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ddacoudre

ddacoudre

poète essayiste militant à la retraite.
La vie commande d’être convaincu qu’il y a un absolu où tout ce que nous concevons s'écroule, Il faut donc comprendre que celui qui dispose d’une certitude absolue peut se suicider car c’est un mort vivant et ne peut développer pour vivre que la mort qu’il porte.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 06/06/2007
  • Modérateur depuis le 27/06/2007
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Derniers commentaires



  • ddacoudre ddacoudre 29 août 2007 23:51

    Bonjour. romain

    J’ai bien peur qu’il faille « euthanasier » la planète entière. Les enfants et les vieillards sont les otages faciles d’un pouvoir qui les instrumentalise par l’émotion qu’ils suscitent lorsqu’un drame les affectes. Aussi tôt les média font le relais et la population suis à chaud l’événement, apprécies la rapidité de la réponse des politiques qui s’attribut ainsi la réputation d’efficacité qu’il va sur laquelle il va s’appuyer pour faire passer une politique drastique dans d’autres secteurs.

    C’est la juste souffrance d’autrui instrumentalisé et théâtraliser par des médias complaisants qui ne rapportent pas la réalité ou l’historique de l’événement mais orchestre l’étalage de la souffrance d’autrui et organise l’indignation (même si elle est justifié) générale qui réclame des têtes ; car depuis un certain nombre d’année il est de bon ton de se plaindre et de toujours trouver un responsable en dehors de soi.

    La juste colère impulsive de ceux qui vivent la souffrance est légitime puisque c’est un processus cérébral qui se met en route émotionnellement et ne cesse que lorsqu’ il consume toute l’énergie qu’il développe. Dans ces moments là on se laisse aller à sa peine et à toutes les rancoeur qu’elle peu générer. Alors dans ce cadre là l’on peut songer à la vengeance et à la destruction radicale de sa source de souffrance. C’est pour cela que l’Etat s’en charge afin d’éviter que nous nous entre tuions.

    Ainsi si l’euthanasie me choque c’est moins parce qu’elle doit détruire des chiens, les Chinois les mangent comme nous les bœufs que vénère les Indous. Ce qui me choque c’est la radicalité d’une proposition réfléchie qui suggère une shoah canine, puisque après tous ce ne sont que des animaux. Sauf que nous, les humains, sommes aussi des animaux et quelqu’un l’a déjà expérimenté cette pratique.

    Tous les animaux sont des êtres vivants dont nous mangeons certain tandis que d’autres deviennent des animaux de compagnie parfois très proche comme les Chiens. Assez proche pour en oublier qu’ils sont comme nous des être psychiques avec leurs problèmes conséquent de leur environnement et de leur apprentissage (lire Si les loup pouvais parler de Boris Cyrulnik), donc, comme nous, des animaux plus ou moins dangereux.

    Est-ce que nous détruisons les voitures parce que elle tue dans leur utilisation, est-ce que nous jetons nos couteaux parce qu’ils blessent et tuent, est-ce que nous jetons les armes parce qu’elles tuent, est-ce que nous coupons nos têtes parce que nos idéaux tuent, est-ce que nous arrêtons de consommer parce que nos production tuent.

    Je l’ai déjà écrit toutes nos créations et tous nos concepts peuvent être mortel, il faut le savoir et être vigilant mais nous ne pourrons jamais atteindre le risque zéro pour une simple raison d’occurrence mathématique, ni ne pourrons atteindre l’absolu du principe de précaution sans éradiquer la planète.

    Alors je suis bien d’accord avec toi il faut « euthanasier » les cons, mais le plus tard possible car j’en fais malheureusement parti même si je me soigne. Cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 28 août 2007 01:38

    Bonjour.

    Je crois que tu n’as pas su expliciter clairement que toute société fabrique ses délinquants et criminels par l’abandon de pratiques devenu inacceptables pour quelques raisons justifié ou non que ce soit.

