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REMY Ronald

REMY Ronald

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[email protected]
Cofondateur historique des Verts (ex-membre du collège Exécutif et du Conseil National des Verts qu'il a quitté en 1995 pour le combat anti-fracture sociale). Fondateur de la pensée économique sociétale (Livre "Vaincre Le Chômage" - 1993), du collectif électoral des chômeurs et précaires (Février 1996) et de l'ALLIANCE Sociétale et Ecologiste (14 Avril 2009).
Partisan d'une candidature écologiste non dogmatique, non sectaire, non extrémiste, en rejetant notamment la réactionnaire "décroissance" et la suicidaire libéralisation des drogues prônées par les Verts. Militant pour une "croissance qualitative soutenable" créatrice de richesses et d'emplois, pour une régulation effective du système bancaire et financier par des lois taxant la spéculation (au profit du soutien à l'éducation, la formation professionelle, la recherche et l'investissement industrielle créatrice d'emplois). Favorable notamment (et sous conditions) aux OGM sous contrôle démocratique, transparent, de l'Etat, aux Centres Educatifs Fermés, au sevrage suivi médicalement et socialement, militant depuis 25 ans pour le développement des centrales nucléaires sans uranium (au Thorium ; voir N° spécial Sciences & Vie).
Les "écolos-sociétaux" souhaitent un débat national frontal, programme contre programme, afin de promouvoir une écologie réaliste ouverte aux progrès scientifiques tout en prolongeant le combat anti-fracture sociale de 1995 et le nécessaire cadrage législatif des banques voyous actuellement impunies.
"En Marge" (Cercle de réflexion "pro-macronien critique"), "SOLution" (think tank économique et diplomatique extérieur trans-partis à vocation internationale) et
"ACCES", (Alliance Coopérative Citoyenne, Sociétale et Ecologiste), 10 rue Edouard Lockroy 75011 Paris - Métro Parmentier (Permanence semaine de 11h à 19h, samedi de 15h à 19h sauf vacances scolaires). FaceBook Ronald Rémy - [email protected] - [email protected]

Tableau de bord

  • Premier article le 16/07/2011
  • Modérateur depuis le 11/08/2011
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • REMY Ronald REMY Ronald 12 août 2011 01:59

    Monsieur le modérateur « Peachy », cotre plume est expérimentée, acérée et redoutable. Mais votre ton méprisant et vos sarcasme avec référence abusive à Pétain ne permettront pas de faire disparaître les faits historiques qui sont têtus. Votre aveugle incompétence et votre attitude négative péremptoire vous ont fait voté avec Le Pen et avec ceux qui refusent toute avancée démocratique et sociale de l’Europe. Tout votre actuel bla-bla c’est du flan teinté d’idéologie en « copié-collé » démago.

    Nous avions dit que voter OUI, c’était faire avancer le train des réformes et que d’autres trains de réforme suivront. Voter non, c’était bloquer les réformes et conserver les anciens traités. C’est bien ce qui s’est passé n’est-ce pas. Vous devriez avoir l’honnêteté intellectuelle de le reconnaitre.

    Il ne sert à rien maintenant de faire de bons mots dans de belles phrases pour tenter d’embrouiller le dossier et les internautes.
    Les électeurs veulent maintenant un vrai débat avec des propositions concrètes.
    Si en 2012 vous vous obstinez encore à écrire qu’aucune de nos propositions ne méritent réflexion après 30 ans d’échec de la classe politique dont vous faites objectivement partie, les électeurs feront cette réflexion à votre place. Ils apprécieront ce qui méritera d’être apprécié dans nos propositions, il prendront acte de votre sectarisme politicien puis trancheront.
    (je l’espère en faveur des réformes que nous proposons).
    A+.
    Cordialement.



  • REMY Ronald REMY Ronald 11 août 2011 23:13

    Bonjour « OneTwo ».
    Distraction dans votre lecture de mon article ? 
    Ou bien votre texte est-il simplement politicien ?
    - Je n’ai JAMAIS dit que la gauche ayant voté NON au référendum était Europhobe.
    - Je n’ai JAMAIS écrit que Mélenchon était Europhobe.
    Relisez, il n’y a rien de ce que vous racontez.

