare solennellement qu’elle ne fera plus jamais de guerre d’agression ».

Une disette organisée par des spéculateurs provoquera une demande d’intervention de l’Etat pour fixer le prix de vente du pain ; les Girondins s’y opposent ; ils rappellent que « l’Assemblée s’est engagée à ne jamais intervenir dans le domaine économique ». Ce qui confirme une Révolution entre les mains des nouveaux riches, banquiers et industriels.

 

Henri Guillemin, conteur enthousiaste, nous raconte Robespierre

 

  Le 10 août 1792, c’est la chute définitive de Louis XVI et de la monarchie constitutionnelle. La Convention remplace l’Assemblée. Cette journée voit la prise de contrôle du processus révolutionnaire par Danton et ses amis et alliés : Maximilien de Robespierre, Camille Desmoulins, Fabre d'Églantine, Jean-Paul Marat.

Robespierre fait voter le suffrage universel. Mais dans une France où 85% des Français ne savent ni lire ni écrire, sur 6 millions d’électeurs, 15% d'entre eux voteront avec pour conséquence : sur les 750 membres élus à la Convention, seuls deux membres issus de la classe ouvrière siègeront ; c’est la bourgeoisie marchande qui raflera les sièges.

Rousseauiste, Robespierre propose de limiter le droit de propriété ; il s’attirera les foudres de cette Bourgeoisie ; des Girondins réclameront la peine de mort contre quiconque propose de remettre en cause ce droit : « Liberté, égalité et fraternité » deviendra « Liberté, égalité et propriété ».

Robespierre demandera l’abolition des droits féodaux car la nuit du 4 Août 1789 qui avait vu l’abolition d’un certain nombre de privilèges, ne les avait pas abolis, tout en exigeant la peine de mort pour ceux qui spéculent sur les produits de premières nécessités : le pain et le blé et l’agiotage des assignats.

Danton à la tête du tribunal révolutionnaire qu’il a créé évoquera une 3è Révolution : « Il faut mettre la terreur à l’ordre du jour. Je veux une tête par jour ! » avant de faire volte face : il demandera que l’on fasse l’économie du sang très certainement dans l’espoir qu'on épargne le sien.

Le tribunal révolutionnaire avait fait tomber 1200 têtes en six mois ; en 40 jours, il en fera tomber 1876. Lamartine écrira : « ils couvrirent Robespierre du sang qu’ils versaient pour le perdre ».

Robespierre demandera la tête de Danton qu’il obtiendra pour « activités anti-révolutionnaires et anti-gouvernementales ».

 

 Avec sa guerre contre l’athéisme, un athéisme qu’il juge responsable de l’affairisme d’une classe qui sape son projet révolutionnaire et vole le Peuple, une guerre incarnée par l’Etre suprême censé consolider l’idée de justice et de fraternité, Dieu et la religion devenant alors non plus l’opium d’un peuple asservi et abruti de fatigue mais d’une République solidaire et fraternelle, Robespierre se met en danger irréversiblement.

Le 26 juillet à la Convention, il déclare : « Mes mains sont liés mais je n’ai pas encore un bâillon sur la bouche. Quand la République tombe entre certaines mains… que voulez-vous que nous fassions quand le responsable des finances fomente l’agiotage, favorise le riche, désespère le pauvre ? J’en ai assez de ce monde dans lequel l’honnêteté est toujours victime de l’intrigue et la justice un mensonge ! » (1)

Robespierre est arrêté. 106 exécutions seront votées. Robespierre sera le dernier à monter sur l’échafaud.

 

 La Révolution est morte. On rétablit le « cens » selon le principe qui veut qu’une République gouvernée par les propriétaires est dans l’ordre social. Madame de Staël rouvre son salon. Benjamin Constant rentre de Suisse les poches chargées d'or.

 

***

 

    Aujourd’hui encore, l’image d’un Robespierre « petit homme malingre à la santé fragile, incorruptible, fanatique, guillotineur glacé, les mains sanglantes », colle à la peau de ce personnage.

Issu d’un milieu modeste, Robespierre fera des études d’avocat grâce à une bourse du Clergé. Très tôt, il a pour maître à penser : Jean-Jacques Rousseau et son « Contrat social ».

On oppose souvent Robespierre à Danton, "l’homme du 10 Août", chaleureux et audacieux ; dans les faits, un affairiste et un spéculateur opportuniste et arriviste sans principe, ni doctrine ni vision car, de Danton, impossible de cerner la moindre idée politique ; la Révolution semble pour lui l’occasion d’un enrichissement inespéré.

Alors que Robespierre est un franc-maçon avec une doctrine sociale, Danton, ami des plus riches - on dit de lui qu’il a été, très tôt, acheté par la Banque, l’Industrie et la Monarchie avant la chute définitive de Louis XVI - n’a jamais caché son aversion pour « la démocratie et leur République de Wisigoths » ; celle que Robespierre tente de bâtir.

 

 … « Nous voulons une demeure pour les hommes où toutes les âmes s’accompliront » avait souhaité Robespierre.

 

Orgueilleux et désintéressé, on a dit Robespierre violent ; mais... la violence peut-elle être une forme de l’amour ? Un visage indigné de l’amour ? Et l’indifférence la perfection de l’égoïsme ? Après tout, ne peut-on pas préférer le sang à l’eau avec laquelle Ponce Pilate s’en est lavé les mains ?

Robespierre était de ceux-là : une âme perdue pour la raison du plus riche et du plus cynique ; et si on pouvait lui reprocher son isolement et son absence de contact avec le Peuple et de l'avoir plus souvent rêvé que rencontré, il aura toujours placé les intérêts des petites gens au centre de ses préoccupations et de sa Révolution.

 

1 - Le dernier discours de Robespierre devant la Convention le 8 Thermidor an II : ICI

______________

 

Pour prolonger, cliquez : Les conférences de Henri Guillemin


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30 réactions à cet article    


  • alinea alinea 1er novembre 2014 14:41

    L’école de Jules ferry a fait des dégâts ! Comme une rumeur, comme un mensonge acquis, le démenti n’aura jamais leur force !
    Ah si tous les profs d’histoire étaient ou avaient été comme Guillemin !!!


    • SALOMON2345 1er novembre 2014 18:38

      Les conférences de cet homme honnête et intègre, devraient être OBLIGATOIRES à l’école, tant les lumières qu’il allume et qui éclairent ce passé sont d’une pertinence ébouriffante !!!