    Cette transformation de la société dite civilisé, en rendant le crime moins courant, a rendu ce dernier de moins en moins tolérable. L’habitude d’un événement le banalise et le rend acceptable et accepté, par un phénomène d’accoutumance. A contrario, la rareté induit un sentiment d’anormalité de la chose, une espèce d’incongruité sociale. Le crime vient perturber directement l’ordre des choses, l’ordre social.

    Il provoque chez le citoyen qui a pris l’habitude de s’en remettre à la société, ou plus exactement au pouvoir politique, une impression de vulnérabilité.

    On dira aujourd’hui un sentiment d’insécurité, ou d’impunité, relayé et amplifié par la caisse de résonance médiatique, et l’exploitation politique inévitable. Comme l’ont souligné Philippe Robert et Marie-lys Pottier, pour « l’insécure », le problème d’insécurité est un problème de société lorsque ses amis sont au pouvoir, et un problème politique lorsqu’ils sont dans l’opposition.

    Ainsi le jour où il n’y aura plus que quelques fumeurs à braver l’interdit, ils deviendront de fait délinquants ou criminels J’ai compris que tu n’en veux pas à ceux qui défendent leurs causes, tu leur reproches seulement par fanatisme de faire de situations aujourd’hui acceptées celles qui demain conduiront en prison.

    C’est ce que nous sommes en passe de réaliser pour les accidents meurtriers de la route, plus leur nombre se réduira plus ceux qui demeureront seront perçu comme des actes criminels, c’est l’inévitable théorie de l’escalade.

    Il est devenu quasiment impossible de faire comprendre que le risque est partie intégrante d’une société ou les hommes inventent des produits et des concepts mortel contre lesquels ils veulent se prémunir bien naturellement, sauf quand par fanatisme ou haine ils développent à leur tour des concepts mortels pour les autres. C’est ainsi que le mot de crime se banalise. Ne dit-on pas : « ce qu’il fait est criminel », « comme il se conduit c’est criminel », « ce qu’il pense est criminel », etc.... pour qualifier de plus en plus la dangerosité d’événements ou de comportements, et cela nous conduira incidemment à regarder notre activité humaine comme une activité criminelle, et nous passerons de la notion d’humain « Etre violent », à celle « d’Humain criminel ».

    Le respect de la vie comme pas vers l’hominisation, ne souffre pas de partage, même si des atrocités nous émeuvent au point de désirer la mort pour ceux qui les commettent, car impulsivement nous sommes aptes à la donner à tous les instants pour des raisons les plus insignifiantes qui ne sont révélatrices que d’une inadéquation ou d’une névrose plus profonde.

    Cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 26 août 2007 21:33

    bonjour et bon courage, je n’ai trouvé que la réponse synthétique qui suis à te faire. Quand l’on est jeune l’on a que des questions, plus tard beaucoup plus tard en lisant des autres et en « s’introspectant », on comprend que c’est pour avancer car pourquoi exprime le désir de savoir, et il est comme la peur un de nos moteurs.

    C’est l’existence de la communauté de ses semblables qui fait de chaque homme un Être conscient. Il n’en découle pas pour autant, comme étant une évidence, la conscience de l’espèce.

    Cette « structure interactive » nous poussant à l’association, chacun d’entre nous la possède comme si nous étions enveloppées dedans, à l’exemple du Noir cosmologique enveloppant notre univers.

    Comparativement, ce serait soutenir que seul les organes de notre corps sont essentiels, tandis que d’autres diraient que c’est l’enveloppe humaine qui l’est. Les organes, aussi essentiel qu’ils soient, sans une structure de liaison, ne donneraient pas plus un Homme que des bouts de ferrailles mises côtes à côtes donneraient une voiture. Souvent il est difficile de percevoir les évidences les plus simples.

    Ce que nous sommes, n’aurait de valeur que par la « structure interactive » qui permet l’association : serait-ce pour l’homme en voie d’hominisation « Le Culturel événement en soi » ?