    Et ma longue réponse plus bas à une critique
    (en forme d’appel aux NONistes de gauche)
    est encore plus clair sur ce point précis que vous diffamez à tort
    (je l’espère involontairement).

    Une partie de la gauche s’est fourvoyée à cause d’un pavé indigeste pour la majorité des citoyens, en portant des attaques non pas sur NOS propositions d’amélioration mais sur les anciens traités.
    Nous souhaitons qu’une telle arnaque référendaire
    (au profit des vrais conservateurs et réactionnaires)
    ne se reproduise pas.
    Pour cela, nous exigerons qu’il y ait à chaque fois un référendum sur les propositions, les correctifs, les amendements, et sur eux seuls, afin que les choses soient plus claires à l’avenir pour le citoyen.
    A+
    Cordialement.



  • REMY Ronald REMY Ronald 11 août 2011 21:35

    Bonjour « le Chat ». Bonjour les autres NONistes de gauche.

    Les « sociétaux » n’en veulent pas non plus de cette Europe de merde comme vous dites, de cette Europe des Banksters et de Barroso.

    Les réformes, les institutions démocratiques, universitaires et sociales que nous proposons depuis 30 ans seront un jour ou l’autre adoptées. Que vous le vouliez ou non. Car c’est la logique de l’efficacité organisationnelle et de l’histoire.

    Ou bien, avec vos votes erronés, l’Europe se fissurera et éclatera. Puis elle sombrera sous les coups des révoltes urbaines aveugles, glissera dans un déclin général avec certaines zones dans la barbarie.
    Un désordre et une impuissance au grand profit de qui ? Devinez. Soyez sympa. Qui gagnent (ou croient gagner) lorsque l’anarchie règne ? : Les puissants, les délinquant en col blanc, la haute finance, les mafias. Eux auront les moyens de se mettre à l’abri. Pas les pauvres et les plus vulnérables. Les mafieux (avec ou sans col blanc) adoreront prendre leurs bénéfices au passage de chaque bordel économique, politique et administratif. Dans cette ère de désordre, d’impuissance, de déclin et de barbarie, ils utiliseront leur puissance contre les faibles et se serviront comme les seigneurs autrefois au Moyen-Age.

    Les mafias européennes et mondiales n’ont rien à faire des réformes démocratiques et sociales de nos institutions internationales imparfaites. Les mafias piègents les OUItistes trop lents et trop naïfs et soutiennent les NONistes. Plus vous serez divisés et affaiblis, plus les mafias seront puissantes. Conclusion : Ne vous faites pas « avoir » à nouveau lors du prochain référendum (car les « sociétaux » en réclame d’autres).

    Une fraction seulement de nos propositions se trouvaient au dernier vote référendaire (noyés avec les anciens traités à corriger ou compléter. Je répète qu’il en a résulté un indigeste pensum dont la simple lecture jusqu’au bout était quasi impossible par la majorité des citoyens : reconnaissez-le au moins.

    Seuls les NONistes et les « élites OUItistes-non à l’origine des réformes » ont fait campagne. Nous avons eu le spectacle pathétique d’élus OUItistes incroyablement médiocres à la télé en plein milieu d’argumentaires fondamentaux.

    Si la campagne avait été équitable, comme vous dites, on aurait donné la parole AUSSI aux militants initiaux de la cause européenne et aux sociétaux. Et le OUI aurait gagné.
    Et si on avait mis en référendum uniquement nos textes réformistes (certes incomplets, mais pour nous, ce n’était qu’un référendum avant d’autres), le OUI aurait obtenu de 70 à 75% comme en Espagne. Et les électeurs du NON se seraient retrouvés majoritairement « à droite de la droite ». Car une Europe des peuples, social, solidaire et humaniste, ce n’est pas du tout leur tasse de thé. Ils préfèrent soit une Europe des régions, une Europe des Ethnies voire pas d’Europe du tout. Et dans tous les cas, pour le FN et l’extrême gauche collectiviste, surtout pas une...
    ...Europe « social-médiocrate ».