      Les « statues » tombent, les héros sont de papier et les vernis longtemps et longtemps repassés en couches successives mensongères, ont façonné la doxa permettant ainsi aux injustices sociales et politiques de prospérer ! S’il est vrai qu’il n’est pire sourd que celui qui ne veut entendre il en est de même à qui jamais n’ouvre un livre et d’un clic stationne sur TF1 et autres universités pour s’instruire....

      • heliogabale heliogabale 1er novembre 2014 18:54

        Robespierre n’a jamais été dépeint comme quelqu’un de violent : au contraire, on a souvent fait le portrait d’un homme pusillanime, effrayé par le sang qui coule... Il n’a ni participé à la prise de la Bastille est resté (très) en retrait lors de la journée du 10 août (bien qu’il en fut le principal inspirateur) et n’a aucune responsabilité dans les massacres de septembre...

        Le plus important chez Robespierre, outre ses discours qui font de lui l’un des pères de l’État démocratique et social, c’est de comprendre pourquoi il est arrivé au pouvoir et ce qu’il a pu représenter au moment où il est élu au comité de salut public.

        Robespierre est un révolutionnaire de 1789 : membre du Tiers-État, présent lors du serment de jeu de paume, il est en 1793 l’un des derniers survivants de cette Révolution qui dévore ses enfants avec Barère de Vieuzac (membre éminent du comité de salut public, centriste rallié aux Montagnards et en ce sens pivot du gouvernement révolutionnaire mais étrangement peu connu).

        Mais Robespierre est bien plus : c’était le démocrate de la Constituante qui a gagné petit à petit le respect de ses pairs et l’admiration du peuple (en particulier le peuple des faubourgs). C’est surtout celui qui défend le suffrage universel (Discours du marc d’argent).

        En 1793, la France est cernée de toute part par la coalition des armées étrangères et des émigrés et est en proie à une guerre civile : la bourgeoisie (financière et/ou de robe) qui a pris le pouvoir depuis le début de la révolution est menacée d’un rapide effondrement et cherche l’appui du peuple toujours plus radical dans ses exigences révolutionnaires (ceux que l’on appelle les sans-culottes). Ce sont les sans-culottes qui expulsent les Girondins lors des journées de mai et juin 1793. Et c’est Robespierre qui arrive à les sauver de la mort en faisant comprendre qu’il vaut mieux les mettre en résidence surveillée. Certains s’échapperont mais échoueront dans leur tentatives d’insurrections fédéralistes...  

        Qui donc mieux que Robespierre, l’élément le plus avancé de la bourgeoisie, le révolutionnaire de 1789 et 1792, celui qui sait le mieux exprimé les aspirations des sans-culottes pour sceller cette union ? D’autant plus, comme le montre l’épisode avec les Girondins, qu’il a une réputation auprès de certains de modéré...

        L’oeuvre de Robespierre au sein du comité de salut public est marquée par cette volonté de compromis entre les sans-culottes (politiquement représentés par les enragés) et la bourgeoise qui s’est coalisée avec les sans-culotte que par nécessité vitale et qui veulent un rapide retour au statu quo ante (ce sont les Marais et les Indulgents).

        C’est cette position centrale qui va perdre Robespierre : son opposition à la campagne de déchristianisation et l’arrestation d’Hébert et de ses amis enragés vont lui faire perdre le soutien des sans-culottes. La politique de Terreur, qu’il n’a pas inventé mais qu’il a théorisé en lui associant la vertu de manière à la rendre plus acceptable, aussi nécessaire soit-elle va lui faire perdre le soutien de la bourgeoisie dès lors que le redressement militaire et dans une moindre mesure économique est avéré. De plus, les mesures sociales soutenues par Robespierre déplaisent fortement à la bourgeoisie financière qui y voit une entrave à la liberté de commerce.

        En Thermidor an II, du fait des exigences du pouvoir et de la nécessité de sauver la France d’un grand bond en arrière, Robespierre s’est quelque peu aliéné les forces qui l’ont amené au pouvoir. Robespierre est politiquement un homme seul. C’est ainsi que son discours du 8 thermidor est souvent perçu comme un testament politique. On a souvent dit que si Saint-Just avait pu réciter son discours le 9 thermidor en entier, il aurait mis Robespierre à la retraite. Sans omettre les nombreuses inimitiés qu’il s’est crée en particulier au comité de sûreté générale, l’usure du pouvoir, sa santé déclinante, sa chute est en grande partie expliquée par le fait que les forces motrices (bourgeoisie et sans-culottes) de la Révolution de 1792 pensaient pouvoir s’affranchir de Robespierre. Ils n’ont plus besoin de lui.

        On ne peut pas dire que la mort de Robespierre constitue l’élément final de la Révolution. Il y a un épilogue : c’est cette bataille qui va opposer les Thermidoriens : pour schématiser, d’une part les députés à gauche de Robespierre alliés au derniers survivants de la Montagne (appelés les Crêtois )et d’autre part les éléments à sa droite (libéraux, financiers, Indulgents etc.).

        Ces derniers vont gagner suite à l’échec de l’insurrection de Germinal et Prairial an III et écrire leur constitution qui supprime le suffrage universel, qui était la grande conquête de 1792...


        • Serge ULESKI Serge ULESKI 1er novembre 2014 19:35

          Merci pour votre apport.


        • Julien30 Julien30 3 novembre 2014 08:50

          « on a souvent fait le portrait d’un homme pusillanime, effrayé par le sang qui coule... »


          C’est vrai, il n’a fait guillotiné que 16 500 personnes en dix mois, qu’est-ce que ça aurait été si il avait aimé la vue du sang....

        • Hermes Hermes 3 novembre 2014 16:01

          Bonjour Serge Uleski,

          Bel article et commentaire intéressant (en début de ce thread). J’ajouterai une chose que l’on néglige beaucoup trop dans l’approche historique tellement on s’attache aux « idées ».

          C’est le petit ère glacière (1303 et 1860) qui a mis en place une situation géoclimatique qui a rendu petit à petit intolérables les privilèges à eux qui mourraient de froid et de faim.

