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Gérard Faure-Kapper

Gérard Faure-Kapper

Expert bancaire, écrivain

Tableau de bord

  • Premier article le 03/07/2017
  • Modérateur depuis le 06/07/2017
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Derniers commentaires



  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 5 septembre 2017 20:01

    @C BARRATIER

    C’est le droit à la défense qui est sacré, pas Salomon. Je le cite parce que c’est un notable, mais je ne le connais pas personnellement.


  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 5 septembre 2017 14:39

    @Lugsama


    Eh bien continuez à le croire...


  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 5 septembre 2017 13:19

    @Lugsama


    Encore une fois, vous avez raison en théorie.

    Parlons de « l’avantage énorme ». Ces avantages sont de 3 sortes. 

    Soit c’est une baisse de taux. Dans ce cas, si vous partez, c’est qu’en général vous avez trouvé un meilleur taux ailleurs, donc ça ne vous intéresse pas.

    Ca peut-être la gratuité des frais de dossier. C’est de l’ordre de 500€. Vous les remboursez, c’est peanuts. 

    Enfin, ça peut-être un avantage en nature accordé par la banquière. C’est plus rare et plus confidentiel. là, je ne sais pas comment ça se passe.

    Maintenant, si l’on quitte la théorie pour aller dans la pratique.

    Il faut spécifier l’avantage dans le contrat. Comment voulez-vous mettre que le taux sera à 2,75% au lieu de 2,90%. Si la personne quitte la banque, le taux sera recalculé à 2,90%

    Réfléchissez un peu. Pourquoi la personne va quitter l’agence ? Pourquoi ?

    Outre le rachat de prêt, qui annule cette clause, c’est parce que le banquier lui prend des frais inconsidérés. C’est, toujours dans la pratique, la cause principale.

    Et si le banquier bloque la situation, il va certainement se prendre un procès, ce qu’il veut éviter à tout prix. 

    Par ailleurs, si la banque veut l’obliger à rembourser d’un seul coup, ça ne lui posera aucun problème, ni technique, ni juridique, ni moral.

    Un dernier conseil, ou plutôt un cadeau. N’utilisez qu’avec prudence le mot mensonge. Il ne peut s’appliquer que sur des faits précis. Il fait jour, je vous dis qu’il fait nuit. C’est un mensonge.

    Par contre, nous sommes dans un domaine où la vérité pure n’existe pas trop, tout est une question de différence entre la théorie et la pratique, plus les interprétations des textes, plus les circonstances du fait. Il n’y a donc que des points de vue différents, qui peuvent se discuter.

    Et si vous utilisez le mot mensonge, alors vous vous coupez de vos interlocuteurs. 

    Relisez Carnegie et vous comprendrez ce que je veux dire.

    Enfin, moi ce que j’en dis, c’est surtout pour vous rendre service. Vous en faite ce que vous voulez. 


  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 5 septembre 2017 10:52

    @Lugsama


    S’il y a dans le contrat une obligation de domicilier les revenus et que le client ne s’exécute pas, la banque va donc dénoncer ce qui est une rupture de contrat. Comme le prêt est très souvent passé devant notaire, c’est un acte authentique qui ne nécessite pas le passage devant un tribunal. 

    Pratiquement, après une première relance, qui n’est même pas obligatoire, la banque va procéder à la déchéance du terme. puis elle va exiger le remboursement, puis procéder à la saisie de l’immeuble. 

    Voila comment ça se passe. 


  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 5 septembre 2017 08:39

    En théorie, c’est un bon texte pour les consommateurs... 


    Dans la pratique, l’exigeance du salaire était la première condition d’octroi d’un prêt. Et dans la pratique, la moyenne de vie d’un prêt est de 7 ans.

    la loi murcef était aussi un bon texte pour les consommateurs. Elle oblige les banques à envoyer une lettre avant de payer ou de refuser une écriture.

    Bravo ont chanté ensemble les associations de consommateurs.

    Bravo ont crié les banquues. Dans la pratiques, ces lettres ont été facturées une quinzaine d’euros qui se rajoutaient aux frais d’intervention. 

    Cette loi, sous l’impulsion d’une association d’usager de la banque, a créé le poste de médiateurs de la banque. 

    Bravo ont hurlé les associations de consommateurs qui pensaient avoir un arbitrage objectif.

    Bravo ont aussi fait les banquiers. En nommant elles-même le médiateur, elles le maîtrise, en donnant un délai de 3 mois, c’est suffisant pour échaper à la prescription pénale et avoir les 2 mois de délai pour fermer le compte.

    Comme quoi, il y a toujours eu l’union sacré des banquiers et des associations de consommateurs qui apportent elles même la caution morale aux banques.

    Si j’était encore en activité dans le banque, je ne pourrai que me réjouir d’un tel texte. Pendant 10 ans, fini le chantage au départ vers une nouvelle banque. Le client, on peut tout lui faire, il est enchaîné.

    Tous les textes qui augmentent le pouvoir de la banque, ont toujours été pris « en accord avec les principales associations de consommateurs »,
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