    Pour paraphraser, on peut remarquer qu’avec tous nos « Si », on met l’Europe en bouteille...
    (...institutionnelle) : Je répond également OUI, car nos propositions doivent être compréhensibles par le plus grand nombre et donc tenir (roulées) dans un tel petit récipient. Un de nos militants a proposé à l’époque qu’il devienne notre logo pour sauver l’aveugle Europe du Titanic percuté par l’Iceberg référendaire. Mais le navire ébranlé Europe ne devait pas devenir une future Europe de la Méduse. La faiblesse politique de notre mouvement « sociétal » laisse effectivement penser à cette bouteille à la mer. Cela changera à partir de 2012, grâce au libre appui participatif de réseaux d’internautes.

    Les propos consistant à dire d’un côté
    « il ne faut rien toucher au rythme des réformes, tout va bien Mesdames les Marquises »
     ou de l’autre côté
    « il faut tout jeter, l’Euro et l’Europe ne servent à rien, au contraire, ils nous étouffent » ;
    ne permettent pas de faire avancer le débat et les réformes institutionnelles nécessaires.

    J’insiste : Le seul moyen de faire face aux turbulences que la France, l’Europe et le Monde vont continuer à subir, c’est de réformer les institutions Européennes (et un jour Mondiales), de les rendre plus démocratiques, plus fortes et plus efficaces.
    (argumentaire dispo avec du concret et aussi, hélas du « chiant », dans un prochain article).

    Il faut construire, reconstruire, innover, renforcer, développer, agrandir, rendre plus puissante et plus efficace cette Europe dont les élites et les peuples sont actuellement sans boussole.

    Et dans cette Europe des peuples que nous voulons, les banques devront obéir aux règles de l’économie « sociétale » ou bien perdre leur agrément et privilège de création monétaire.
    La monnaie devra servir l’économie réelle et non à l’économie virtuelle*.

    (*NB/ La spéculation permet aujourd’hui à l’argent de faire de l’argent pour de l’argent, au point que cette énorme flux financier ne sert que lui-même et non plus le corps social et économique. Comme un immense cancer, le système financier s’est développé au point d’imposer son autorité dérégulée et prédatrice à toutes les Nations. Et je peux vous prouver que vous êtes majoritairement tous complices de ce système à partir du moment où vous avez une assurance vie, un fond de retraite complémentaire, ou le moindre placement en vue des mauvais jours. Majoritairement tous « con-plices » rajouterait le diable, caché derrière la publicité des taux de rendement alléchant proposés au public).

    La France servira d’aiguillon réformateur en montrant d’abord l’exemple fiscal et réglementaire en son sein (y compris en fâchant dans un premier temps certains voisins), en conviant ensuite d’autres Etats Européens à l’imiter, puis pour finir, obtiendra qu’il n’y ait plus du tout de paradis « spéculatifs fiscaux » en Europe. Et un jour, aussi, dans le Monde.

    Du rêve ? Oui. De l’utopie ? Oui. De l’aventure risquée ? Encore oui.
    Mais ce sera ce rêve, cette utopie, cette aventure constructive risquée que nous vous proposons en vain depuis plus d’un quart de siècle, ou bien la mort garantie pour notre société aveugle et malade. 

    Nous n’avons plus le temps d’ergoter ! Nous n’avons plus le temps de couper les cheveux en quatre, de discuter sur le sexe des anges socialistes parfaits, sur le régime totalitaire gaucho, trotsko, mao, Khmer vert, anar, etc., à instaurer une fois l’Euro, l’Europe et la France capitaliste effondrée.