          Pour avoir juste une idée, regardez ce tableau de la banquise sur la Tamise, et imaginez les conséquences géopolitiques d’une telle situation.

          http://a405.idata.over-blog.com/600x255/1/15/80/34/RC/Tamise-gelee—1677-.jpg

          Cdt.


        • eric 1er novembre 2014 19:11

          Robespierre était comme Lénine. Il appartenait à l’aristocratie.


          Noblesse de Robe, répondrons ceux qui lui attribuent une « famille modeste ». 

          Mais quel vrai républicain accepterait d’entrer dans ce genre de distinguo ?

          Rejetons d’une dynastie de juristes, il illustre à merveille la reproduction sociale à l’époque. Elève boursier au lycée Louis le Grand, il est brillant et c’est lui qui est chargé de dire le discour de remerciement au roi pour ses aides aux scolarisés.

          A part sa naissance dans le péché, ses problèmes de père et la douleur fréquente dans les classes moyennes sup à se sentir le cul entre deux chaises entre différent milieux sociaux, l’épisode Louis le Grand va dans le même sens. Boursier, non seulement il est derrière la balustrade qui sépare les vrais aristo des autres, mais il n’a pas le droit de porter l’épée.

          Montrez moi hier comme aujourd’hui, un énervé de l’illégalité jusqu’à raccourcir les différences, au besoin par la guillotine), je vous trouverai un type qui a des problèmes d’identité, des problèmes de père ( Staline).

          Toutes les grandes icônes des gauches historiques sont dans des cas de ce type ( regardez louise michel par exemple, Staline à nouveau et Hitler).

          Les grandes bouées de délires dans les sociétés ont en général de vraies cause civilisationelles. Pour Todd par exemple, c’est une question de taux d’alphabétisation. 
          Les grands destin de fous furieux idéologiques y rajoute en général de graves problèmes identitaires et insatisfaction personnelle.
          Aujourd’hui, le profil psy de beaucoup de gens très engagés à gauche, et en particulier à gauche des gauches est assez conforme, petits et moyens bourgeois qui préfèrent mettre leurs échec sur le compte de « la société » pour ne pas avoir à se poser trop de questions douloureuses sur eux mêmes.

          Il en toujours été ainsi. La seule vraie question est de savoir : si nos sommes à une époque de vraie rupture « culterelosociétale » ; si nos sociétés sont assez fragiles pour laisser le champs libre à des énergumènes de ce genre.



          • Jelena XCII 1er novembre 2014 19:57

            >> Robespierre était comme Lénine. Il appartenait à l’aristocratie.
             
            Oui oui oui... et la terre est carrée. Chacun de vos commentaires sont une insulte à l’intelligence humaine et votre obsession de « la gauche » tient plus la névrose qu’autre chose.
             
            Un conseil, pour le bien de vos proches, faites vous interner.


          • Xtf17 Xtf17 1er novembre 2014 20:19

            Moi aussi, moi aussi, à mon tour :

            "Aujourd’hui, le profil psy de beaucoup de gens très engagés à droite, et en particulier à droite des droites est assez conforme, petits et moyens bourgeois qui préfèrent mettre leurs réussites sur le compte « d’eux-tous-seuls » (ah, le mythe du self-made man !) pour ne pas avoir à se poser trop de questions douloureuses sur ce qu’ils doivent aux autres.Il en toujours été ainsi. La seule vraie question est de savoir : si nos sommes à une époque de vraie rupture « culturelosociétale » (? ??) ; si nos sociétés sont assez fragiles pour laisser le champs libre à des énergumènes de ce genre."

            C’est bien comme ça ?

            Trêve de plaisanterie. L’auteur devrait plutôt se sourcer auprès de Spinoza : le commencement absolu, ex nihilo, est une illusion, on ne part jamais de rien. Les gens qui soutiennent le contraire sont des gens qui vivent dans des conditions favorables et qui occultent ce qui explique leurs parcours atypiques. Il faut en finir avec cette idée de l’individu atomisé et isolé : un individu est toujours en relation avec autrui, d’une manière ou d’une autre. Il n’existe qu’en situation.

            A partir de là, les notions de « réussite / échec » dans une « société »...


          • alinea alinea 1er novembre 2014 20:25

            Et puis quoi. Kropotkine n’était-il pas un prince ?
            Tandis que les deux autres d’après ce que j’en sais, étaient juste issus de milieux lettrés ! Remarquez, à l’époque, comme aujourd’hui, cela peut être noble !


          • Xtf17 Xtf17 1er novembre 2014 20:25

            Edit : quand je dis l’auteur, je parle d’Eric, l’auteur du commentaire, et non pas Serge, l’auteur de cet excellent article que je remercie au passage !


          • epicure 1er novembre 2014 21:48

            "
            Toutes les grandes icônes des gauches historiques sont dans des cas de ce type ( regardez louise michel par exemple, Staline à nouveau et Hitler).

            "

            Dis éric tu fais un spectacle solo sans ramzi ?

            Dans le genre affirmations ridicules tu fais fort en une seule phrase qui résume le niveau zéro de ton message :
            Tu parles de grandes icônes de la gauche, mais tu ne cites qu’une seule icones de la gauche : louise michel.
            Hitler est une icone de l’extrême droite, c’est à dire l’antithèse de la gauche
            Et staline est plus proche d’hitler que de Louise Michel, d’ailleurs il a beaucoup persécuté de gens de gauche. Et pendant la guerre d’espagne les staliniens ont tué beaucoup de combattants de gauche.
            La logique du régime stalinien n’avait aucun rapport avec les philosophies de gauche, surtout pas celle de Marx.

            Donc leurs problèmes psychologiques n’ont rien à voir avec la gauche, et surtout pas symptomatique de quoi que ce soit vis à vis de la gauche.
            Bien au contraire, leur profil émotionnel, les place dans celui de la droite : le conflit, les rapports de force, l’autoritarisme etc...

            Les vrais gens de gauche sont aux antipodes de ce type de personnage. Une vision du monde et des rapports humains totalement différents.

            Bref comme tu es incapable de comprendre ce que sont les gens de gauche, leurs idées, tu discours sur du vide.

            Sinon pour rappel :
            après 1789 :
            la droite est contre la démocratie, pour le pouvoir d’un seul, hitler aussi (il voulait être cet homme).
            La droite considéré qu’un groupe de privilégié devait recevoir de la considération, tandis que d’autres pouvaient être réduit à l’état de moins que rien (ne serait ce que les esclaves), hitler aussi.
            La droite était contre l’égalité et pour la hiérarchie e la société, hitler aussi.
            etc...

