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ddacoudre

ddacoudre

poète essayiste militant à la retraite.
La vie commande d’être convaincu qu’il y a un absolu où tout ce que nous concevons s'écroule, Il faut donc comprendre que celui qui dispose d’une certitude absolue peut se suicider car c’est un mort vivant et ne peut développer pour vivre que la mort qu’il porte.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 06/06/2007
  • Modérateur depuis le 27/06/2007
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Derniers commentaires



  • ddacoudre ddacoudre 24 août 2007 00:23

    Bonjour vilain petit canard. Hormis de dire que les comptes de la comptabilité nationale sont le reflet de l’économie il y a un pas que l’auteur a franchi. Ce problème des indicateurs référentiels est toujours aussi épineux et polémiste une situation de se juge pas sur un exercice tous ceux qu ont fait des études de bilans le savent. Mais en politique si même sur le temps d’un sondage ou d’une estimation mensuelle.

    Je ne suis pas ton grp mais assez âgé pour avoir participé aux trente glorieuse et avoir décelé avec d’autre a partir de qu’elles années nous avions fini de manger notre pain blanc comme nous disions.

    Depuis vaille que vaille nous avançons dans un état de crise permanant ou chacun à chaque élection nous assure de sa solution. Une crise est généralement un état passager quand elle dure c’est que l’on est malade, mais tout le monde n’est pas atteint, il suffit d’observer la masse de restructurations gigantesques qui c’est produite depuis 1977 et oui c’est il y a longtemps. Le seul point que je partage avec l’auteur c’est la consommation extérieure trop importante. C’est ce qui a contraint le gouvernement de 1981 a changer de cap. Sa relance par la consommation est parti à l’étranger, aujourd’hui il en est de même et cela ne vas pas cesser. Mais ceci dit je partage ton point de vue. Cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 23 août 2007 23:43

    Bonjour nono et zenani.

    Vous n’êtes pas les seuls à ignorer les relations entre l’Etat et la sécu. Sans faire un historique exhaustif, la couverture maladie remonte aux assurances sociales résulta d’un conflit social au cours du XIX siècles, et n’est pas généralisé. Son principe reposer sur une mutualisation des risques dont il nous reste aujourd’hui les mutuelles. A la sorti de la guerre le gouvernement reprend a son compte se principe et le généralise par les lois de 1945.

    La sécu est crée mais il s’agit d’un organisme de droit privé qui appartient aux employeur et aux salariés cotisants, qui tous deux par leur représentation syndicale gèrent cet organisme. Au fil des ans les gouvernements successifs légifèrent pour imposer leurs orientations politiques en matière de santé et quasiment la sécu passe sous la tutelle du ministère des affaires sociales et de la santé, sans pour autant que soit modifié les statuts de droit privé qui sont toujours en vigueurs. Sauf que petit à petit les gouvernements décident des décisions les plus importantes, du montant des cotisations et du budget global, ne laissant aux acteurs sociaux que les décisions subsidiaires.

    Cela peut surprendre mais il est du pouvoir de la représentation nationale (l’Etat) de s’immiscer dans les affaires privées, c’est le pouvoir du peuple sur le particulier. Jusqu’à présent seulement les comptes séparés permettent de suivre l’utilisation des comptes privés de la sécu vers ceux publics de l’Etat. Mais certain ont déjà réclamé la confusion des deux budgets car celui de la sécu et à hauteur de celui de l’Etat. Ainsi depuis très longtemps une partie de la population française croient que la sécu et un organisme public, et il faut bien reconnaître qu’aucun politique n’a essayé d’expliquer le contraire, de sorte que la confusion continue.

    Pour s’assurer que la sécu est de droit privé et il suffit de savoir que pour les élections prud’homales ses salariés votent dans le collège activités diverses. Ce qui dans la démarche globale peut choquer, c’est que les gouvernants tour à tour ont privatisé par choix politique des entreprises de droit privé appartenant à tout le peuple pour les rétrocéder à quelques particuliers, et dans le cas de la sécu qui appartient à tous les cotisants particuliers et bien l’Etat en légiférant s’octroie sa gestion et l’utilisation de son budget. Est-ce qu’un groupe privé accepterait cela sans crier au scandale, comme lors des nationalisations, et bien les salariés grâce à cette confusion l’on accepter sans mot dire à part ceux qui en avaient connaissance. J’ai essayé de résumer sommairement des intrications plus complexes j’espère que cela vous informera. Cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 22 août 2007 19:43

    merci, pourquoi pas un jour. sympa le bac automobile.



