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Christian Castelli

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Tableau de bord

  • Premier article le 21/04/2017
  • Modérateur depuis le 03/05/2017
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Derniers commentaires



  • Christian Castelli 28 avril 2017 19:56

    1/ « S’il y a un risque avec le débat d’idée, c’est qu’il n’ait pas lieu. Allez, vive la démocratie et la liberté d’expression ! » Je suis parfaitement d’accord !
    2/ "il est excessif de prétendre que ce parti [le Front National] ne serait pas républicain. Rien dans son programme ou dans son discours ne permet de supposer qu’il veut attenter à la république, à la légitimité par le vote, au respect des institutions. Ses dirigeants ont toujours respecté le processus électoral.« Sur la forme, je suis parfaitement d’accord. La République a offert un espace politique au Front National et n’a pas cherché à le faire interdire ou à emprisonner ses dirigeants. C’est pourquoi le Front National n’a pas eu à user de moyens illégaux sur la forme. Quant au fond, je serai plus réservé. Le Front National mine depuis des décennies la confiance des citoyens dans les institutions de la République : »Tous corrompus ! Tous vendus !« . Plus révélateur pour moi de ses intentions réelles est cependant le fait que le Front National ne tente pas de corriger les erreurs proclamées du système. Le cumul des mandats ne gêne plus ses membres, une fois que ces derniers sont eux-mêmes titulaires de plusieurs mandats (Monsieur David Rachline ou bien Madame Marion Maréchal-Le Pen). La rémunération généreuse des politiciens n’est plus un problème lorsqu’elle est versée à ses élus, même si le payeur se trouve être l’abominable Union Europénne. 23 députés du Front National siègent au Parlement Européen (6.611,42 euros nets par mois - http://www.europarl.europa.eu/meps/fr/about-meps.html). Pas un, à ma connaissance, ne redistribue cette manne financière au peuple francais, pourtant spolié par Bruxelles aux dires du Front National (pour les germanophones, ici un exemple en Autriche : https://www.kpoe-graz.at/tag-der-offenen-konten-2016.phtml). Le Front National, pour moi, c’est au fond : »Cachez ce sein que je ne saurais voir« .
    3/ Le candidat à la Présidence de la République, ce n’est pourtant pas le Front National, mais Madame Marine Le Pen. Et je ne retrouve pas chez elle l’aspiration à un débat d’idées, pourtant vital à toute démocratie digne de ce nom. »Cette élection, c’est un référendum pour ou contre la France« , dit-elle (http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/marine-le-pen-ce-n-est-pas-une-election-presidentielle-comme-les-autres-922867.html). »Choisir la France« est fut slogan de son meeting de Nice le 27 avril dernier. Question. Depuis quand un candidat à la Présidence de la République peut-il se permettre d’accuser tout citoyen, ne votant pas pour lui, d’être contre la France ? »Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.«  »La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.« (Articles 10 et 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, https://www.legifrance.gouv.fr/Droit-francais/Constitution/Declaration-des-Droits-de-l-Homme-et-du-Citoyen-de-1789)
    Je finirai avec cette citation longtemps attribuée à Voltaire : »je déteste ce que vous écrivez, mais je donnerai ma vie pour que vous puissiez continuer à écrire."