            Et cerise sur le gateau :
            la droite post 1789 est détestée par la gauche, hitler aussi.

            Donc pour dire qu’hitler est une icône de la gauche avec Louise Michel, il faut être soit un gros menteur manipulateur, soit un ignare absolu qui n’y connait rien en politique. Alors que c’est l’un des plus gros épouvantails de la gauche.


          • Baasiste 2 1er novembre 2014 22:27

            tiens tu ramènes ta gueule :


            « Hitler est une icone de l’extrême droite, c’est à dire l’antithèse de la gauche »

            suffit de voir son programme socialiste et sa politique socialiste mais je vais pas encore récapituler tous ça pour éviter de t’humilier encore une fois hormis si tu insistes à nouveau.



            « Et staline est plus proche d’hitler que de Louise Michel, d’ailleurs il a beaucoup persécuté de gens de gauche. Et pendant la guerre d’espagne les staliniens ont tué beaucoup de combattants de gauche. »

            louise michel maçonnique-anarchiste-communard-collectiviste-athéiste n’a rien de contraire à staline en matière de totalitarisme mais elle n’est pas la seule figure de gauche, si staline est proche d’hitler c’est car nazisme=national-socialisme.

            sinon bouffon les staliniens étaient avec les gauchistes en train de brûler et massacrer ce qui leur plaisait pas, contre franco.


            « La logique du régime stalinien n’avait aucun rapport avec les philosophies de gauche, surtout pas celle de Marx. »

            si bouffon=collectivisme, totalitarisme et athéisme.


            « Donc leurs problèmes psychologiques n’ont rien à voir avec la gauche, et surtout pas symptomatique de quoi que ce soit vis à vis de la gauche. »

            si encore une fois bouffon suffit de regarder leur politiques.



            « Bien au contraire, leur profil émotionnel, les place dans celui de la droite : le conflit, les rapports de force, l’autoritarisme etc... »

            ce que tu cites dernièrement n’est pas lié à l’émotionnel mon con / :



            « Les vrais gens de gauche sont aux antipodes de ce type de personnage. Une vision du monde et des rapports humains totalement différents. »

            mensonge encore une fois ?



            « Bref comme tu es incapable de comprendre ce que sont les gens de gauche, leurs idées, tu discours sur du vide.

            Sinon pour rappel :
            après 1789 :
            la droite est contre la démocratie, pour le pouvoir d’un seul, hitler aussi (il voulait être cet homme).

            La droite considéré qu’un groupe de privilégié devait recevoir de la considération, tandis que d’autres pouvaient être réduit à l’état de moins que rien (ne serait ce que les esclaves), hitler aussi. »

            je rappelle que la bourgeoisie était de gauche à la base et enfin hitler était de gauche comme toutes les dictatures sanglantes rouges. de plus ni l’anarchisme ni le communisme ne tolère la démocratie.



            « La droite était contre l’égalité et pour la hiérarchie e la société, hitler aussi.
            etc... »

            l« égalité stalinienne et du NOM fous la toi dans ton cul. sinon hitler était pour l’uniformité : tous blond, blanc, en uniforme ça remplace tous métis, consommateur, athée et unisexe.



             »Et cerise sur le gateau :
            la droite post 1789 est détestée par la gauche, hitler aussi.« 

            euh bouffon la gauche a fait la rév bourgeoise de 1789 et hitler était en pârtie de gauche, grande partie.



             »Donc pour dire qu’hitler est une icône de la gauche avec Louise Michel, il faut être soit un gros menteur manipulateur, soit un ignare absolu qui n’y connait rien en politique. Alors que c’est l’un des plus gros épouvantails de la gauche."

            louise michel partageait bcp de points communs avec hitler comme marx, lénine et staline que tu occultes.




          • eric 2 novembre 2014 00:43

            Maximilien de Robespierre était le fils ainé de Maximilien-Barthélémy-François de Robespierre (né en 1732), avocat au Conseil supérieur d’Artois, et de Jacqueline-Marguerite Carraut (née en 1735), fille d’un brasseur d’Arras. Après leur rencontre en 1757, les deux jeunes gens s’étaient mariés le 2 janvier 1758. Né à Arras le 6 mai suivant, en la paroisse Sainte-Marie-Madeleine3, Robespierre fut donc conçu hors mariage4. Par son père, il descendait d’une famille de gens de robe artésiens (pour ceux qui ne savent pas, cela veut dire aristo. mais pas haut de gamme…)


            Le père de Lénine était un chinovnik, un haut fonctionnaire, pour ceux qui ne savent pas, fonction anoblissante en Russie, mais la aussi pas haut de gamme....

            Louise Michel naît le 29 mai 1830 en Haute-Marne au château de Vroncourt, fille de la servante Marie-Anne MichelN 1 et « de père inconnu », vraisemblablement Laurent Demahis, fils du châtelain1,2. Elle grandit près de sa mère dans la famille des parents de Laurent Demahis, qu’elle appelle ses grands-parents.

            Joseph Staline qui pourrait être le fils du comte Iakov Egnatachvili,Certains arguent que Joseph fut toujours accueilli chaleureusement dans la famille Egnatachvili, dans laquelle sa mère a été ménagère et nourrice. Staline fit frapper une médaille au nom de Prjevalski et fit venir son frère Alexandre Egnatachvili au Kremlin alors qu’il détestait la noblesse. Même si elle reconnaît toujours Vissarion comme son arrière-grand-père, Galina, la petite-fille de Staline a néanmoins reconnu une certaine ressemblance entre Egnatachvili et Staline
            (mais ici, on ne peut se fier vraiment à wiki, qui prétend qu’il prit le nom d’un héros populaire géorgien Koba, alors que c’était celui d’un roman, "le parricide…) Il faut dire aussi que, une fois, j’ai rencontré un Ossète qui n’était pas prince, donc un doute subsiste...

            Hitler, les problèmes de ses difficultés avec ses origines sont trop compliqués pour être résumé ici, mais on peut dire qu’il était sans doute le moins aristocrate du lot et pas nécessairement, effectivement le plus socialiste.