  • ddacoudre ddacoudre 22 août 2007 19:15

    Bonjour ptlouis.

    Je viens à ton secours. Parler des pratiques déviantes est des seuils à partir duquel elles peuvent être considérer comme criminelle réclame une clairvoyance sur les mécanismes du vivant et sur ceux conduisant les sociétés humaines à élaborer des totems et des tabous. Les humains (comme le reste du vivant) sont agissant non par qu’ils ont une raison, mais parce qu’ils ont des désirs. Le développement sexuel vient très tôt, ainsi que la maturité sexuelle, l’aptitude à procréer qui fait de nos enfants des adultes, non des adultes culturels comme nous en parlons mais des adultes biologiques et ce n’est pas nous qui déterminons ces règles.

    Or l’éducation sexuelle, qui n’est pas une nécessité quand l’on vit dans la nature car l’on assiste à des actes de copulation qui soulève les interrogations. Aujourd’hui tout est érotisé dans tous les médias et pub de toutes sortes, et les enfants en apprennent plus entre eux que de dire leur parents. Ainsi le désir sexuel est une condition sine qua non de notre existence. Si ce n’était pas le cas par l’usage de la raison les pays pauvres ne devraient pas faire d’enfants, or ce sont eux qui en font le plus, et nous pays riche en faisons le moins.

    Ceci explique que l’existence ne se déroule pas suivant notre raison. Ainsi sur la manière dont tu as commenté l’article, en voulant indiquer la réalité et la complexité des relations sexuelles tu t’ais fait tancé sur le sujet.

    bien évidement nous somme dans une société du politiquement correct où les opinions sont largement forgées par les médias, et depuis les années 90 et plus particulièrement 2002, le matraquage journalier à conduit la population à s’arc-bouter sur le sécuritaire, poussant tout un chacun à y apporter son obole pour être dans l’air du temps, et malheur à qui veut pousser à la réflexion, tu viens d’en faire les frais. Mais il est tout aussi normal que chacun exprime sa perception à la vue des éléments qu’il a recueilli pour se la forger, il en va ainsi l’on ne peut raporter que ce que l’on sait rien de ce que l’on ignore. Nous aimons nous raconter l’histoire de Roméo et Juliette, mais pas dire qu’ils n’avaient que 13 ans.

    Personne sur cette planète ne sait ce qu’est la normalité, hormis la reconnaître dans les usages pratiqués par le plus grand nombre ou ce que nous apprenons par la biologie qui diffère quelque peut de nos représentations puritaines.

    Mais pour ceux qui ont l’audace d’une introspection qui ose gratter sur le miroir l’image dont ils sont amoureux par juste estime de soi, alors ils y retrouverons le primate que culturellement nous cachons, celui qui est capable de dévorer sa progéniture par nécessité parce que la nature le lui commande et si d’aventure par morale il avait suffisamment de raison pour s’abstenir de le faire, alors il engendrerait la disparition de son espèce, aussi parce que la nature le lui aurait commandé. Il n’y a que les illuminés qui croient que par la répression l’on règle tout, elle à son utilité pour ne pas vivre dans un cloaque, mais n’apportera pas de solution à toutes ces déviances sexuelle puisque l’on ne peut plus intervenir sur les événements qui les ont engendré et dont nous sommes tous globalement responsable en formatant notre progéniture à nos normes, et dont l’assimilation se fait imparfaitement engendrant en l’espèce ses drames. Nos praticiens psychiatres qui pourraient en dire long sur le sujet se gardent bien d’intervenir car ils s’avent parfaitement qu’ils se feraient lyncher par la population au moindre argument explicitant comment l’on entre en déviance, car ce serait pris comme la justifiant. C’est se rapport là que l’on appelle l’obscurantisme. Bon courage et continue. Cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 21 août 2007 18:56

    Bonjour excellent, mais cruel pour tous les faux semblant et bien pensant eugénistes. Cordialement

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