  • Christian Castelli 28 avril 2017 18:22

    @sweach
    1/*Toute ressemblance avec des faits actuels ne serait que pure et fortuite coïncidence.* Je vous rassure il n’y en a pas...
    Merci d’avoir compris l’ironie de l’avertissement. Sinon, aucune ressemblance ? Aucune ? Vraiment ? « la presse ne serait pas neutre », « Les politiques formeraient une bande de bandits. C’est pourquoi le résultat des élections serait parfaitement sans importance. » ou bien "Les communistes n’ayant participé pendant des années à aucun gouvernement, pourraient facilement rejeter sur les "partis de gouvernement« la responsabilité de tous les maux des années 1950 ». Lisez certains commentaires sur AgoraVox ou sur d’autres sites internet. Ecoutez autour de vous. Je serais personnellement ravi que la tonalité de ces commentaires ou bien de ces discours soit radicalement différente.
    2/"si on devait vraiment faire un parallèle aujourd’hui, il ne serait pas dans le sens que vous pensez, car il y a ceux qui collabore avec le pouvoir européen et ceux qui le combattent« 
    Je pense que vous projetez ici un double parallèle qui vous est cependant personnel. Laurence Wylie analyse entre autres l’influence du climat de suspicion sous l’Occupation sur la vie d’un village du Vaucluse en 1951. Personnellement, je fus frappé par l’actualité de nombre de témoignages ou de prises de position des villageois de 1951 (cf. 1/)
    3/ Pour finir, une petite note polémique : »ce que ne dit vos petites histoire, c’est qu’après les années 50 et ses années de souffrance, nous avons eu les 30 glorieuses et c’est vers ça qu’il faut tendre ^^"
    Permettez moi de vous indiquer que les Trente Glorieuses sont pour partie l’enfant de la reconstruction du pays (suite aux ravages de la guerre et grâce aux aides du plan Marshall), mais pour partie aussi un joli conte que l’on aime se raconter (pensez à l’Appel de 1954 de l’Abbé Pierre en faveur des mal-logés ou bien aux grèves de 1968). Par ailleurs, les Trente Glorieuses couvrent la période allant de 1944 à 1974 (années 1950 incluses). Et pour la petite histoire, c’est en 1951 que la Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier fut fondée, suivie en 1957 de la Communauté Economique Européenne. La construction communautaire ne semble pas avoir été un problème.



  • Christian Castelli 20 avril 2017 21:24

    @Fifi Brind_acier
    « Il est interdit de faire des programmes de politique intérieure nationale »
    Je suis au regret de devoir vous rappeler que l’Union Européenne n’a qu’une compétence d’attribution, ce qui veut dire qu’elle ne possède que des compétences reconnues dans les Traités (http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=uriserv%3Aai0020).
    Par exemple, qui décide de la politique d’éducation (école primaire, collège, lycée, université) ?
    Par exemple, qui décide de la ploitique de formation professionnelle ?
    Vous soutenez, je pense, tous les politiciens qui renvoient les mauvaises nouvelles à Bruxelles (alors même que le Conseil de ministres est le législateur au niveau de l’Union Européenne) et se targuent des succès (par exemple la hausse des ventes d’Airbus).
    L’Union Européenne n’est ni un monstre ni un ogre ! L’Union Européenne, c’est nous !
    Sortir de l’Union Européenne, c’est possible, à condition d’avoir un projet concret et mobilisateur ! Sans quoi, nous aurons, après la sortie de l’Union Européenne, à gérer la sortie de la République Francaise (voir par exemple la Catalogne en Espagne ou l’Ecosse au Royaume-Uni).



  • Christian Castelli 19 avril 2017 21:13

    Cet article a au moins un mérite à mes yeux, et le seul que nous devrions retrouver dans nos articles, commentaires, réactions : Son auteur s’engage sur un projet. Certes, nous pouvons avoir une autre opinion que lui (nous avons la chance de vivre en démocratie, faut-il ici le rappeler), mais quel projet soutenons-nous alors et sommes-nous prêts à fournir les efforts requis à la mise en oeuvre de ce projet ? Il ne s’agit pas d’un casting pour une émission de télé-réalité. Il ne s’agit pas non plus de se lamenter, de railler ou de hurler. Nous écrivons, tous ensemble, au quotidien l’Histoire de l’Union Européenne, de la République Francaise, de notre région, de notre département, de notre commune. Les échecs comme les réussites sont les nôtres, contrairement à ce qui se lit dans beaucoup de commentaires. A chacun de nous par conséquent le 23 avril de voter pour le projet qu’il/elle veut construire, pour lequel il/elle est prêt(e) à faire des efforts (la répétition est volontaire). Nous ne pouvons nous identifier à 100% à un projet, c’est évident. Mais ou nous choisissons ou d’autres choisiront pour nous. Bonne lecture des programmes !

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