            Cela a continué après : dans mourir à 30 ans, Goupil montre les traumatisme de Michel Recanatti ( en charge d’action violente en 68 chez les trotskard) quand il découvre que sa mère à eu une vie avant…
            Quand à Jospin avec son père Vichyste, Hollande avec le sien à l’OAS, Ségolène avec l’absence du sien…
            Etc….
            Etre un leader de gauche, cela suit trop souvent des pathologies pshycho familliale pour qu’il n’y est pas quelque chose la dessous…

            Cela ne peut pas être un hasard, si leur slogan, c’est, toujours, détruire le monde ancien, c’est à dire une partie d’eux même...


          • Libertad14 Libertad14 2 novembre 2014 11:30

            Jolie littérature mais limite intolérante. Si à la gauche des gauches ont trouve des bourgeois et des intellectuels c’est peut être que fatigués des intrigues de la droite et extrême droite qui ont trop tiré sur la corde . Il est permis d’adhérer à des idées nouvelles sans pour autant devoir supporter le poids de ses origines . Puisque mes ancêtres sont de droite alors je dois rester de à droite ??



          • eric 2 novembre 2014 12:02

            C’est pas de la littérature, c’est des stats….

            Je veux dire, si vous fréquentez ces milieux, vous savez comme moi que la catégorie bureaucrate et émargeant à la dépense publique, c’est le gros des troupes. Il est même loisible de constater que les gradations entre gauche sont étroitement liée à la stabilité du « statut » et au montant du salaire. Le catégorie A statutaire à vie est plus PS bon teint, l’aternéoafter et souvent intermittent, précaire du service public. En fac, les mandarin sont moins à la gauche des gauches, que ceux qui sont en attente de poste,de titularisation etc… 
            Quand à ce qui est de la tolérance : expliquez moi rapidement les raisons que vous avez de penser que les 30% de vos compatriotes qui votent FN sont juste des citoyens civils civiques pas plus bêtes que les autres et qui ont juste des approches politiques différentes des vôtres, qui ont toute leur légitimité démocratique dans un monde ou les diversités culturelles durables et les différences enrichissent la société...

          • epicure 2 novembre 2014 21:37

            @Par Baasiste 2 (---.---.---.212) 1er novembre 22:27

            toujours dans le grand n’importe quoi où tout est mélangé avec son contraire.
            Ton insistance à mettre Hitler le meilleur représentant de l’idéologie d’extrême droite, montre que tes propos sont mensongers, et faux, et ne tiennent pas la route.
            Et argumenter en amenant staline qui n’est pas de gauche non plus n’arrange rien à l’affaire.

            vrai gauche = individualisme universaliste (marx, jaurès, balounine etc... )

            hitler, monarchisme clérical (action française etc ... ), fondamentalistes/intégristes religieux = autoritarisme particulariste = extrême droite

            Staline = autoritarisme oscillant entre particularisme (son pouvoir et culte personnel, la nomenklatura) et universalisme ( collectivisme étatique , droit sociaux etc... )

            Donc hitler et staline ne sont pas assimilables à la gauche.

            Hitler partage exactement les mêmes principes idéologiques que toi, l’autoritarisme et le particularisme.
            Vouloir le placer à gauche est donc une manipulation trompeuse, et malhonnête.

            Encore une fois tu parles de la gauche sans savoir de quoi tu parles.


          • epicure 2 novembre 2014 21:45

            @Par eric (---.---.---.116) 2 novembre 00:43

            hitler n’a rien à faire dans l’histoire, il est d’extrême droite, il est anti socialiste.

            Que staline soit d’origine noble, en plus de son passage par le séminaire , ne m’étonne pas, c’est plus un homme de droite qu’autre chose, rien que son culte de la personnalité, où il devient en quelque sorte une espèce de dieu, ne le différencie pas trop d’une monarchie de droit divin défendue par l’extrême droite, et est très éloigné d’un pouvoir socialiste basé sur al démocratie et le refus du pouvoir personnel et de la religion.
            Ségolène a malheureusement gardé certains vestiges de son éducation de droite, c’est pas vraiment un modèle de gauche donc. (certains de ses propos avaient choqués des socialistes)
            Donc au final toute ta liste n’a aucune importance et ne dit rien sur al gauche, vu que certains nommés n’ont rien de gauche.
            Tes soit disant icônes de gauche n’en sont pas.
            Bref tu n’attaques pas la gauche, amis uniqument ton fantasme sur la gauche.


          • Baasiste 2 2 novembre 2014 21:48

            mais l’autre clown répond et fait perdre mon temps sachant que je vais l’exploser encore une fois !!! :


            « toujours dans le grand n’importe quoi où tout est mélangé avec son contraire.

            Ton insistance à mettre Hitler le meilleur représentant de l’idéologie d’extrême droite, montre que tes propos sont mensongers, et faux, et ne tiennent pas la route. »

            ducon je suis obligé de resortir le programme / : De même pour Hitler qui généralisera à toute la population l’assurance vieillesse (aux artisans et artistes en particulier), pour les accidents et celle pour la santé (réservé avant que pour les vieux et fonctionnaires) où il rendra l’accès aux soins illimité. 


            Hitler aussi aura augmenté de 15 % les pensions de retraite en pleine 2nd gm et multipliera les contraintes sur l’employeur pour licencier, sécurité de l’emploi assuré. Il créa les toutes premières allocs familiales allemandes, interdiction des exports de capitaux, fin quasi totale du commerce avec les autres pays, autarcie anti-libérale, avec en plus des crédits d’impôts pour les familles à enfants, ainsi que la congé maternité. 


            Hitler étendra considérablement le système de protection social et finalisera l’Etat-providence allemand commencé par Bismarck. Il aura créé des dizaines de prestations différentes aux plus démunis, et fait des baisses d’impôts pour la classe moyenne et populaire. Hitler de plus ne pas oublier a fournit l’électricité gratuitement à toute la population et pris en charge par l’Etat l’assurance-automobile ainsi que les congé payés. 


            Des millions de logements sociaux seront construits et pris en charge par l’État et parfois par les entreprises, il y a eu aussi la « voiture du peuple« ou »coccinelle » offerte par l’État aux plus démunis. 