    Nous proposons donc
    ==> un combat révolutionnaire dans le fond et réformiste dans la forme,
    ==> un combat à la fois national ET international.
    Nous avons la franchise et la détermination d’être dans le camp des réformateurs. Et même pire : des reformateurs « médiocrates » (puisque recherchant à chaque fois et par principe, sur chacun des multiples dossiers préparés via pédogogiques « tables-rondes transversales », une dose parcellaire et ingrate de consensus populaire). Mais nous sommes des réformateurs catalogués aussi, depuis peu, « d’extrême centre ». A cause de notre passion, de notre détermination, de notre farouche indépendance politique et idéologique. Aussi parce que nous jugeons trop molles et trop médiocres les positions actuelles du centre clanniquement morcelé ; et nous jugeons trop passéistes et archaïques les solutions proposées par l’extrême droite et l’extrême gauche nihiliste.

    Avec les « sociétaux » de tous partis, le combat électoral de 2012 va enfin voir nu neuf, du nouveau, de l’énergique. Mais aussi (malgré son apparent extrémisme)... va surprendre en proposant du rassemblement républicain, populaire et salvateur.
    A+ Cordialement.



  • REMY Ronald REMY Ronald 11 août 2011 02:08

    Bonjour.
    Bien lu votre article et aussi les critiques
    (qui attendaient de vous un minimum de réaction et de débat).
    Sans doute allez-vous nous répondre bientôt.
    Car l’ère du simple texte de propagande unilatéral est terminée.
    Les dégâts sont trop énormes et les causes trop anciennes.
    Les 54% d’abstentionnistes ajoutés à l’extrême droite et à l’extrême gauche représentent 72% de la population. Immense « bras d’honneur » à la classe politique (de droite et de gauche, centre mou et écolos y compris) qui ne mobilise (qui ne manipule électoralement) plus que 28% des citoyens.
    Cela ne fait pas beaucoup pour maintenir une légitimité républicaine...

    Face aux précaires et aux chômeurs de longue durée, les élus de longue durée
    (dont vous faites parti)
    ont un lourd passif de « non-écoute », d’autisme intellectuel et d’arrogante incompétence.
    Ils ont intérêt à changer d’attitude, à accepter le dialogue, la créativité citoyenne et la construction collective, plutôt que de poursuivre dans les simples manoeuvres politiciennes manipulatoires.

    Toute attitude hautaine refusant le dialogue (comme cela pourrait être le cas ici) sera de facto de plus en plus sanctionnée.Face à l’accumulation du travail non fait, à la montée des problèmes et du mécontentement général, tels des bouchons de champagne, les politiciens sauteront sous la pression électorale (ou de la rue).

    Maintenant, il ne suffit pas que des agences de com fassent opportunément du « copié-collé » au profit des élus en place, sur la gravité de l’état des lieux (ou que vous fassiez ce « copié-collé » vous-même).
    Encore eut-il fallu ne pas laisser s’installer ce vaste merdier depuis 30. Depuis que nous tirons le signal d’alarme avec des propositions toujours d’actualité. Et ce que nous proposons n’a rien à voir avec ce que proposent l’extrême gauche, l’extrême droite et... vous-même : à savoir casser le récent et fragile Euro, et dans foulée nihiliste aveugle, de casser le peu d’unité européenne que nous avons.
    Car effectivement, comme vous ne vous sentez pas assez compétent pour mieux gérer l’Europe et l’Euro, vous avez la simpliste idée géniale de couler le navire pour mieux gêrer une chaloupe strictement française. Une embarcation plus petite que vous estimez curieusement plus apte à affronter les méga-tempêtes qui vont se succéder. Comme si petitesse vous permettrait de vous faufiler plus facilement entre deux énormes vagues (spéculative ou autres). Pathétiquement petit comme stratégie. Suicidaire.

    Navré, je ne vois rien de « Gaulien » dans votre attitude
    (De Gaulle était Gaulien, ne se contentant pas d’être un « iste » (gauliste).
    De Gaulle refusait tout abaissement potentiel de la France et donc refusait une Europe strictement marchande au seul profit de l’influence anglo-saxonne. Mais il a lui-même parlé d’une Europe des peuples, des Nations, une Europe de Gibraltar à l’Oural. La phrase est de lui. Ses phrases, vous les censurez habilement. Et nous, « sociétaux » de tous partis, nous précisions, nous corrigeons, nous rajoutons « une Europe de Gibraltar à Vladivostock » (pour ne pas exclure ou rendre parano les russes, qui seront un jour les bienvenus lorsque les conditions seront -et devront être- réunies).