    L’absence d’une théorisation d’une loi générale sur cette « association interactive » conforte l’idée qu’elle n’existe pas. De même que celles théorisées durant plus de deux mille ans sur Le Noir du cosmos, excepté, si nous considérons que l’association est seulement motivée par la procréation. Toutefois, dans ce but ci, nous n’avons pas besoin d’une structure cérébrale aussi élaboré, hormis, si elle doit concourir à l’élaboration d’un « Etre nouveau »...non par prédestination mais par synergie cinétique.

    Naturellement, se regarder sous un aspect mécaniste froisse notre ego, tant notre affect est puissant. Pourtant, si nous partons du principe que l’enveloppe de notre corps mérite les soins que nous lui apportons, sa fonction essentielle réside dans sa faculté d’associer l’ensemble des informations qu’elle reçoit : analyser et synthétiser, décoder et encoder.

    Et dans quel but ? Procréer certainement ! Mais aussi, repousser la mort ! Deux motivations qui en génèrent une troisième que nous nous refusons à vouloir regarder, celle de tout organisme apte à produire sa capacité régulatrice, qui n’est pas seulement la chaîne alimentaire.

    Différer la mort sur une planète où nous n’avons aucune chance de vieillir paisiblement, au milieu des risques représentés par les autres espèces ou d’autres organismes (viral microbien etc.). Des risques que représente aussi la vie de notre espace terrestre (glaciation, réchauffement, dérive des continents, percussion d’astéroïdes, risques météorologiques), et des risques Culturels (accident et organisation de la violence.)

    L’apprentissage pour chacun d’eux permet d’accéder aux choix utiles, reculer l’échéance mortelle d’un ultime but énigmatique, la mort.

    Un apprentissage n’ayant pas que des adeptes. En particulier les obscurantistes d’hier et de toujours s’opposant à toutes les études de la connaissance de notre création et évolution, par crainte des réponses scientifiques. Heureusement, pour des chercheurs la science n’est ni une éthique ni une religion ni une affaire d’argent, mais un questionnement.

    Une recherche demandant une haute conscience Humaine, nécessitant des précautions quand elle nous concerne, et nous pouvons la résumer en une question : Pourquoi ?



  • ddacoudre ddacoudre 26 août 2007 20:58

    bonjour surpris par ton speudo.(la mémoire et la mer)

    La marée je l’ai dans le coeur qui me remonte comme un signe

    Je meurs de ma petite soeur de de mon enfant et de mon signe

    Un bateau ça dépend comment on l’arrime au port de justesse

    Il pleure de mon firmament des années lumières et j’en laisse

    Je suis le fantôme Gersey celui qui vient les soirs de frime

    Te lancer la brume en baiser et te rammasser dans ses rimes

    Comme le trémail de juillet où luisait le loup solitaire

    celui que je voyais briller au doigt du sable et de la terre.

    etc.etc.un texte merveilleux

    cordialement.

    trop à dire sur l’article de job, si ce n’est que bien sur notre liberté subjetive est attaché à celle économique, et qu’encore pour quelques années il y a la solidarité socialisante, même si c’est peu et si elle ne permet pas de sortir du trou. c’est bien connu que les pauvres partagent(pas les miséreux)ils n’ont rien à perdre ou si peu, les riches non( sauf les exceptions), ils ont quelque chose à perdre ou ils leurs manquent toujours un peu, qu’ils ne peuvent donner, pour obtenir plus, au point de ne plus vouloirs payer d’impots pour la nécessaire redistribution civilisatrice d’un monde en compétition permanent.



  • ddacoudre ddacoudre 24 août 2007 23:28

    bonjourj’ai aimé ton articleet et j’ai lu celui d’octobre 2005. je n’ai pas de commentaire à faire si ce n’est que ton article m’en a inspiré un sur les raisons qui fornissent un terrain favorable à la limitation du droit de grève. j’espére agora le passera,« Jusqu’où ira l’apathie des salariés dans leur empathie pour ceux qui les exploitent ». Merci pour l’ispiration cordialement.

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