            Le taux marginal de l’impôt sur le revenu passera même de 50 à 65 %, des tonnes d’autres taxes sur le capital apparaîtront. Celui sur les bénéfices des sociétés de 10 % à 45 %. Un plafond de 6 % de bénéfices des entreprises distribués en dividendes, sera imposé. Des cantines, repas chauds, la médecine, aménagements hygiéniques, des loisirs, ect... seront mis en place dans les lieux de travail. Les prix, les salaires, les circonstances de vente, les méthodes de production, les taux d’intérêt et les sources d’importation des entreprises étaient contrôlés et dirigés par l’Etat. 0 liberté d’entreprise.

            http://www.persee.fr/web/revues/hom...

            http://www.cleiss.fr/docs/regimes/r...

            http://www.globalsecurity.org/military/world/europe/de-drittes-reich-economy.htm

            http://fff.org/2012/08/15/the-other-side-of-hitler/

            http://wiki.mises.org/wiki/Inflation_in_Nazi_Germany

            http://www.ndf.fr/poing-de-vue/06-10-2012/le-socialisme-en-chemise-brune

            http://stop-obama-now.net/hitlercare/

            http://ben.lp.free.fr/lesocialismee...

            d’autres liens que je ne retrouve plus.

            et le Larousse « Histoire du monde » de 1918 à aujourd’hui"


            programme ultra-socialiste d’hitler aussi Programme du Parti national-socialiste des travailleurs d’Allemagne (Nazi), 1920 (extraits)  :

            « La suppression du revenu des oisifs et de ceux qui ont la vie facile, la suppression de l’esclavage de l’intérêt.
            Considérant les énormes sacrifices de sang et d’argent que toute guerre exige du peuple, l’enrichissement personnel par la guerre doit être stigmatisé comme un crime contre le peuple. Nous demandons donc la confiscation de tous les bénéfices de guerre, sans exception.
            Nous exigeons la nationalisation de toutes les entreprises appartenant aujourd’hui à des trusts. Nous exigeons une participation aux bénéfices des grandes entreprises.
            Nous exigeons une augmentation substantielle des pensions des retraités.
            Nous exigeons une réforme agraire adaptée à nos besoins nationaux, la promulgation d’une loi permettant l’expropriation, sans indemnité, de terrains à des fins d’utilité publique – la suppression de l’imposition sur les terrains et l’arrêt de toute spéculation foncière, l’interdiction du travail de l’enfant. »



          • Baasiste 2 2 novembre 2014 21:54

            « Et argumenter en amenant staline qui n’est pas de gauche non plus n’arrange rien à l’affaire.

            vrai gauche = individualisme universaliste (marx, jaurès, balounine etc... ) »

            pauvre blaireau le collectivisme est le contraire total de l’individualisme libéral / :



            « hitler, monarchisme clérical (action française etc ... ), fondamentalistes/intégristes religieux = autoritarisme particulariste = extrême droite »

            euh hitler haïssait l’eglise et était un déiste païen : http://library.flawlesslogic.com/religion_fr.htm

            tu mens éhontément et ça se retourne contre toi, sinon hitler est un nazi comme toi il haït ce qui n’est pas allemand, toi tu haï ce qui n’estpaps athée, métis et cosmopolite.

            le socialisme aussi est particulariste, une société incompatible avec l’ensemble de l’humanité et toutes les identités humaines.

            il n’y a pas plus autoritaire que le socialisme liberticide politiquement et éco-socialement.



            « Staline = autoritarisme oscillant entre particularisme (son pouvoir et culte personnel, la nomenklatura) et universalisme ( collectivisme étatique , droit sociaux etc... ) »

            apprends la définition de particularisme pauvre mec / :




            « Donc hitler et staline ne sont pas assimilables à la gauche. »

            si Staline collectiviste et hitler socialiste.



            « Hitler partage exactement les mêmes principes idéologiques que toi, l’autoritarisme et le particularisme. »

            ducon j’ai montré le contraire, de plus déjà montré le particulariste c’est bien toi et l’autoritaire c’est bien le socialisme.


            « Vouloir le placer à gauche est donc une manipulation trompeuse, et malhonnête.

            Encore une fois tu parles de la gauche sans savoir de quoi tu parles. »

            tu aprles à toi même ?


          • Baasiste 2 2 novembre 2014 21:58

            « hitler n’a rien à faire dans l’histoire, il est d’extrême droite, il est anti socialiste.

            Que staline soit d’origine noble, en plus de son passage par le séminaire , ne m’étonne pas, c’est plus un homme de droite qu’autre chose, rien que son culte de la personnalité, où il devient en quelque sorte une espèce de dieu, ne le différencie pas trop d’une monarchie de droit divin défendue par l’extrême droite, et est très éloigné d’un pouvoir socialiste basé sur al démocratie et le refus du pouvoir personnel et de la religion. »

            le socialisme rejette la démocratie le collectivisme s’impose par la force et la violence et la coercition, l’opinion majoritaire compte pas. « dictature du prolétariat » dont staline a pris les rênes car le prolétariat ne voulait pas du socialisme ainsi que de la direction et était inapte au pouvoir. la monarchie féodale n’a rien à voir avec une dictature personnelle bureaucratique de parti pour imposer ton idéologie.


            pauvre débile traiter staline de droite très fort, la gauche a les pieds dans la merde faut renier son identité.


            staline était un totalitaire-collectiviste-moderniste-athée comme la gauche.







            « Ségolène a malheureusement gardé certains vestiges de son éducation de droite, c’est pas vraiment un modèle de gauche donc. (certains de ses propos avaient choqués des socialistes)
            Donc au final toute ta liste n’a aucune importance et ne dit rien sur al gauche, vu que certains nommés n’ont rien de gauche.
            Tes soit disant icônes de gauche n’en sont pas.
            Tes soit disant icônes de gauche n’en sont pas.
            Bref tu n’attaques pas la gauche, amis uniqument ton fantasme sur la gauche.  »

            bouffon tu renies 95 % de la gauche donc normal que pour toi il attaque pas la gauche. tu renies ce qui montre le vrai vsiage de ton idéologie comme les muslims qui disent « l’islamisme rien à voir l’islam ».