    L’effort (incomplet) que vous proposez maintenant (bien tardivement) au niveau national (donc de faire de manière inefficace), nous le proposons depuis les années 80-90, de manière plus complète, (avec des points importants que vous vous gardez d’aborder) et... au niveau de l’Europe toute entière. Car seule une action s’inscrivant dans la profondeur et dans l’espace européen peut espérer contrebalancer les influences extérieures mondiales).

    Vous êtes arrivé à faire rejeter nos propositions référendaires, avec l’aide de l’extrême gauche et de l’extrême droite, parce qu’elles avaient été mélangées et noyées dans la masse des anciens traités. Des traités essentiellement technocratiques au service essentiellement du mercantile, complètement indigestes au demeurant, dont nous voulions justement corriger progressivement l’absence d’âme, de démocratie de social et d’humanisme.
    La totalité des arguments du NON de gauche reposaient sur les ANCIENS traités
    (argumentaire dispo pour les NONistes de gauche très présents sur ce Forum Agoravox).

    L’Espagne qui avait pris soin de ne présenter que NOS textes,
    (sans les mélanger à la masse indigeste des anciens traités),
    a obtenu plus de 70% de OUI
    (la gauche espagnole avait voté clairement et radicalement OUI, puisque n’ayant pas subi la malhonnête indiscipline militante en son sein d’un Jean-Luc Mélenchon démago. Après échec magistral lors du débat interne au sein du PS (75% de OUI), Mélenchon avait décidé de profiter de la pagaille dans la gestion nationale du PS pour s’opposer frontalement. Il a opportunément gagné ce référendum avec VOS voix, en sus de celles de l’extrême gauche et de l’extrême droite, tous opportunément réunis pour le destructeur NON mais sans alternative crédible et commune.

    Aujourd’hui, je retrouve exactement la même sulfureuse alliance pour couler l’Euro et le navire Europe. Au lieu d’améliorer le navire, de le renforcer, de le moderniser, de le rendre plus efficace politiquement et économiquement, plus démocratique, plus proche des citoyens, vous essayez d’apparaître encore plus destructeurs que les autres destructeurs.

    Au prétexte de la terrible tempête actuelle et des autres à venir,
    (dont je rappelle à nouveau que nous avions déjà prédis les dégâts et proposé les solutions il y a 30 ans)
    votre courageuse solution du « tous à vos chaloupes et chacun pour soi » est criminelle pour les plus faibles et pour nos générations à venir.

    La gauche française a été trompée par ce référendum via un texte proposé horriblement et scandaleusement indigeste
    (le diable n’aurait pas enclenché plus belle manoeuvre pour obtenir un NON à nos avancées démocratiques et sociales).
    Mais elle a été trompée, victime de la « forme », en se perdant dans la critiques des anciens traités.

    Les « OUItistes » à la tête du Titanic Europe n’ont pas vu arriver l’Iceberg référendaire comme il n’ont pas ensuite vu venir la crise. (Gouverner n’est-il pas AUSSI prévoir ?). Ces mêmes « OUItistes » imbus d’eux-même continuent aujourd’hui à ralentir la construction, en ergotant, en bla-blatant, en mettant des années à se mettre d’accord sur de mini-réformettes et projets institutionnels insuffisants.
    « La démocratie est bien le pire des système », éructait feu Churchill (précisant tout de suite... « ...après tous les autres »).
    Exemple : 30 ans pour faire enfin voter notre mini taxe sur les flux financier !!! (avec application dans combien de longues années puisqu’ils veulent attendre l’unanimité d’adoption par les pays ?)