          • Baasiste 2 2 novembre 2014 22:11

            ah hitler monarchiste et religieux : lol


          • eric 2 novembre 2014 01:00

            Ah oui, et a Xtf17, cela fait plaisir de voir qu’il y en a un qui suit…C’est tout à fait cela, les gens de droite sont en général des gens qui ont réussi leur vie, d’une manière ou d’une autre, et donc ne sont pas trop obsédés par le désir de révolutionner une « société » qui ne les auraient pas « reconnu à leur juste valeur », ou ne leur ferait pas la place « qu’ils méritent ». Comme la plupart des gens, ils ont tendance à surtout voir ce que, dans ces succès, ils doivent à eux même. C’est bien compréhensible et c’est vrai de tous le monde. Le fonctionnaire de gauche se dit qu’il ne doit rien à personne parce qu’il a « passé des diplômes » et il ne se demande jamais, si le fait que se parents aient été prof n’a pas joué un rôle et ne s’apparente pas à un « héritage injuste » et une « reproduction sociale ». 

            Sur la seconde partie, je suis tout a fait d’accord avec vous. Mais cela, c’est la réalité. Le problème, c’est la perception…

            Il faut bien voir que l’essentiel des chinovniks socialistes au pouvoir aujourd’hui sont persuadés de représenter des catégories sociales exploitées ayant des droits de tirage sur une société injuste qui leur doit bien cela..
            Il en est même qui sont persuadé que Obama (l’homme le plus puissant du monde), « c’est bien », parce qu’il est « une minorité opprimé et stigmatisé », et que le red neck de base impose une « domination culturelle blanche, macho hétérocentrée et colonialiste » à Oprah Whtiney"

            • Xtf17 Xtf17 2 novembre 2014 08:57

               smiley MDR, visiblement vous ne maîtrisez pas l’ironie !

              Donc si je résume votre thèse : les gens de droite sont des gens qui ont globalement réussi leur vie ; les gens de gauche sont des gens qui ont globalement raté leur vie.
              Waouh, trop fastoche la politique !!!
              Encore plus simple qu’avec la Rolex de Séguéla !!!

              Ah oui, et vos notions de « valeur », de « mérite »... que c’est beau. Ça veut rien dire mais c’est beau.

              Allez encore un petit pour la route. Le verrez-vous cette fois ?
              "Le néolibéral de droite se dit qu’il ne doit rien à personne parce qu’il a « passé des diplômes » et il ne se demande jamais, si le fait que se parents aient été aisés (riches, cultivés, profs... rayer la mention inutile) n’a pas joué un rôle et ne s’apparente pas à un « héritage injuste » et une « reproduction sociale ».
              Je vous ai aidé, j’ai souligné les deux seuls mots que j’ai changé à votre discours tellement symétrique qu’il se discrédite tout seul.

              Un peu de lecture saine : « Les Tranclasses ou la non-reproduction », par la philosophe Chantal Jaquet, ou comment réconcilier Bourdieu et Spinoza sous l’angle « Le self-made man est une illusion ».

              Étonnant, non ?


            • eric 2 novembre 2014 09:52

              Vous n’avez pas compris. 


              Les gens qui s’acceptent raisonnablement on tendance à un begnign neglect politique qui les conduit en général à voter à droite parce qu’ils pensent que la politique, c’est l’art de la gestion du vivre ensemble. 
              Résultat politique ? Ils passent souvent leurs soirées en famille avec leurs enfants.

              Les gens complètement stressés par eux même, on tendance à chercher des boucs émissaires de leurs stress, « le capital », « la société, leurs parents. Etude du journal Psychologie, les patient des psy sont en tendance plus à gauche et surtout verts…ils finissent pas »pardonner à leur mère«  ; il est plus rares qu’ils »pardonnent à la société« . Il font le choix de mouvements qui militent pour que les gens comme eux, à l’aide de l’appareil d’Etat, accouchent d’une »nouvelle société« triomphant de l’ancienne.
              Bref, ils n’ont jamais compris qu’une société produit ses structures, ils vivent dans le rêve qu’il pourraient produire la société…C’est du reste pour cela que pas une expérience politique de gauche durable n’est considéré comme un succès dans ces milieux. Cela ne peut pas marcher.
              Résultat politique ? C’est la croix et la bannière pour se mettre d’accord avec l’ex pour la garde des gosses lors des soirées militantes, quand la pension ne permet pas de payer de nounous.

              Et tous cela n’a rien a for avec la réalité des succès perso ; Etude dans LIbé, il y a de nombreuses années : les militants socialistes étaient à la fois les plus satisfait de leur sort à titre individuel et les plus convaincu que leur catégories sociale ( classe moyenne sup pas top niveau), était la plus victime d’injustice dans le pays…

              Il est un fait, que ce que vous nommez les »néo libéraux« et on se demande bien pourquoi »néo« , si ce n’est pour faire croire que vos pensée ont évolué depuis 1847, puisqu’en réalité, »l’ennemi est toujours le même« ( les autres), ne passent pas leur temps à se demander d’ou il viennent, ou ils vont et de qui c’est la faute, en serrant leurs petits poings humides et en répétant, c’est injuste, c’est vraiment trop injuste…

              Votre dame est une adepte de »l’intersectionalism" la théorie qui dissèque les gens en patates ( genre, pratique sexuelles, classe, race, dans la version simplifiée française). Elle tente d’apporter une réponse à un des trous noir de cette théorie qui et trop en évidence ses absurdités.

              Dans ses cadres délirant, Obama, l’homme le plus puissant du monde, est une victime de l’idéologie colonialiste, blanche, hétérocentrée et néolibérale…..

              Il s’agit aussi de pouvoir flinguer en interne dans ces milieux, ceux qui font trop parler d’eux et finissent par trop sortir de la tiède médiocrité collective.

            • alinea alinea 2 novembre 2014 10:49

              moi je suis d’accord, eric : les gens de droite n’ont pas vécu de faille dans leur formatage, ils sont prêts pour la reproduction , même métier que papa, même style de vie.. tandis qu’à gauche, il y a eu des failles, des espaces dans lesquels s’engouffrer pour rêver justice, liberté, grands espaces, pour sortir du bocal et rejoindre la rivière qui rejoindra la mer ; utopiste, anarchiste....

              http://www.youtube.com/watch?v=wRdXZRZ5lkE


            • eric 2 novembre 2014 11:40

              Non, trop simpliste

              En fait, c’est exactement le contraire.
              Il y a une étude quelque part sur le net sur les opinions politiques des professions enseignement recherche universitaire.
              On constate que ceux qui avaient des parents « plutôt à droite » se partagent suivent les lignes statistiques françaises. Ils ont été libres. Pas de déterminisme.
              Ceux dont les parent étaient « à gauche » sont à gauche de façon écrasante. Il sont beaucoup plus formatés, mais en plus ils ont des failles personnelles.
              Une éducation de droite prédispose à la liberté. Une éducation de gauche exige une très longue auto rééducation pour en sortir. Il faut remettre en cause ses « croyances ».