    Mais les conservateurs, vous-même ainsi que Jean-Marie Le Pen, vous êtes les véritables ennemis de l’Europe dont vous désirez au plus profond de vous même voir disparaître jusqu’à l’idéal pour nos jeunes. Vous aspirez en fait à mieux diviser pour mieux régner... Pour régner (impuissant) au sein d’une future vulnérable chaloupe, où les français seront bien plus en danger que sur le puissant navire européen (hélas toujours en trop lente construction).

    Navré de ce ton. Veuillez m’en excuser. Mais j’avais envie d’exprimer ma colère depuis trop longtemps. Et il vaut mieux une « franche » explication, républicaine, démocratique, plutôt que laisser se développer les erreurs, les catastrophes et désespoirs sources de violences urbaines futures.
    A+ pour ce(s) débat(s)
    (dont seuls les fruits constructifs m’intéressent, y compris les futurs fruits collectifs, et non les agressions excluantes et stériles).
    .



  • REMY Ronald REMY Ronald 9 août 2011 08:12

    Re-Bonjour « pingveno.

    Nous sommes d’accord sur nombre de points essentiels ; c’est-à-dire :

    OUI à une véritable Banque Centrale Européenne, contrôlée par les élus et capable de prêts conditionnés aux Etats à 20 ou 30 ans.

    Aujourd’hui, nous n’avons pas une véritable Banque Centrale Européenne, elle n’est pas sous le contrôle des élus, n’a pas de ressources pérennes et n’est pas capable d’effectuer ces prêts conditionnés à long terme. Il faut que cela change. Si ces changements ne viennent pas dans les toutes prochaines années, il n’y a pas qu’à Londres (comme cette semaine) que les vitres des banques  »associales« (spéculatives) vont éclater. A partir de 2012, les électeurs vont être beaucoup plus vigilants sur ces changements concrets attendus. Le scrutin est le chemin le plus adapté pour choisir les élus qui agiront enfin (et éviterons la guerre civile urbaine).

    OUI à une Europe des peuples source d’idéal et d’humanisme et NON à une simple Europe technocratique et mercantile sous le joug de la finance.
    C’est la raison pour laquelle nous avons soutenu »NOS« propositions d’amélioration des institutions européennes (démocratisation que nous réclamons depuis 25 ans, mais enfouie et noyée par la commission Giscard dans la masse des anciens traités mercantiles et technocratiques que nous voulions justement compléter ou amender. Beau gâchis référendaire !).

    OUI à une Europe solidaire et protectrice, soucieuse du bien-être social et de la »JUSTE concurrence« et non de la »LIBRE concurrence« arnaque. 
    Donc clairement non à cette Europe impuissante et aveugle que l’escroquerie ultra-libérale offre en pâture aux concurrences internationales déloyales.
    (Actuels dumpings impunis sur => les salaires, =>les charges sociales, => les conditions de travail, => l’écologie massacrée, => les réglementations et droits d’auteur violés, les contrefaçons et malfaçons, etc., qui ont tué des pans entiers de nos industries, et continuent à tuer à petit feu nos entreprises et nos emplois. (Argumentaire disponible, à développer ailleurs faute de place)

    Je rajoute bien-sûr, car telle est la conviction des militants »sociétaux«  :

    OUI à un Euro renforcée et mieux gérée, en tant que »monnaie de consommation commune« stable favorisant le commerce intra-européen, complétée d’une future »monnaie d’investissement commune« , non exportable, non inflationniste, non stockable, non spéculable, revenant d’office dans les caisses des Etats, via les taxes et divers prélèvements obligatoires (projet DTSL existant depuis 25 ans. Argumentaire »chiant« dispo avec débat »sopo« garanti à venir dans Agoravox).

    CARTE SUR TABLE
    (en réponse à des internautes encore sous très grande influence collectiviste ou nihiliste).

    Les »sociétaux« proposent des solutions et un débat sur des remèdes qui ne font pas plaisir à tout le monde. Ni à l’extrême gauche. Ni à l’extrême droite, ni à l’UMPS, ni au centre mou, ni aux ultra-libéraux, ni à la haute finance spéculative, ni aux rentiers passivement complices d’un système devenu fou.
    Nous avons constaté ici que certains refusent d’emblée tout débat et se contentent de procès d’intention, de diffamations et d’insultes. Nous y avons été habitués (notamment avec les »Kmers verts« depuis un quart de siècle).
    Ceux qui refusent le débat loyal que nous proposons continueront à voter dogmatiquement (ou par intérêt mal compris) extrême gauche, extrême droite, UMPS, Vert ou centre mou.
    C’est leur affaire.
    Mais à partir de 2012, les 54% d’abstentionnistes ainsi que l’ensemble des 46% de votants auront cette fois-ci un nouveau programme, un nouveau choix possible (si des internautes décident en assez grand nombre de nous donner notre chance et de nous soutenir matériellement).
    L’important sera d’être présents dans un maximum de circonscriptions pour offrir l’alternative. C’est l’électeur qui réfléchira ensuite à leur place...
    ...et tranchera.

    La pensée économique dite »sociétale«  (née dans le milieu écolo-politique des années 1980) est cataloguée de totalitaire dans les universités »bien-pensantes« dans la mesure où elle souhaite remettre en cause les approches uniquement productivistes, matérialistes et financières, car prenant en compte de tous les facteurs non financiers, avec remise en cause radicale du PIB et du »bilan uniquement comptable d’entreprise«  : prise en compte des problèmes écologiques, sociaux, etc., (qui génèrent des coûts dérivés et délaissés parfois énormes pour la société).

    L’économie »sociétale« (au service de la société, et non uniquement de la finance) se développera avec tous les types de propriété de moyens de productions : 
    => Généralement avec entreprises privées.
    => Occasionnellement avec entreprises mixtes. Mais
    => avec des »sanctuaires« d’entreprises nationalisées ou sous régie, avec contrôle assidu des élus.
    Le nouveau Parlement élu par le peuple fera évoluer la fiscalité et la réglementation à cet effet, sans hausse globale d’impôt, mais avec »efficace réorientation« des prélèvements obligatoires, afin d’encourager la création massive de logements, d’emplois et de bien-être social / environnemental. (Une fiscalité bien pensée peut être largement plus efficace que toutes les actions violentes rêvées par certains internautes mal informés).

    L’économie »sociétale« implique la croissance de certains bien et services, la stagnation, la décroissance voire la disparition d’autres biens et services jugés toxiques ou nuisibles. Dont les drogues. Des drogues dont les Verts soutiennent la libéralisation des pseudo douces, ou la diffusion libre des plus toxiques sous contrôle médical et aux frais des contribuables (déjà pressurés. Argumentaires dispo avec article-débat à venir, promis juré).

    Les »sociétaux« de tous partis proposent donc une »croissance qualitative durable« , créatrice d’emplois, de bien-être et d’emplois pour tous (en opposition complète avec la réactionnaire et suicidaire »décroissance" proposés par les Verts, qui, n’étant pas capables d’assurer la masse de nouveaux emplois que nous proposons, n’offrent que le spartiate et stérile partage résiduel du temps de travail existant (via 35h, 32h ou 30h, via retraite à 55 ans ou 50 ans).

    En sus d’un certain nombre de choses en matière d’éducation, de prévention, de santé, de sécurité, de recherche, etc., nous proposons une administration à la fois plus efficace et moins chère. (autre article-débat à venir, avec exemples simples et précis, tels les rapports, mémoires et thèses à imprimer recto-verso, pour économiser l’énorme masse de papier (mais que les universités refusent d’appliquer) ou telle la fiche d’impôt aujourd’hui coûteusement photocopiée par le contribuable (alors que le double imprimé au niveau national représente une macro-économie évidente). L’Euro génère une simplification commerciale intra-européenne source d’économie pour l’ensemble des citoyens. Avec le même esprit, nous proposons de démocratiser et de mieux gérer l’Euro (non de le détruire, parce qu’incapable de le démocratiser et de s’en servir pour créer des emplois).
    A+
    Cordialement

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