              Ici, on a un très bon exemple : même faire le constat que la plupart des grandes icônes révolutionnaires étaient des petits aristos un peu ratés, bourrés de complexes, avec de lourds passés familiaux, ne pose aucune question. Au contraire, regardez le nombre de réponse du type « même pas vrai » ou « vous êtes fous ».

              D’autre part, le destin sociologiques de l’essentiel des gens activement à gauche, d’un point de vue sociologique et statistique, c’est d’être ou de devenir des bureaucrates.

              Du reste, vous en rendez compte remarquablement : ils rêvent, de justice, de liberté, etc…
              Quand on a affirmé cela, et c’est très vrai, on a a peu prêt tout dit.

              Le NPiste type statistique, c’est quand même un facteur. Un type qui tourne physiquement en rond tous les jours dans la sécurité tiède du statut.

              Du reste allez à la rubrique liste d’explorateurs de wiki…Les gens qui ont vraiment franchit le pas, concret, pratique, vers l’ailleurs, les grands espaces, la sortie du bocal, vous allez voir le profil sur le plan individuel….
              Mais sur le plan collectif, et je suis bien placé, les grandes échappées, et qui ont changé le monde, ce sont des groupes protestants allant créer leur liberté ailleurs.
              A gauche, il doit y avoir 2 ou 3 groupe anarchisant proudhonien en amérique Latine et du Nord, qui n’ont pas résisté à la liberté une génération, ou plus récemment des « communauté » et cela a en général dégénéré encore plus vite.
              Les gauches ne sont pas faites pour le grand large…Mais c’est sur qu’elles en rêvent et en veulent beaucoup à ceux qui naviguent vraiment….

            • Julien30 Julien30 3 novembre 2014 08:45

              « tandis qu’à gauche, il y a eu des failles, des espaces dans lesquels s’engouffrer pour rêver justice, liberté, grands espaces, pour sortir du bocal et rejoindre la rivière qui rejoindra la mer ; utopiste, anarchiste.... »


              AHAHAHAAHHAA !!!!!!! 

            • William7 15 novembre 2014 18:08

              es gens complètement stressés par eux même, on tendance à chercher des boucs émissaires de leurs stress, « le capital », « la société, leurs parent
              =======================================================
              C’est à croire qu’il n’y a pas un seul argument à faire valoir pour la critique sociale du capitalisme. Fantasme donc ?

              De mon point de vue, ce sont plutôt les gens de droite qui ont besoin de se trouver des boucs émissaires. Bien à l’aise avec eux-même, leur bon droit, leur bonne conscience des bonnes structures qui font « filer droit » le sale gauchiste en cas de révolte. Pas de problèmes ou de tortures mentales puisque le système est « juste »...

              Les salauds de pauvres, les assistés, les chômeurs profiteurs, les étrangers, les fonctionnaires, les féministes, etc.

              Comme par hasard, ils sont attaqués dans des dispositifs politiques et discursifs qui ne tiennent pas du fantasme.

              Le monde de droite est aussi binaire que celui qu’on reproche au marxisme orthodoxe : les loosers et les winners. Les seigneurs qui « donnent » du travail« à ceux qui sont pourtant des »charges". Les travailleurs et les assistés. 

              Finalement, l’insistance sur la responsabilité individuelle donne un aspect viril à la conversation. In fine, les gens sont toujours à la recherche de coupables à punir.

              Une vision critique de la société ? Non, non, ça suffit les excuses. On me la fait pas à moi. Ca me rappelle ces américains de droite, très à droite qui applaudissaient et jouissaient de l’idée que des gens puissent crever sur le bord de la route parce qu’ils n’avaient pas d’assurance maladie privée.

              A titre de corrélation, et de ce fait, je suis à peu près certain que chez les libertariens ou libéraux, il y a une sur-représentation de psychopathes. 




            • eric 2 novembre 2014 01:38
              J’ai continué a regarder par curiosité…

              Phillipe Fabre, n’a pas de racine aristocratique connue, mais comme les autres il est tellement fasciné qu’il se rajoute une particule..d’Eglantine. dans le privé, il est une sorte d’intermittent du spectacle, très porté sur les filles mineures (celle du premier scandale à 15 ans…)

              Danton, perd son père tout jeune, sa mère se remarié ( Voir recanatti), il fait un riche mariage d’amour ( 20 000 livre de rente !) mais bénéficie en plus d’une aide soi de Louis XVI soit du Duc d’Orléans pour acheter sa charge d’avocat au conseil du Roi…(marche vers l’anoblissement..),

              Marat est le fils d’un capucin siculo sarde défroqué. Son premier roman Le prince Potowski, montre safascination aristocratique. 
              Médecin auprès du comte d’Artois1,10,11. Dans les années 1780, Marat continua de soigner Claire de Choiseul, marquise de l’Aubépine de Châteauneuf (1751-1794) qui le soutenait financièrement et avec laquelle il aurait eu une liaison intéressée si l’on en croit les éditeurs de Jacques-Pierre Brissot12.
              Lorsqu’il était médecin de l’écurie et des pages du comte d’Artois, frère du roi, Marat essaya vainement de faire reconnaître sa noblesse espagnole et enregistrer un blason19 que l’on retrouve sur sa correspondance entre 1778 et 178920.
              « Au 1er de (émail inconnu) à un demi-aigle de (émail inconnu) au vol abaissé mouvant du parti ; au 2e tranché en chef de (émail inconnu), à la bande ou demi-chevron de (émail inconnu), et en pointe de pourpre. Écu surmonté d’une couronne de comte….

              Il y en a un qui tranche : Louis Antoine de Saint-Just2 est le fils aîné de Louis Jean de Saint-Just de Richebourg (8 novembre 1716-8 septembre 1777), un capitaine de cavalerie décoré de l’ordre de Saint-Louis,

              Enfin, de la vraie noblesse d’épée !

              Une belle collection de fils du peuple, d’avant garde du prolétariat et de représentant de la classe ouvrière…

              Voila les gars, c’est ça vos grands modèle historiques progressistes….

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